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attaque des pompiers

  • L’Histoire s’accélère

    Arrêtons d’aimer nos bourreaux.

    La révolte grecque de Tsipras contre la dictature européenne et mondiale (FMI) a échoué.
    Le Hongrois Victor Orban se tait depuis les menaces européennes d’éventuellement exclure son pays de l’UE.
    Les souverainistes polonais remettront bientôt le drapeau européen à coté du leur.
    Les deux compères corses commencent à dévoyer l’indépendantisme vraiment national à la Orsoni…

    La fonderie du parti unique européen, sait lisser les différences politiques et les velléités identitaires sous le laminoir de la capitulation généralisée, et de manière assez abrupte, c’est le « laisser faire » qui s’impose finalement.

    Les faits d’Ajaccio se sont produits à Pau, puis à Thionville.

    Synonyme de dépérissement de notre Nation, les élites vont à la soupe et nous le peuple, après 40 ans de stratégie du voleur chinois, nous habituons petit à petit à l’inacceptable.
    Par « chance », nos amis corses viennent de subir la première attaque de ce type en Corse, alors que ces actes relèvent presque du quotidien en métropole.

    Que n’ai-je vu des milliers de français, fiers et déterminés arborant notre drapeau national, arpentant d’un pas ferme les routes menant aux cités qui érigèrent des pièges contre les pompiers ou la police ? Les émeutes de 2005 représentent à elles seules ce que la Corse ne vivra pas en 5 siècles…
    Reste-t-il un espoir ?

    Je n’espère plus qu’une annonce en écoutant la radio le matin, un Général, ou même un quarteron d’active, qui saurait figer ce merdier avec ses troupes, avant qu’il ne dégénère.

    Patrick Escudié

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