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écosystémique - Page 2

  • Les néo-féodaux.

    Bonjour,

    Gérard Condorcet est pour moi un ami. Je l'aime beaucoup bien qu'il fasse, je crois ou du moins par l'idéologie, parti de ces révoltés de 68 que je regardai sans indulgence (j'avais 28 ans, je travaillai dur pour nourrir ma famille et ils m'empêchaient de travailler) Et puis, je suis comme lui un écologiste, mais je ne pratique pas l'écologie politique, je considère que c'est un non sens !

    Les écologistes ont du souci à se faire. Ceux qui pensent que l'écologie passe en priorité par la protection de la nature et des animaux encore plus.

    L'être humain n'est pas prêt, volontairement, à se réguler : ne pas exterminer les animaux et leur laisser un peu d'espace vital, ne plus manger de viande, Halal ou non, et laisser les céréales à ceux qui ont faim. Bien au contraire, ils veulent tout et ceux qui n'ont rien également ! La lutte pour l'égalité ne fait que commencer.

    Le combat de Gérard, sous cette forme est sans issue. Sa cible c'est le « Capitalisme » et la chasse à courre, çà me fait doucement sourire. Le conflit est ailleurs !

    Il y a bien longtemps que la chasse à courre est un épiphénomène et le capitalisme n'est plus qu'une conséquence, celle de notre absence de régulation et de contrôle. Bref  nous ne savons pas gérer un ensemble planétaire et çà s'arrête là.

    Pour moi, il n'y a qu'une seule solution au problème : la réduction drastique de la population humaine.

    Si les écologistes et les défenseurs des animaux étaient conséquents, ils devraient admettre que si les « hommes » veulent l'égalité de consommation, de liberté de circulation, de fraternité et de démocratie, ils ne pourraient en aucun cas dépasser 2 à 3 milliards d'individus. Nous sommes bien au-delà de ce chiffre. Et tous les problèmes que nous connaissons ne sont que la conséquence de cette verrue démographique.

    Je vous transmets sa dernière chronique. A vous d'apprécier. Les parties en italique et soulignées sont des commentaires de mon fait.

     

    Les néo-féodaux.

    Qu'y a-t-il de commun entre les petits arrangements entre amis du cercle des « donateurs de l'UMP » et le décret érigeant la chasse à courre en loisir protégé de toute entrave par l'édiction de sanctions pénales ?

    Si 80% des Français souhaitent l'abolition de la vénerie, nombre des mondains en grands équipages émargent au parti conservateur qui ne saurait rien refuser à cette infime caste de privilégiés.

    Une néo-féodalité a intérêt à la perpétuation du pouvoir en place et instrumentalise les peurs et les préjugés de braves citoyens pour obtenir une majorité électorale de dupes.

    Le gouvernement réactionnaire en contraventionnalisant l'entrave à la chasse « à courre », faisant du loisir de mort l'unique loisir au monde pénalement protégé, déclara la guerre aux protecteurs des animaux et de la Nature, comme, sur le plan social, il déclara la guerre aux salariés en supprimant les emplois publics et en bloquant les salaires. On se croirai en 1936 ! C'est fini la lutte des classes, le front populaire, faut plus réver à çà, faut voir autre chose

    Bien sûr, cela fait du monde et l'affaire pourrait être entendue. Le FOUQUETS CLUB, les nostalgiques de la monarchie servant le cerf ne constituant pas 1% de la population, le parti conservateur sera balayé en 2012. çà cela m'étonnerait mais Gérard est plein d'illusion car le balayage emportera également ses amis de gauche et, nous serons là pour ramasser la mise et remettre les pendules à l'heure !

    Les écologistes, les démocrates, les femmes et hommes de mieux peuvent-ils déjà respirer un air de liberté, de générosité, d'empathie, après les miasmes affairistes et cynégétiques ?

    Pourtant, la bataille sera rude. Les écologistes à la Cohn Bendit, Mamaire, des islamogauchistes : certainement pas !

    La caste féodale possède ses relais dans la télévision sous contrôle, propriété des forces d'argent et du pouvoir, et ses conseillers en manipulation mentale savent parfaitement guider le troupeau. Erreur c'est la gauche qui possède les relais d'influence dans les médias, à l'Education Nationale, au tribunal, dans les administrations etc...

    Une flambée de violences urbaines, une once de syndrome Kosovo, quelques maladresses des oppositions perçues comme pusillanimes à l'égard des obscurantismes religieux exogènes, des délinquants, des effrayants et le monde de l'argent sauve sa mise.

    Contrairement à ce qu'imaginent les intellectuels de gauche, cette droite de l'argent n'a rien de nationaliste. Elle s'accommoderait volontiers de tous les prêtres, imams et consorts, fussent-ils très traditionalistes, trouvant même qu'on fait guère mieux en gardiens de troupeaux. Là je suis d'accord

    Le nationalisme, l'islamophobie mal assumée, la lutte contre la délinquance autre que financière, l'invocation de l'ordre et de la sécurité, ne sont jamais que des instruments, des gadgets, des fumigènes anesthésiants.
    Sa seule patrie est l'argent, les affaires, l'exploitation maximisée des humains et de la Nature.

    Cette droite affairiste espère bien que les « belles âmes » tomberont dans leur piège  et participeront à un débat pipé que le petit peuple arbitrera en choisissant, comme d'habitude, celui qui brandira le plus gros bâton. Encore d'accord mais rassurez vous Gerard nous ne tomberons pas dans le piège de l'UMPS

    Aussi, ami « intellectuel de gauche » et les autres alors ils comptent pour du beurre si nous ne sommes pas de gauche, point de salut ? ne réponds pas à la provocation, refuses le faux débat lancé uniquement à dessein d'égarer l'opinion, de réveiller un populisme bête le peuple, c'est très très intelligent il perçoit la réalité globale et ignore les concepts idéologiques bidons qui l'aliènent. On appelle çà l'intelligence intuitive permettant à la caste féodale de sauver ses privilèges, ses fortunes indécentes, son loisir de mort. Le peuple a besoin de leaders honnêtes et courageux qui le conduisent sans faiblesse  vers le vrai enjeu : la survivance de la France telle que nous la connaissions et qui vit encore dans nos cœurs. Recréons une identité forte, un lien social puissant autour de nos valeurs de liberté, de fraternité envers les notres, d'égalité devant les droits et aussi les devoirs, de laïcité et, le reste, y compris l'écologie, viendra tout naturellement

    Le vrai débat n'est point de savoir qui approuve ou combat  la criminalité, (question absurde pourquoi absurde ne faut-il pas la combattre ?. La gauche l'a-t-elle combattue véritablement ou bien l'a t-elle plutôt favorisée ? ), mais de savoir si l'on veut des services publics, des champs sans OGM et pesticides, une augmentation constante du trafic routier de marchandises, des infrastructures dévoreuses d'espaces naturels, une urbanisation extensive, une politique nataliste, la tyrannie des chasseurs, une croissance quantitative, cancer de la terre ou un vrai progrès qui libère, adoucit la vie.

    L'UMP-CPNT  L'UMPS sert les intérêts de l'agrochimie, du tout-en-camion, de la vénerie, des promoteurs bétonneurs, de la concurrence féroce, de la dérèglementation anti-sociale et anti-écologique.

    En 2012, quelle que soit la médiocrité prévisible des candidats en présence, ce serait une contravention contre l'esprit que de ne pas ouvrir la chasse à l'UMP UMPS et écologistes de pacotille qui depuis huit ans multiplie les cadeaux aux ennemis de la terre, après, un temps d'illusions, une lourde tentative de séduction des plus vulnérables des protecteurs de la Nature piégés par les « GRENELLE de l'environnement » et table ronde sur la condition animale.

    La simple vérité tient à ce que ce pouvoir réactionnaire ???? n'imposera jamais d'avancées civilisatrices aux chasseurs, agro-chimistes, promoteurs, pollueurs car fondamentalement, radicalement, ce pouvoir nourrit une approche négationniste des êtres sensibles et de la biodiversité.
    Le problème n'est pas là et vous devriez le savoir. Le pouvoir c'est le pouvoir, c'est tout, et nous sommes responsables d'avoir élu ceux qui l'assurent, vous compris !

    Nous n'avons pas été dupes des opérations de séductions peut-être par excès de lucidité mais aussi parce que nous n'avons rien à faire de leurs subventions et de leurs marques de pseudo-notoriété.

    La Liberté de pensée, d'expression, vaut bien un ostracisme honorable. Essayer d'avoir raison tout seul ne permet pas de changer le monde ! Pour le pouvoir que vous critiquez vous ne représentez pas l'ombre d'une menace. Nous reparlerons d'écologie ou plus exactement « d'écosystémique » une fois quelques petits problèmes de « pouvoir » enfin réglés

     

    www.ecologie-radicale.org
    Gérard CONDORCET

    TEL 06 76 99 84 65

     

     

     

  • Les Résistants et les Résignés.

    Bonjour,

    Gérard nous a rédigé un texte comme lui seul sait les faire. Il y a des écologistes dont il est juste de diffuser les écrits ! Rien à voir avec Noël Mameire, José Bové ou Daniel Cohn Bendit...et j'en oublie !

    Bien à vous

    Francis NERI

    Les Résistants et les Résignés.

    Ils sont nombreux à commémorer et célébrer les révolutions qu'ils n'auraient pas faites, les résistances qu'ils auraient combattues, les rebelles qu'ils auraient condamnés. Les soumis du jour aiment se parer des gloires du passé pour faire oublier qu'ils eussent été,par leur conformisme et leur conservatisme, dans le camp de la féodalité, de la lâche acceptation des injustices et de l'ordre établi.

    N'en déplaise à l'orgueil humain, la société abrite davantage de Maurice PAPON, serviteurs zélés, que de Jean MOULIN, insurgés généreux.   Commémorer, célébrer, vénérer ne servent à rien lorsque les leçons de l'Histoire ne fécondent pas le présent.

    Quelles sont les révolutions à faire ?  Où est la Résistance d'ici et maintenant ?  Quelle tyrannie, quelle barbarie à combattre et à abattre ?

    Il n'en manque pas mais comme hier, comme toujours, les hommes d'ordre, les peuples soumis, les parasites complices feignent d'ignorer l'inacceptable.

    Le tyran actuel dicte sa loi, non pas seulement en Germanie, mais partout sur la planète.   Il détruit la nature, la biodiversité, torture les animaux et avilit les hommes, les exploite et leur impose la « flexibilité », « les sacrifices », les « efforts », l'abandon des « droits acquis », les  privant de toute perspective collective pour mieux les posséder.

    Le tyran méconnaît la démocratie. Il se moque des élections, des choix des peuples, imposant aux gouvernants de pure apparence ses volontés, puisqu'il est le seul maître et ne tolère aucune déviation.   La souveraineté lui appartient et les peuples peuvent bien élire des conservateurs dociles et enthousiastes à obéir ou des socialistes résignés, c'est lui qui gouverne impérieux, arrogant, dominateur, comme ne le fut jamais aucun tyran avant lui.

    Certes, il reste quelques hommes éveillés et conscients, des héros résolus qui pourraient abattre à la bombe ou au fusil ce tyran cruel, prévaricateur, corrupteur.

    Mais, il ne craint ni la machine infernale de l'anarchiste, ni un attentat du type 20 juillet 1944.

    Le tyran n'est pas Français, Allemand, Américain et pas même Chinois ou Indien bien que ces peuples plus et mieux que d'autres célèbrent désormais son culte.

    Car, ce tyran se nomme le Marché. Lorsque Charles de GAULLE affirmait que « la politique de la France  ne se faisait pas à la corbeille », peut-être redoutait-il qu'un jour prochain la politique du monde entier se ferait selon les caprices et les intérêts de l'argent.

    Pour distraire le petit peuple victime, les serviteurs du maître l'amusent, ces jours-ci, avec de faux scandales : le salaire des ministres.

    La manœuvre est pitoyable.   Un ministre gagne vingt fois moins que les voleurs et les escrocs qui pillent la terre, assassinent la Nature, spéculent contre les droits sociaux .

    Mais, la technique du fumigène populiste est une vieille recette qui marche toujours.   En dénonçant de faux privilèges, les serviteurs du système protègent leurs commettants qui ne gagnent pas 13000 Euros par mois, ce qu'ils considèreraient comme une misère !   Après 65 ans de « croissance continue », les maîtres du système appellent le peuple européen aux régressions, ce qui signe l'échec de leur politique.

    Une rupture radicale permettra de substituer un progrès qualitatif à un toujours plus de profits, de nuisances, de destructions.

    Décroissons quantitativement pour offrir à chacun des conditions de vie matérielles et morales toujours plus dignes !

    Proclamons les droits du vivant contre les privilèges de l'argent, contre les superstitions  anesthésiantes, contre les dogmes du productivisme pour substituer à l'ordre dégradant et nocif du Marché, le nouvel ordre écologiste : l'arbre, l'animal et l'homme réconciliés.

    La Révolution biocentriste sera notre nouvel horizon, notre issue de secours, l'alternative au naufrage éthique de la société de l'exploitation.

    Gérard  CHAROLLOIS

    TEL 06 76 99 84 65
  • Exercice d'analyse systémique

    Bonjour,

    Ci-dessous, transmise par Michel A., la réponse à l'une de mes chroniques  Il me parait avoir établi la connexion entre approche, analyse systémique et écologie, la vraie, celle de l'esprit (Grégory Bateson)

    A le lire, l'on se rend compte que l'approche écosystémique si elle est complexe, n'est en rien compliquée.

    Il y a l'essentiel : La notion de perception non refoulée et assumée, de représentation, la chronologie remise en ordre, la situation des évènements (temps, espace, contexte), le refus « d'identifier » une situation ancienne avec une toute nouvelle, la mise en relation, l'analyse, l'interprétation et enfin la proposition : ce qu'il conviendrait de faire pour résoudre la crise !

    Si ce texte et cette vidéo vous inspirent des réflexions, n'hésitez pas, je transmettrai

    Merci Michel et bravo !

    PS : Les caractères gras et soulignés le sont de mon fait 

    Ce que vous avez toujours voulu savoir sur l'esclavage arabo-musulman

    Ecoutez cette vidéo. http://www.youtube.com/watch?v=jcIcd3T2BMw&feature=related

    Et ne croyez pas qu'il s'agit seulement d'histoire passée, cela continue!

    Voyez le Darfour au Soudan, mais aussi la Mauritanie... 

    Pourquoi cette histoire et ces faits restent-ils quasi-tabous?

    POURQUOI ?
    Sans répondre à cette dernière question très politique qui reflète notre perception très tendancieuse de l'esclavage, de ses agents et de ses effets, j'aimerais exprimer quelques idées.

    Ces  idées ne répondent donc pas au pourquoi essentiellement politique (dans le sens où le politique est de l'économique concentré) du refoulement de la perception selon laquelle l'esclavage pratiqué par d'autres que les européens/américains a été au moins équivalent dans sa barbarie et ses conséquences inhumaines à celui que des livres et des séries comme Racines ont assez largement popularisé...

    J'ai tendance à penser qu'il y a un rapport entre anthropocentrisme, dont le(s) monothéisme(s) prosélyte(s) est(sont) la forme la plus achevée, entre domination et/ou esclavage de la Nature, entre invention de l'Animal en tant que substance essentiellement opposée à une autre invention (l'humain en tant que non-animal), entre transformation des animaux-non humains en choses ou en êtres exploitables et animalisation de certaines femmes et hommes. En l'occurrence les peuples noirs, parce que bon nombre d'entre eux vivaient sans complexe de la chasse et de la cueillette, étant ce faisant presque parfaitement intégrés au sein de la communauté du vivant (l'ensemble des espèces).

    Exprimant cela, loin de moi de vouloir remettre en cause l'impérative nécessité actuelle du progrès face à la barbarie, l'obscurantisme, les préjugés, l'oppression des femmes, le racisme et l'antisémitisme (1), l'oppression des animaux non-humains et de la Nature, la crise écologique, etc.

    Non, il s'agit de contribuer à remettre les choses à leur place. Leur place étant leur ordre d'apparition dans le temps, mais aussi leur emplacement dans l'ensemble des faits, tels qu'ils découlent les uns des autres. Ce n'est pas chose aisée. Il faut se départager des influences idéologiques qui imprègnent notre inconscient et donc s'efforcer de décrypter l'origine des mots et images qui peuvent nous aveugler.

    Une fois parvenu à remettre (plus ou moins) les choses à leur juste place, juste parce que réelle et non fantasmée, il devient plus facile de définir ce que doit être le progrès loin de toute idéologie du progrès, laquelle menacerait de prendre une dimension religieuse, mais aussi loin de tout passéisme dangereux tendant à faire la promotion pure et simple des traditions. Surtout pas !

    Le progrès actuellement doit se décliner de plusieurs manières pouvant sembler parfois opposées. Il s'agit de sortir de l'obscurantisme et lutter contre ses effets, là où il se fait ressentir, tout en mettant le cap vers une société mondiale ou plus exactement un ensemble mondial de sociétés qui sauront retrouver leur place au sein de la communauté des espèces.

    Par exemple, il s'agit de défendre et étendre les acquis de la libération des femmes (qui n'est pas terminée), de défendre et étendre les acquis de la libération de l'individu face aux poids des interdits, tabous, etc., de communautés oppressantes, TOUT EN permettant aux individus de former des communautés libres permettant aux individus de ne pas se retrouver seuls, isolés, affaiblis, exploités et de développer leurs potentialités créatrices. C'est un vrai défi!  En même temps, et la défense et le développement des libertés fondamentales (point qui reste à redéfinir...) en est le moyen principal, il s'agit de passer à un tout autre type de civilisation ou plutôt d'accéder enfin à la civilisation. Ceci ne peut se faire de manière linéaire et progressive, comme s'il s'agissait seulement de faire progresser quantitativement les libertés exposées ci-dessus. Il s'agit d'aller le plus consciemment possible, donc en s'appuyant et en développant qualitativement ces libertés chèrement conquises, vers une rupture universelle de notre rapport désastreux envers les autres espèces, les différents écosystèmes et en général ce qu'on peut appeler la Nature...

    En ce sens les libertés en sont la condition, le moyen, mais aussi le but.

    Mais, et j'en terminerai là, si nous ne prenons garde à la stratégie de forces réactionnaires qui tentent d'exploiter les acquis démocratiques pour à terme les anéantir après les avoir aménagés à leur profit, le but ne pourra être atteint.

    Vous avez peut-être votre petite idée sur ces forces ou vous vous demandez à quelles forces je fais allusion?

    Il y en a plusieurs, mais il en est une qui me semble ne pas être qualifiée pour ce qu'elle est (ultra-réactionnaire et fascisante, voire fasciste) par les milieux qui se devraient - ce qu'ils ne font pas - historiquement, socialement, politiquement de la combattre frontalement. Je vous laisse le soin de réfléchir à quoi je pense.

    (1) Je perçois l'antisémitisme comme étant d'une nature en partie différente du racisme en ce sens qu'il ajoute à ce dernier  une autre dimension. Il est souvent l'expression de la réaction des forces conservatrices qui ne supportent pas l'esprit critique et dialectique, la critique, la critique de la critique, la philosophie, la libre discussion de toAute question,  l'effort vers le dépassement de tous les tabous, en d'autres termes ce qu'on peut appeler des conditions du progrès. Les juifs étant fréquemment  des citadins porteurs d'une culture citadine aux racines profondes face à des ruraux ou des cultures largement imprégnées de ruralité et partant largement conservatrices...