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mondialisation - Page 9

  • Les nouveaux maîtres du monde

    Aujourd’hui un échange avec un « ami «  facebook !

     


    voici qui cree la crise dans le monde entier surtout en europe . voila de qui marine le pen veut protéger la france

    § 

    Francis Neri Merci à Gengis Khan pour ce précieux documentaire qui nous éclaire sur la réalité du monde financier et sur la responsabilité des banques dans la crise dites des subprimes.
    Je regrette toutefois que l’amalgame soit fait entre ces banques dont l’infamie n’est plus à démontrer, les juifs et le sionisme.
    Cet anti sémitisme est meurtrier, surtout lorsqu’il y mêle sans raison Marine Le PEN. A croire que certains font tout pour la « diaboliser ». Seigneur prenez garde à mes amis, mes ennemis je m’en charge, doit elle parfois penser !
    Oui les banques ne sont plus que des machines spéculatives.
    Oui les banques de dépôts ne sont plus que des mythes.
    Oui Goldman Sachs est devenue la pire d’entre elles.
    Oui ses représentants comme Mario Braghi sont probablement leurs « sicaires » et nos gouvernements sont sans doute à leurs services.
    Oui les administrateurs de G.S. et leurs complices ont programmé la crise des subprimes et l’effondrement du système pour spéculer à la baisse et s’enrichir personnellement.
    Oui l’auto-régulation est une illusion meurtrière et les banques ne sont plus arbitrées et ce à l’initiative des gouvernements successifs.
    Oui il en est de même pour la crise de la dette.
    Oui l’objectif des grandes banques et des grands groupes militaro-industriels est le contrôle de nos pays et de ceux qui font les lois.
    Oui Marine Le Pen a le courage de s’attaquer à cette énorme machinerie contre laquelle personne avant elle ne l’a fait et pour cause…le danger est grand de s’y frotter.
    Non Marine Le Pen ne prétend pas, et en aucun moment, que les juifs et les sionistes soient responsables de nos malheurs.
    Marine Le Pen nous dit : « Regardez-vous ! » Nous sommes tous responsables ! Depuis au moins trente ans nous dormons et poussons la saleté sous nos tapis, devant notre porte nous devons balayer à présent …faisons un immense effort.
    Le système ne peut et ne veut pas être réformé. Il n’en vaut pas la peine ! La seule solution est d’en sortir quels que soient les risques. A ce sujet et sur bien d’autres je rejoins Marine Le Pen et vous invite à en faire autant !
    Francis NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

     

    Le systémicien

    semanticien.blogspirit.com

    Points de vue systémique sur les plans économiques, politiques et sociaux

     

  • Mal pensant !

    Tout le monde sait à présent que la pression sur l'Occident Judéo-Chrétien, et des lumières, est une stratégie de conquête qui intéresse aussi bien une certaine forme d'islam qu'une certaine forme de gauche et une certaine forme de libéralisme.

    C'est ce puissant système, qui agit en "cohérence", qui sera le gagnant. Ne nous faisons pas d’illusions. Et ce système sera de plus en plus « directif » car en devenant de plus en plus nombreux nos libertés individuelles iront en rétrécissant.

    Alors si nous voulons tirer notre épingle du jeu soyons "compatibles", adaptables, ayons la peau dure et sachons prévoir et bien nager ! 

    Commençons par nous poser la question de savoir si nous voulons vraiment être 9 à 10 milliards d’êtres humains en 2050 ou si nous disons : « après moi le déluge » ce qui serait d’une folle imprudence car l’effondrement est annoncé à court terme.   

    Ensuite si nous disons non, et si nous estimons que ce n’est pas au « monde occidental » à réduire sa population, demandons-nous COMMENT nous pourrions faire pour persuader le reste du monde, en particulier musulman et africain, à le faire.

    En même temps nous devrons entreprendre un immense effort de « frugalité ». Il ne sera plus possible de « consommer » et de « gaspiller » comme nous l’avons fait au cours des décennies précédentes. Le retour à « l’essentiel » est une priorité si nous voulons survivre en tant que groupe humain différencié. 

    Enfin, nous aurions à sauvegarder nos acquis et notre « modèle social » qu’il faut réserver à nos « nationaux ». 

    Si par exemple, notre modèle social nous incite à faire moins d'enfants c'est avant tout parce que nous savons combien il est difficile de les élever. Nous donnons en quelque sorte priorité à la "qualité sur la quantité". Malthus avait probablement raison.[1] 

    Oui, ce qu’il faudrait, c’est limiter, sur notre sol pour commencer, la population des arabes, des maghrébins, des africains. Non pas parce qu’ils sont arabes, maghrébins ou africains, mais parce que nous n’avons plus les moyens de les accueillir, qu’ils sont devenus trop nombreux, font trop d’enfants pour leur monde clos, plein comme un œuf, qui va s’effondrer en premier par l’épuisement des terres arables et l’avancée des desserts.

    Tenus d’une main de fer par des oligarchies sans scrupules et des religions qui les soumettent à des règles moyenâgeuses et pour nous monstrueuses, ils cherchent désespérément à  s’en échapper,  à fuir une condition misérable dont ils sont les premiers responsables.

    Encouragés par des prédateurs de l’économie « mondialiste » et des individus au multiculturalisme sans cervelle, ils s’installent chez nous toujours en plus grand nombre.

    Loin de chercher à se fondre dans la civilisation des pays d’Occident, ils s’organisent en minorité pour développer leur culture et maintenir leur identité.

    Pas le moins du monde attirés par les valeurs du Nord, ils ont la folie de vouloir reproduire, sur le sol qui les accueille, les conditions d’existence qui les ont conduits à l’impasse dans laquelle ils se trouvent.

    Ils nous posent alors un problème culturel, identitaire, social et mettent en danger notre cohésion sociale en retournant contre nous nos modèles républicains, démocratiques et laïques.

    Bref ils sont globalement hostiles à l’application de nos coutumes, nos codes, nos lois, nos technologies, nos organisations, qu’ils se refusent à adopter pour la plupart.

    Le résultat risque de nous conduire vers des guerres civiles de moins en moins « larvées ». 

    Pour vivre « heureux » et à l’aise dans notre fragile contexte socio-économique, dans la « bulle » temporelle, territoriale, technologique, culturelle qui nous détermine, vivons moins nombreux.

    Quel mal y a t-il à disposer individuellement de plus d’espace, de plus de liberté, d’une existence meilleure, plus longue, dans une condition matérielle, physique, morale, éthique, psychologique jamais connue dans notre histoire.

    Quel mal y a t-il à mieux accueillir nos enfants dans des classes qui seraient moins surchargées, ou l’enseignement ne serait pas contesté en permanence, de vivre en bonnes relations avec des personnes qui partagent nos valeurs, qui ont hérités d’une culture compatible, un monde ou les enfants sont choisis par amour et non pas subis ?  

    Quel mal y a t-il à refuser de partager ces trésors, produits des efforts de nos ancêtres, avec « toute la misère » du monde ?    

    Pour résumer, et poser clairement le problème je dirai que nous subissons des effets.

    L’état du monde est une conséquence, pas une cause ! Il est temps que les « conséquences » (les effets) cessent d’interagir entre eux positivement  (c’est à dire en augmentant les problèmes).

    Qu’ils rassemblent leurs moyens et rétroagissent sur la cause initiale de nos difficultés : l’absence de régulation et de contrôle[2].

    Entre la cause et l’effet, l’espèce humaine doit poser un immense thermostat sur le système planétaire. Un thermostat à plusieurs entrées : démographique, alimentaire, sanitaire, économique etc. 

    Notre civilisation a encore la main à la condition qu’elle sache intégrer la complexité d’un monde fini ; à moins  rêver à l’extinction des luttes sociales, au développement régulier et  « tous ensemble », à l’harmonie entre les sociétés humaines, à des « lendemains qui chantent ».  

    Il lui faudra devenir adulte, c’est à dire à employer l’avenir au pluriel, à le « penser » et non plus à le subir, car il n’est que l’éventail des futurs possibles, fruits des plans d’innombrables acteurs, donc « prévisible ».  

    Au delà il faudra s’en remettre « au grand régulateur » et pour ma part, je n’ai pas le sentiment qu’il soit particulièrement disposé à nous donner un coup de main.  

    Francis NERI

    12/01/12



    [1] Thomas Robert Malthus. « Essai sur le principe de population ». (Voir sur Wikipédia)

    [2] Lire à ce sujet : « Les systèmes du destin ». Jacques Lesourne

    Editions Segbers 1981

  • Décroissance

    La croissance est devenue la caractéristique première d’une insuffisance de régulation et de contrôle, local et mondial.

    Le mot à la mode chez les écologistes …de gauche ! c’est la décroissance et ce qu’ils appellent l’alter-mondialisme qui pour eux ne signifie pas être écologiste et vouloir un autre monde, mais imposer ce qu’ils croient être la vérité contre la réalité qui n'est probablement pas la décroissance, mais une croissance différente. Sinon comment parviendront nous à nourrir 7 milliards d'humains ?

    Il n'y a qu'une seule décroissance qui vaille, celle de la démographie. 

    Il faut être un peu « systémicien » pour comprendre que le système est ce que nous en avons fait, que nous en sommes les fabricants. Ce n’est donc pas en  le « changeant »  que nous vivrons dans un monde meilleur, mais en changeant nous même.

    « Si vous ne faites pas partie du système vous ne faites pas partie de la solution » disait un adversaire noir de Martin Luther KING. Ce « révolutionnaire » qui n’avait pas compris qu’il fallait justement « sortir » du système pour résoudre le problème n’a pas fait école, il prônait la violence et comme toujours, celle-ci s’est retournée contre le peuple.      

    Rien n’a malheureusement changé. Nos dirigeants actuels font bien partie du système et croyez moi ils n’ont pas compris qu’il fallait en sortir pour le faire évoluer et surtout commencer par changer eux-mêmes, c'est-à-dire leurs représentations, leurs attitudes, leurs comportements. Car voyons, comment voulez-vous que ceux qui depuis 35 ans fabriquent un système basée sur la dette, l’épuisement des ressources, la démographie galopante, la paupérisation des individus et qui ont un immense pouvoir entre les mains, puissent imaginer une réponse qui intéresse des peuples qui réclament toujours plus d’égalité, et un vivre ensemble meilleur, en toute sécurité ?   

    L’épreuve gigantesque que nous subissons qui met la France et le monde en danger, menace directement notre existence et celle de nos enfants. Elle n’est pas venue seulement du dehors, mais de l’abdication de nos élites qui ont oublié les principes puissants de la république qui s’appellent : la liberté, la justice, la souveraineté du peuple, et sans laquelle il n’y a ni force durable, ni solidité, ni espoir.  

    Le rêve du Millénium[1] n’étant pas devenu une réalité et pas prés de le devenir, que faire alors ? Attendre l’homme ou la femme providentiel qui nous tendra la main au bord du gouffre ? Attendre, juché sur une branche, qu’un inconscient scie avec fureur, le Père Noël, ou quelqu’un de sa famille ?

    Personne ne viendra à notre secours et si nous voulons la rupture avec nos comportements, sachons « sortir du carré » car ceux qui sont en place ne peuvent le faire pour nous. Ce n’est pas leur culture de privilégiés. Ils n’ont pas été « éduqués » pour cela et sont donc incapables du moindre changement. La dette est devenue leur drogue et nous sommes leurs complices qu’ils ont achetés avec une soupe à la grimace. Ils sont comme nous conditionnés, ne peuvent faire que toujours plus de la même chose, ils le feront mal et ne pourront qu’accroître nos difficultés.

    Seuls ceux qui sont extérieurs au système, ou sauront prendre de la distance par rapport à lui, pourront provoquer les changements libérateurs.  Pour cela, il leur faut :

    S’élever pour mieux le voir, en appréhender les dysfonctionnements.

    Relier les éléments d’information entre eux pour mieux « comprendre » la réalité des faits et leur « vérité », c'est-à-dire les causes, les effets et leurs répercussions.

    Situer les points de convergences et  d’ancrages des crises.

    Modéliser des scénarios pour mieux agir, « créer » du futur et le réaliser.   

    Au-delà de notre finalité de changement, Nous devrons avoir pour objectif premier et à court terme de faire l'unité des nôtres, c'est à dire ceux pour qui l'essentiel n'est pas la gauche ou la droite, mais la survie de la France en tant que peuple et nation de premier plan en Europe et dans le monde.

    Ensuite, mettons nous en ordre de bataille, exigeons une confrontation claire entre les candidats à l'élection présidentielle sur les enjeux essentiels qui intéressent le peuple de France. C’est de notre choix « éclairé » que dépendront notre avenir et celui de nos enfants.

     Francis NERI

    4 novembre 2011

     

     



    [1] Les Objectifs du millénaire pour le développement (OMD), Millennium Development Goals en anglais, sont huit objectifs adoptés en 2000 à New York (États-Unis) par 193 États membres de l'ONU, et au moins 23 organisations internationales, qui ont convenu de les atteindre pour 2015.

    Ces objectifs recouvrent de grands enjeux humanitaires : la réduction de l’extrême pauvreté et de la mortalité infantile, la lutte contre plusieurs épidémies dont le SIDA, l'accès à l’éducation, l’égalité des sexes, et l'application du développement durable.