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culture occidentale

  • Anniversaire

    Bon anniversaire, cher Francis. Reste courageux dans ton combat pour notre patrie. La France ne peut pas périr.
    Philippe Poindron‎ à Francis-claude Neri

    Merci Philippe...du courage nous allons TOUS en avoir besoin ...le courage d'aller au delà de NOS différences sociales, culturelles, cultuelles etc.
    Nous n'en sortirons que si les "occidentaux" savent encore concilier l'identité... la leur; l'humanisme ...le leur et la culture ...la leur.
    Actuellement, les citoyens Français sont tués, au nom d'Allah par des djihadistes nés en France et pourtant élevés au "bon grain républicain" comme le disent les « biens pensants » du multiculturalisme et de l'universalisme triomphant.

    Nous les nationaux, savons qu'il n'en est rien; ils n'ont rien appris de NOUS. Et nous ne voulons rien apprendre d’eux !

    D'autre part, nous savons pertinemment que les élites mondialisées ne respectent pas NOTRE culture nationale et font au plus mal le travail Européen sur les plans économique, financier, industriel etc.
    Enfin, nous sommes convaincus d'une continuité entre l'islam et l'islamisme radical et que nous sommes menacés non seulement par le terrorisme, mais par la présence même de l'islam sur NOTRE territoire.

    C'est la raison pour laquelle à la fin c'est avant tout à nos "zélites" politico-médiatiques et celles du CAC 40 que nous allons demander des comptes avant même que de commencer à régler la question islamiste et immigrationniste.

    Amitiés !

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/
    14 10 18

  • Nos Identités

    Il n’y aura pas de France et pas d’Europe durables sans construction d’une identité commune. Et au-delà, d’une identité universelle, cosmosystémique.  Or, mémoire et identité sont une seule et même chose et, la construction d’une identité nationale est nécessairement basée sur des valeurs issues de notre mémoire, de notre histoire commune. Nos valeurs sont d’influence gréco romaines, latines, judéo chrétiennes et issues du siècle des lumières. Elles sont donc plurielles et, si les peuples européens sont sensibles aux apports des cultures extérieures, ils accueillent et intègrent celles qui ne sont pas en rupture et en opposition avec leur culture et rejettent les autres. Comment, en effet, ne pas s’inquiéter sérieusement de ces immigrants qui loin de chercher à se fondre dans la civilisation des pays occidentaux, s'organisent en minorités agissantes pour développer leur culture et maintenir leur identité ?

    Comment se comprendront ces "nouvelles sociétés" : jeunes, violentes et passionnées, se sentant volontiers incomprises, avec nos sociétés "mûres", sceptiques, éprises de sécurité et de mesure ?

    L’échec du projet européen montre bien que rien ne peut se faire sans le consentement explicite des peuples.

    L’on ne répétera jamais assez que la culture est avant tout basée sur des valeurs et, pour que des chocs culturels ne se déclinent pas en violents affrontements sous forme et sous couvert de conflits d’intérêts économiques ou sociaux, il faut examiner les objectifs et les fins des cultures qui, actuellement, se heurtent, dans le monde entier, aux valeurs et à la culture occidentale, en particulier européenne.

    C’est le cas de la culture islamiste intégriste qui, loin à présent d’être minoritaire, tend à prendre rapidement le contrôle du monde musulman et ne cesse sur notre propre sol de contester nos valeurs en particulier démocratiques, nos lois et nos règles en tentant d’imposer les leurs, souvent dans un esprit de revanche et de conquête.

    Les migrations de peuplement tendent à la modification rapide des équilibres démographiques  en leur faveur. Un travail de sape discrédite depuis trop longtemps notre histoire, nos valeurs et notre culture occidentale menacées maintenant dans leur essence même et sur nos propres territoires.

    Il nous faut à présent identifier ces valeurs et ces cultures dans ce qu’elles ont d’essentiel, d’universel, d’actuel et de commun, les préserver, les promouvoir dans et avec des pratiques économiques et sociales qui en sont issues, dans l’esprit d’une autorité retrouvée.

    Les préserver, les enrichir d’une approche orientale de valeurs à conjuguer librement et les promouvoir car la France et l’Europe n’existeront socialement, économiquement et politiquement qu’à partir d’une identité culturelle commune. Si nous ne voulons pas avoir à combattre pour la France et pour l’Europe, il nous faut éduquer et socialiser à partir et autour de nos valeurs et de nos cultures, de nos pratiques sociales régulées par le droit et par nos règles morales et éthiques qu’il faut inculquer aux nouveaux arrivants et rappeler à ceux d’entre nous qui les auraient oubliées.

    C’est à cette tâche prioritaire, à notre niveau de responsabilité et avec les moyens à notre disposition que nous devons nous atteler. Chaque Français doit être en mesure de relever le défi, c'est-à-dire de tracer des possibles et de transmettre, d’éduquer, de former, de socialiser. De comparer et de promouvoir nos systèmes de référence, car ils en valent bien d’autres, à commencer par l’estime, le respect de soi et la fierté de nos origines.

    Oui c’est à l’intérieur, et à l’intérieur seulement, d’un système donné de références qu’il faut savoir accueillir, demander, recevoir donner ou refuser.

    Oui, c’est à cette condition que nous pourrons rester libres et manoeuvrants, ouverts et bienveillants, conscients du poids de notre histoire et responsables de notre futur et de l’avenir économique et social de nos enfants.

    Les politiques prétendant à nos suffrages feraient bien de réfléchir à ce qui pourrait conduire les Français si les inquiétudes et les attentes de ce type n’étaient pas prises en compte.