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Liberté d'expression - Page 79

  • Résistance Patriotique

    Rien à rajouter à ce que nous rappelle NOTRE ami Jacques Philarchein. Et voyez vous c'est à partir de ces bases que nous pourrons RECONSTRUIRE et nulle autre.

    Ce message doit parcourir la France et au delà, l'ami Jacques avec lui...et deux ou trois autres avec, c'est notre objectif premier ! Depuis longtemps nous combattons pour le "Roi de Prusse" Soyons lucides enfin. Il est temps de changer de monde et tant pis pour ceux qui n'en sont pas capables...c'est à dire qui s'encombrent de bagages inutiles ...la route sera longue et difficile, il faudra "voyager léger". 

    Rendez vous en septembre mes amis !

    http://ripostelaique.com/la-resistance-patriotique-senracine-dans-la-france-avant-que-detre-republic

    ripostelaique.com

     

  • Le combat pour l’égalité.

    Voici une chronique écrite il ya déjà quelques années (avant la création de ce blog) pour un journal qui aujourd'hui se garde bien de diffuser  le moindre de mes écrits.

    C'est dire si nos médias ont régressé en matière de liberté d'expression !  

    Je sais qu'un ami écologue radical me comprendra, lira ce texte avec attention et nous rejoindra pour aller plus loin. 

    J'ajouterai encore que je n'ai eu nulle envie d'en changer un seul mot.

    Bonne lecture et n'hésitez pas à diffuser la bonne nouvelle: "Ils"  ne veulent toujours rien comprendre, et "ils" ne savent faire que toujours plus de la même chose. "Il"  est temps que "nous" nous en débarrassions.  

    Le combat pour l'égalité. 

    Le véritable problème est posé sans ambiguïté :  l’Homme en tant qu’espèce et groupe, saura t-il se maîtriser, gérer, réguler, bref devenir adulte et responsable ?

    La liberté, précieuse et réelle, est devenue dangereuse car elle est de moins en moins soutenue par la connaissance, l’information et la responsabilité. Il en est de même pour la démocratie, les « Nouveaux Barbares » n’en ont que faire car ils ont faim. L’avenir devrait donc leur appartenir car ils n’ont rien d’autre à perdre que leur vie. Ne parlons pas de la solidarité, ce n’est plus qu’un vain mot.

    Pour nous Occidentaux, la réalité de la « Vraie Vie », chacun de nous la fabrique dans une relative et toute matérielle abondance et se moque de la réalité de l’autre.

    Pouvons-nous alors créer ensemble des réalités nouvelles et les faire exister ? Probablement si nous adoptons une nouvelle approche :

    L'approche écosystémique, qui est une façon de distinguer à la fois l’homme et les hommes, sans que le premier ne dissimule les seconds, sans que les hommes ne masquent le « Vivant » dans sa globalité. L’homme peut se  percevoir comme une configuration d'interactions appropriées aux conditions de vie dans le contexte de « classe humaine » en association avec d'autres Hommes, qui forment et occupent avec lui, sa « niche écologique ».

    Dans l'explication cybernétique, dite « négative », l'examen des restrictions ou contraintes du système montre que seule une "réponse appropriée" aux différentes contraintes peut survivre, se développer et se reproduire, c’est la régulation.

    Dans sa réponse, l’individu, comme l’espèce humaine, doit abandonner les frontières intérieures qui l’enchaînent ainsi que  Sisyphe à son rocher et étendre son esprit vers le dehors, s’élever, prendre comme Jonathan le Goéland de la hauteur pour mieux distinguer, manœuvrer, appréhender, grandir.

    S’élever, relier, grandir pour l’individu et pour l’espèce, ce n’est plus « croître et multiplier », mais au contraire restreindre une population planétaire qui n’aurait, sinon bientôt plus, comme au temps préhistorique, qu’une seule finalité, se nourrir pour survivre, mal.

    Comment s’y prendre ? C’est relativement simple, Notre système Terre nous pose un problème majeur : la crise écosystémique.  Une série de défis sans précédents, apparemment insolubles dans le contexte international, institutionnel et technologique actuel. Il y a, d’autre part, un fossé immense entre le discours et l’action, pour ne pas dire une immense hypocrisie pour ne pas voir la réalité en face.

    Cette approche écosystémique de résolution des crises, sommes nous en mesure de la mettre en œuvre ?

    Aujourd’hui, sept crises majeures convergent vers le point de rupture et menacent l’ordre établi par la société globalisée :

    Crise énergétique, financière, économique, environnementale, climatique, alimentaire  et enfin démographique.

    Ces crises reliées entre elles, s’accumulent et sont accélérées par de nombreux  facteurs multiplicateurs : l’interactivité de la globalisation, la médiatisation,  l’idéologie guerrière, meurtrières et suicidaire des  groupes terroristes combattants pour « l’égalité », la résistance au changement des classes dirigeantes .

    Cette rencontre des crises, au sommet de leur courbes ascendantes, nous conduit au désastre. En identifiant les tensions, nous pourrions envisager de réguler  la crise systémique globale et mettre en place les changements  indispensables.

    Cela impliquerait une réflexion fondamentale sur le rôle spécifique du modèle de « développement » de la civilisation moderne occidentale dans la mondialisation actuelle.

    En attendant, rien ne va plus et il y a beaucoup de choses à changer; mais il s’agit avant tout de changer les règles du jeu en matière de démographie.

    La résolution des autres crises ne pouvant se faire qu’à cette condition. En effet, que constatons nous ? 

    « A l’échelle planétaire, une majorité croissante des travailleurs potentiels n’ont pas et n’ont aucune chance d’acquérir la compétence qui leur permettrait de produire quoi que ce soit qui puisse être utile à la minorité de “gagnants” des pays occidentaux industrialisés (Western Industrial Nations). Les “Winners” - machines, ordinateurs et automates aidant -n’ont plus désormais besoin de ces travailleurs sans compétences.

    Pas plus d’ailleurs que, dans un pays occidental industrialisé, les vrais gagnants, ceux qui ont la compétence d’être utiles, n’ont besoin des travailleurs de ces pays qui sont dépourvus de cette compétence. 

    Un (1) travailleur sur quatre (4) dans les WIN ne travaille déjà plus. Le quart des “gagnants”sont devenus aussi des perdants et la proportion des exclus augmente sans cesse. »[1]

    Bref, les manœuvres, les éboueurs, les couturières et les plongeurs de restaurant vont se recruter sur place et encore pour un temps et en quantité limitée.

    Depuis déjà, quelques années, dans son village planétaire, Yvan Illich nous expliquait que les trois classes sociales n’étaient pas obsolètes du tout, bien au contraire, mais que la classe du bas disparaîtrait dans un délais plus ou moins bref; celui pour lequel la classe du haut en aurait encore besoin comme force de travail, comme banque d’organe ou pour maintenir sa diversité biologique afin d’éviter la consanguinité ( ce dernier point se limitant aux meilleurs spécimens bien évidemment).

    Cette fameuse classe du haut n’aura, un jour, même plus besoin de la classe intermédiaire c’est à dire les techniciens et les technocrates qui peuvent encore les servir provisoirement.

    Six milliards d’hommes c’est déjà bien trop, alors neuf milliards ! 

    Si quelques guerres ne viennent pas en réduire le nombre. il faudra bien employer des méthodes plus radicales et ce ne sont pas les quelques « bien pensants » qui restent et qui auront vite compris ou se situe leur intérêt qui vont se battre pour ceux qui ont eu le malheur de naître en surnombre au mauvais endroit et qui seront mis au rebut.

    Pour que chacun vive à l’aise sur cette terre si belle et encore si pleine de vie, l’idéal planétaire devrait se situer autour de trois à quatre milliards, et encore ! Le reste est en excédant.

    Reste à savoir comment « ils » (le « ils » est plus commode que le « nous »)  vont s’en débarrasser ! La pilule ? Ce serait un moindre mal, je suppose que les Chinois s’en servent, mais à mon avis nettement insuffisant et encore réprouvé par la morale religieuse et la mentalité du « fellah ». La stérilisation idem cela fait trop IIIe Reich !

    Reste la guerre avec son lot de génocides, de vertueuses indignations et de repentances, de comportements héroïques et de sacrifices sublimes, de salut au drapeau en berne, de glorieuses épopées à raconter à « son » enfant et une culture nouvelle sur laquelle construire un nouvel avenir radieux et de juteux rapports pour la caste du haut.

    Entendons nous bien, la caste du haut ne se recrutera pas qu’en Occident, mais au sein d’une élite mondiale ou les questions de races, de religions ou de culture seront sans incidences.

    Préparez vous les « Winners ». C’est exactement ce qui devrait se passer et vous serez contents de vous en tirer ainsi. Croyez moi, les « autres » n’ont aucune chance… mais ne vont pas se laisser faire, cela va être très dur, le combat pour l’égalité est commencé !

     

    Bonne « chance » tout de même !

     

    Francis NERI



    [1] Pierre JC Allard « Agora Vox »

  • Convergence de finalité

    Convergence de finalité, d'objectif et de moyens avec « Tintin ».

    Il ya une si forte convergence de finalité, d’objectif et de moyens avec « Tintin » que je ne résiste pas au plaisir de vous faire partager son commentaire sur Nouvelles de France !

    Lui : Tintin

    8 juin 2013 à 16:45 at 16 h 45 min

    Et nous analystes systémiciens !

    "L’analyse systémique est simplement une méthode qui permet de prendre par exemple des décisions efficaces qui mettent en jeu l’efficacité personnelle ET collective. Une méthode qui  ne se base pas seulement sur la prévision d’un évènement à partir d’une cause, mais sur notre capacité à créer nous même cet évènement.

    Le problème est de savoir si des programmes informatiques assez simples sont en mesure de créer les « micros spécifications » nécessaires et suffisantes pour générer les macros phénomènes qui nous intéressent.

    C’est possible en remplaçant la prévision par la simulation (modélisation) et les mathématiques par l’informatique.

    C’est pour parvenir à cet objectif que nous souhaitons rassembler les compétences nécessaires (à former au préalable à l’approche systémique qui n'est enseignée nulle part au sein de notre enseignement d'ETAT et pour cause, l'enseignement de l'approche systémique est dangereux pour les pouvoirs actuels).

    Ce qui me semble important c’est de détecter des dispositions à l’empathie et à une certaine dose d’altruisme.  Ensuite, nous aurons besoin de compétences informatiques, sociologiques, psychologiques, pédagogiques, organisationnelles, médiatiques.

    La  connaissance d’algorithmes systémiques et de schémas heuristiques ne nécessite pas l’utilisation des mathématiques, ce qui élargit le champ du niveau de compétence(s) recherchées. Je pense en effet, que l’efficacité personnelle ne réside pas dans un savoir, mais dans des attitudes et des comportements qui rendent l’action efficace. C’est ce que nous cherchons dans nos « recrutements ».     

    Ne pas oublier que c’est l’interaction qui fait converger l’ensemble d’un système. C’est souvent la raison qui fait qu’un pouvoir tente toujours de freiner toute interaction entre les systèmes.

    Exemple : L’interaction entre les groupes d’électeurs au cours des élections.

    Les électeurs du FN et de l’UMP souhaitent que des interactions se fassent entre ces deux groupes. Leurs dirigeants respectifs s’y opposent, pour quels raisons ?

    Essentiellement de crainte qu’il y ait constat de convergence entre les électeurs des deux camps sur la politique à conduire (auto organisation) et que les électeurs choisissent non pas un parti mais des hommes et des femmes qui feraient passer les intérêts des électeurs avant les leurs et avant leur parti) 

    L’analyse systémique (distinguer et examiner au moins trois éléments sources de causalités multiples) nous dira que les électeurs des deux camps, les candidats et les partis ont des intérêts divergents et que par conséquence une convergence des votes étant impossible, l’échec est assuré pour les trois parties."

    Conclusion : Rejoignez le "projet IESE" Institut Européen de Systémique Expérimentale

    http://semanticien.blogspirit.com