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  • Eduquer, socialiser, assimiler.

    La France est soumise à système libéral extrémiste qui la détruit volontairement. Le corps et l’âme de la nation sont menacés à la fois. Ce qui est grave, c’est cette plaie sociale qui n’en fini plus de ne pas guérir
    L’unité profonde de la nation ne dépend pas seulement de la « justice sociale » Elle est aussi le fruit de la valeur morale des citoyens.
    L’éducation, la socialisation, l’assimilation revêtent une importance primordiale.
    Sans nul doute, c’est aux familles qu’appartiennent le devoir et la responsabilité d’éduquer nos jeunes gens et nos jeunes filles. Mais il faut les y aider ; en particulier ceux des parents qui, venant d’autres pays et d’autres cultures, seraient eux aussi à éduquer et A-culturer !
    C’était à l’Etat et aux collectivités publiques d’assurer cette mission et de former des éducateurs spécialisés.
    Nous avons besoin d’enseignants capables d’intervenir au sein des trois pôles de l’Education : l’école, la famille, les institutions et les associations du temps libres afin de ne pas laisser la « rue » et les communautarismes, éduquer et socialiser nos enfants.
    Rien n’a été fait, volontairement très probablement. L’on voit en conséquence des adultes qui refusent tout enseignement qui ne soit de leur communauté d’origine et leurs enfants ne savent même plus à quelle culture ils appartiennent.
    Notre responsabilité de citoyens Français, d’origine ou pas, est de remettre en cause les lois sur l’enseignement dans l’école publique qui doit retrouver son rôle d’éducation et de formation à NOS pratiques, NOS codes sociaux, NOS règles, NOS valeurs et mettent en lumière les aspects positifs de notre histoire plutôt que d’en valoriser les seuls aspects négatifs.
    La liberté d’enseignement doit s’y retrouver. L’intérêt public également et les écoles libres doivent avoir toute leur place et recevoir de justes ressources.
    En amenant les Français de bonne foi à s’accorder sur une éducation ainsi aidée, nous pourrons enfin servir l’unité nationale, la France et les Français.
    C’est un axe essentiel du projet de Marine Le Pen, il s’inscrit dans une organisation : Le Collectif Racines.
    Il est souhaitable que vienne rapidement le temps où nous pourrions le voir s’inscrire comme incontournable dans le paysage éducatif et socialisant de la France.


    Francis NERI
    Président de l’Institut Européen de Socialisation et d’Education (IESE)
    Membre du Collectif Racines

  • Défense des valeurs morales

    C’est au nom de l’Égalité que la « théorie du genre » s’impose dans nos écoles avec l’ambition proclamée de « briser les stéréotypes », c’est-à-dire la différenciation sexuelle. La société civile s’en est alarmée et elle s’est mobilisée, en plaçant le débat sur le plan de la défense des valeurs morales.
     
    Çà a commencé dans les années 1950 à partir du Rapport de l’américain Alfred KINSEY, nous dit Marion SIGAULT auteur de la marche rouge et A l’ombre des lumières.

    Avec la « théorie du genre » que ce rapport a directement inspirés, nous sommes au bout de « la révolution sexuelle » qu’il n’a cessé de promouvoir et que nos adversaires ont utilisés pour nous réduire.Ce rapport à complètement bouleversé l’Amérique, l’Europe, le monde.

    Il raconte qu’elle serait selon KINSEY la véritable vie sexuelle des Américains.

    Ce rapport a tout déclenché et rien depuis n’a pu arrêter le cours de cette révolution. Mai 68 en fut l’expression en France ! 

    Hors ce rapport qui souhaite que les enfants aient une vie sexuelle à partir de trois ans et qui favorise la pédophilie est basé sur une étude volontairement falsifiée, commandée par la haute finance américaine (Rockefeller).

    La vérité qui en a émergée a été traumatisante pour l’Amérique qui n’avait pas d’elle l’image que lui renvoyait le rapport :

    Un homme sur 10 avait des rapports homosexuels réguliers.

    Qu’un homme sur deux trompait sa femme.     

    Que deux hommes sur trois allaient voir des prostituées.

    Ce n’était pas du tout l’image que les américains avaient d’eux-mêmes.

    Sur les femmes :

    La moitié des femmes avaient des rapports sexuels avant le mariage

    Un quart des femmes étaient adultères

    97 % des célibataires avaient avorté !

    Alors puisque c’est ainsi, que la science le dit, pourquoi ne pas continuer au grand jour et à plus grande échelle, sans tabous ?

    Ce rapport a déclenché ce que l’on a appelé la « libération des femmes », l’autorisation de vivre enfin sans entraves, l’existentialisme.

    Disposer librement de son corps, faire l’amour avant, pendant et après le mariage avec qui je veux, quand je veux. Place à la pilule et à l’avortement comme acte banalisé, à l’arrivée de la pornographie, à l’accès au travail à la chaine comme les hommes et à l’égalité sans la complémentarité.

    A partir de là, la législation s’est adaptée. On n’a plus poursuivi les délinquants sexuels comme auparavant. On en a fait des victimes de la société, ils devenaient ainsi amendables.    

    Le modèle de la loi pénale qui fut adopté après 1955, était basé sur les recherches de KINSAY Une charte fut rédigée décrivant comment ses recherches pouvaient intégrer le code pénal.

    C’est là que des plaintes d’abus sexuels provenant de familles et d’enfants furent retirées ainsi que des protections en amont.

    Kinsay fut déclaré et accueilli comme le meilleur esprit scientifique de l’époque sur la sexualité (travaux repris en France par F. DOLTO).

    Il fit référence sur l’éducation des enfants et que ceux-ci  pouvaient avoir des relations sexuelles dés le plus jeune âge avec des adultes et des incestes.

    Donc il fallait diminuer l’âge légal du consentement, ce qui fut fait.

    A partir de ce moment il travailla à faire en sorte que tout devienne le plus légal possible.

    Et ma foi il y réussit assez bien et « l’institution » malgré qu’il fut démontré que l’étude avait été réalisée à partir de délinquants en prison et de marginaux, s’en empara afin de satisfaire ses objectifs de mondialisation libérale pour lesquels il lui faut des individus décervelés, profondément individualistes, égoïstes et livrés à leurs seules passions …qu’elles qu’elles soient !  

    C'est donc en MODIFIANT profondément et dans le temps, les attitudes (donc les représentations) et les comportements (qui découlent des représentations) des individus que le pouvoir a pu, ensuite, faire de nous ce qu’il voulait pour son profit, son clan ou sa caste. 

    Et il n’a pas fini si nous le laissons faire. C’est la raison pour laquelle nous, en France et en Europe, nous ne pouvons résoudre le problème de fond qu’en revenant sur NOS fondamentaux éducatifs ET socialisants. D’où l’intérêt du collectif « Racines » de Marine Le Pen.

    Notre engagement dans son sein sera d’une grande utilité pour reconstruire notre avenir culturel, car nous pourrons intervenir DIRECTEMENT dans le milieu scolaire, familial et dans les associations et institutions du temps libre, au sein des organisations afin de refaire le travail inverse c’est à dire re-former, re-socialiser, re- assimiler, re-définir ce qu’est NOTRE culture, notre identité, re-inculquer nos codes, nos valeurs, les éléments de vie qui sont les nôtres.

    Nous avons devant nous un immense  travail : récupérer le terrain politique, économique, social. Celui des institutions, de l’administation,  de l’école, de la famille, du périscolaire. Le terrain associatif, culturel et cultuel 

    Former, éduquer, socialiser, intégrer, assimiler. Inculquer nos codes, nos valeurs, nos références identitaires.
     
    N’attendons pas demain c’est aujourd’hui, ici et maintenant qu’il faut s’y atteler avant qu’il ne soit trop tard.
     

    06 04 14

    Francis NERI

    Président de L’IESE

    Membre du collectif Racines

     

  • Le grand remplacement de Renaud Camus.

    L'essentiel de la problématique à laquelle s’attaque Renaud Camus est d'ordre culturel. Elle interfère avec d’autres  qui en sont à la fois les causes, les effets et les conséquences …tout est relié et en interaction dynamique, orienté vers un but !

    Cà intéresse l'éducation, la socialisation, la formation non seulement professionnelle, mais au savoir être et en "communication" (Managériale Pédagogique Thérapeutique)

    Depuis que Sartre à gagné sur Raymond ARON, et en particulier mai 68, nous sommes dans la nasse.

    Pour effacer 40 à 50 ans de culture en  décadence visant à une uniformité « gaucho-mondialo-islamo » nous avons du pain sur la planche. Tout n’est que conséquence de cet état premier car c’est en MODIFIANT profondément et dans le temps, les attitudes (donc les représentations) et les comportements (qui découlent des représentations) des individus que le pouvoir a pu, ensuite, faire de nous ce qu’il voulait pour son profit, son clan ou sa caste. Et il n’a pas fini si nous le laissons faire.

    C’est la raison pour laquelle nous, en France et en Europe, nous ne pouvons résoudre le problème de fond qu’en revenant sur NOS fondamentaux éducatifs ET socialisants.

    D’où l’intérêt du collectif « racines » de Marine Le Pen.

    Notre engagement,  celui du groupe des Systémiciens,  dans ce sens sera d’une grande utilité.  Car avec l’IESE  (Institut Européen de Socialisation et d’Education) nous pourrons intervenir DIRECTEMENT dans le milieu scolaire, familial et dans les associations du temps libre afin de refaire le travail inverse c’est à dire  re-former, re-socialiser,  re- assimiler, re-définir ce qu’est NOTRE culture, notre identité, re-inculquer nos codes, nos valeurs, les éléments de vie qui font que nous ne sommes pas les habitants du dessert ou de l’Afrique équatoriale, mais des EUROPEENS.

    Nous sommes adaptés physiologiquement et psychiquement à notre environnement et nos contextes que nous avons adaptés par rétroaction en « interagissant »  avec eux.

    Nous avons, nous autres, éducateurs et formateurs Systémiciens ou pas, du pain sur la planche.

    Mais nous devons attendre encore un peu car il faut d’abord que Marine reprenne le pouvoir (les pouvoirs) à ceux qui les détiennent et dans tous les systèmes : politique, économique, financiers, culturels etc.

    Pour ce qui nous concerne en temps qu’individus conscients et agissants,  je ne crois pas que nous soyons destinés à combattre une arme à la main pour mettre au pas ceux qui feraient obstacle à ce projet de changement global. Projet qui fasse échec au « grand remplacement », à la mondialisation libérale, à la finance prédatrice ou à notre destruction identitaire.

    Nous pouvons l’éviter si nous arrivons NOUS aussi à modifier les attitudes et les comportements de nos concitoyens. Le problème c’est que nous n’avons pas le temps pour nous et que c’est un travail de longue haleine que nos adversaires ont entrepris depuis en gros Mai 68. Ils ont de l’avance et n’ont pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin.

    Il faudra donc aller vite, massivement et énergiquement. Voilà ce que je vois pour nous ici,  maintenant et pour l’avenir… j’ai encore quelques bonnes années devant moi, mais je ne verrai probablement pas la fin de  l’aventure qui se poursuivra sans interruption très longtemps et selon des formes très diverses.

    Alors pensons à l’action au jour le jour, mais aussi à transmettre, à informer et former ceux qui prendront la suite c’est vital ! 

    Francis NERI

    Président de l’IESE

    Membre du Collectif Racines