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survivalisme - Page 2

  • Survivalisme

    Hausse actuelle: crise en Ukraine

    Le 25 avril 2014, nous dit « Vic Survivaliste », analyste et stratège en survivalisme, j'ai fait passer mon niveau d'alerte de 2 à 3. (L’échelle compte cinq niveaux répartis en 1 et 5.)

    Inspiré du Defcon, le Niveau d'alerte est un indice de niveau de préparation et d'anticipation de situation.

    Cet indice est une information que je partage et qui est fondé sur les informations que je glane à gauche et à droite, que ce soit par les médias officiels, les communiqués, les médias officieux et mes nombreux contacts partout sur la planète.

    À ces informations se joignent mes connaissances des crises passées (avoir une formation d'historien aide grandement) afin de mettre les choses en perspective et ne pas sur-réagir à ce qui se présente.

    C'est à partir du niveau 3 que je réagis dans ma préparation. Ceux qui me suivent savent que j'ai des réserves d'urgence à longue conservation. J'ai aussi des réserves en rotation.

    Au niveau 3 j'augmente mes réserves en rotation mais j'augmente aussi mes stocks de matériel non alimentaire. Pour un survivaliste lambda, un niveau 3 est l'occasion de faire de même mais aussi de sécuriser tous les aspects de son plan. S'il n'a pas de refuge, n'envisage pas de demeurer chez lui et n'a pas de BAD, ce sera l'occasion (et la motivation) de se trouver une alternative.

    Le niveau 3 est probablement (paradoxalement) le plus important de tous car il est un point charnière en deçà duquel le survivalisme reste théorique et au delà duquel le survivalisme peut devenir une question bien concrète et peut-être même de vie ou de mort.

    La situation en Ukraine de l'Est, la réaction du gouvernement (illégitime et illégal) de Kiev, le déploiement de ses brigades (dont une est composée de militants de Pravy Sektor, un groupe néonazi déclaré) chargées de mâter l'insurrection pro-russe, le double jeu des gouvernements occidentaux qui visiblement ont signé un accord qu'ils n'avaient pas l'intention de respecter, ainsi que d'autres informations de sources privilégiées et confirmées par différentes sources me font craindre une escalade. Si cette escalade se produit, elle peut déboucher sur une guerre mondiale car la Chine ne pourra assister comme spectatrice à ce conflit puisqu'une victoire de l'Occident signifierait sa sujétion aux diktats des oligarchies occidentales qui contrôleraient ses approvisionnements en matières premières et en énergies. Nous n'en sommes pas encore là. Mais nous pouvons y arriver, les éléments sont en place.

    Pourquoi cela pourrait dégénérer ?

    C'est décrit dans : Le grand échiquier Zbigniew Brzezinski

    Vic Survivaliste 

  • Le survivalisme

    Le survivalisme, une déclaration d’indépendance

    Posted: 07 Sep 2013 09:47 AM PDT

    C’est avec un grand plaisir et un honneur plus grand encore que j’ai accepté l’invitation de Nouvelles de France à rédiger une colonne dans ses pages. Je suis Vic Survivaliste, 47 ans, marié et père de deux très jeunes enfants. Je suis de ces Français d’Amérique qu’on appelle aussi Québécois et je tiens une tribune sur le survivalisme et la prévoyance. Qu’est-ce que le survivalisme/la prévoyance en fait ? C’est fort simplement une démarche qui consiste à développer et maintenir notre autonomie fondamentale dans toutes les situations et dans toutes les circonstances, que ça aille bien ou mal, que ce soit sur le plan personnel ou mondial.… Lire la suite !

    §

    Mon commentaire :

    « Toutes choses sont liées. Tout ce qui survient à la terre, survient aux fils de la terre. L’Homme n’a pas tissé la toile de la vie. Il en est à peine un fil. Tout ce qu’il fait à la toile, il le fait à lui même. »

    Chef Seattle.

    Il y a, dans cet article, des éléments intéressants qui rejoignent l’approche systémique, le mot employé, « écosystémique », qui relie écologie et systémique, n’étant qu’un pléonasme.

    La survie individuelle n’est possible que si le groupe et l’espèce survivent à l’individu, et au delà, au « système » global. En particulier dans les grandes catastrophes naturelles, guerres etc. Si l’individu survit au détriment du groupe ou de l’espèce c’est la fin de l’humanité, ce qui ne veut pas dire fin de la vie. Point barre !

    Aujourd’hui, notre tâche la plus urgente est d’apprendre à penser autrement. C’est à dire en termes de relations, d’interactions, de rétroactions et d’interdépendances. Il nous faut apprendre à donner sens aux évènements, à les interpréter correctement car l’efficacité personnelle et surtout collective à l’agir sur le monde ne dépend pas seulement de nos "savoirs", y compris de nos « savoirs survivre », mais de nos représentations, de nos attitudes et de nos comportements…individuels et collectifs.

    Cela dit si nous ratons le côche, le "survivalisme" peut être un bon moyen de survivre par petits groupes, si nous reculons de quelques siècles dans l’Histoire du monde à venir. Notre premier impératif si nous ne voulons pas en arriver là, c’est de restreindre la fécondité de l’espèce humaine. Le reste est affaire de gestion globale, de régulation, de contrôle, de sanctions et d’une meilleure affectation des richesses produites.

    Francis NERI

    8 sept 2013 à 11:59 at 11 h 59 min