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gouvernance

  • Tueurs djihadistes

    Si bien sûr tous les musulmans ne sont pas des tueurs djihadistes, si bien sûr la majorité d’entre eux ne les approuvent pas, si même certains d’entre eux les détestent et les combattent, il n’en reste pas moins que tous ces tueurs et tous les auteurs des actes antisémites, anti chrétiens et anti France que subissent les Juifs, les Chrétiens etc. sont des musulmans.

    Face à cela, tous les moyens de communication sont mobilisés par l’État pour diffuser à la suite des François Hollande, Valls, Laurent Fabius, etc. mais aussi par une certaine droite, une potion anesthésiante autour de deux slogans maîtres: « pas d’amalgame! » et « les musulmans sont les premières victimes du terrorisme. » Cette rhétorique provoque chez les Français autre que musulmans un sentiment de malaise infini. Ils voient l’État mobiliser toutes ses forces pour innocenter, et pire victimiser, leurs bourreaux.

    Pas d’amalgame ! Faut-il comprendre que les Mérah, les Kouachi, les Coulibaly sont des personnages totalement isolés, qu’ils n’ont pas de multiples appuis, qu’ils n’appartiennent pas à des courants particulièrement vivaces au sein du monde arabe d’aujourd’hui? Ce serait un travestissement coupable des faits. Mao Tse Toung demandait à ses militants d’être dans le peuple comme des poissons dans l’eau. Les djihadistes occidentaux doivent être aussi des poissons dans l’eau pour pouvoir survivre et prospérer. Outre de multiples appuis, ils sont la pointe avancée d’une idéologie, d’une variante de l’islam, qui s’est répandue dans les masses musulmanes comme le feu dans la plaine. Le « pas d’amalgame ! » n’est qu’une façon de s’abstenir de demander aux musulmans une réforme urgente et profonde de l’islam, que nous demandons depuis de nombreuses années, sans doute pour ne pas irriter les magnats du Golfe.

    « Les musulmans sont les premières victimes du terrorisme ». Disent ils ! Hollande, Valls, Fabius ont la comptabilité dans les gènes. Mais ce qu’ils auraient dû dire pour être plus exacts, c’est » les musulmans sont les premières victimes du terrorisme musulman, » ce qui change tout et indique de quel côté il faut rechercher les commettants de ces crimes.

    Devant l’incapacité de l’État français à assurer ses fonctions régaliennes il faut se poser d’urgence la question : L’État français est-il en mesure d’assurer l’ordre public et la sécurité, pour ses citoyens quelle que soit leur origine et qui sont les cibles du radicalisme musulman ?

    La réponse est clairement NON ?

    Il faut donc mettre à la tête de l’Etat Français une équipe qui ait cette « mission ». Pour tout dire seul le F.N. avec son projet de gouvernance a une chance de parvenir au pouvoir pour la réaliser.

    Francis NERI
    04 05 15

  • Gouvernance.

    Il est du devoir pour ceux qui possèdent une quelconque influence objective de montrer du doigt les dysfonctionnements, les erreurs, les fautes, les malversations, de la « gouvernance » actuelle, des précédentes et dévoiler les ambiguïtés des propositions de ceux qui prétendent à une gouvernance future. 

    L’erreur est humaine dit-on ! Persister dans l’erreur est diabolique !

    Ouvrons les yeux ne nous laissons plus enfumer par des idéologues de toute obédience. Laissons nos émotions au vestiaire, ne nous fions pas au physique, aux belles paroles des uns et des unes. Soyons sceptiques, portons sur les événements, les pratiques, les gens qui aspirent à nos futurs suffrages, NOTRE regard, NOTRE main.

    Soyons exigeants, ne laissons RIEN passer, demandons systématiquement des comptes….et nous aurons une petite chance d’avoir des élus qui œuvrent pour NOUS çà nous changera de ceux qui roulent pour eux, leur plan de carrière, leur enrichissement…entre amis !

     

    Francis NERI
    01 12 14

  • Souveraineté populaire et démocratie

    Etymologiquement, "démocratie" signifie "le pouvoir au peuple", autrement dit la participation de tous les citoyens aux décisions sur les sujets d'intérêt collectif. L'origine grecque du mot s'explique par l'importance historique de l'exemple donné par la démocratie athénienne dans l'Antiquité. Tous les citoyens d'Athènes étaient amenés à se réunir pour décider de la gestion des affaires communes.

    Les notions de "démocratie" et de "souveraineté populaire" sont pratiquement synonymes, à condition de ne pas assimiler la souveraineté populaire au seul principe du suffrage universel, qui ne suffit pas à garantir un mode démocratique de gouvernement, du fait, par exemple, que les candidats à la gouvernance ont depuis longtemps pris conscience qu’il suffisait de désinformer et de "déséduquer" un peuple pour le priver de sa souveraineté et de faire une fois au pouvoir l’inverse de ce sur quoi ils se sont engagés.

    Le Président Hollande en est le dernier et le parfait exemple.

    Cela conduit à souligner l'importance de la nature de l'information transmise par le système éducatif et par les médias aux citoyens et aux futurs électeurs.

    Cela pose aussi la question de la place des minorités, et de leur importance compte tenu, au mieux de leur faible poids électoral, au pire, de leur absence totale de participation à la vie politique.

    L’exemple de l’absence totale d’influence politique du Front National sur le « système » est éloquente.

    Enfin, le droit de vote des étrangers par exemple, reste une menace sur la souveraineté nationale. Agitée périodiquement par les tenants du multiculturalisme et du mondialisme qui, en cela, souhaitent « diluer » la souveraineté populaire et nationale pour mieux la manipuler et « transformer » le peuple de France.

    Celle-ci doit rester assimilée à la souveraineté nationale si l’on veut conserver l’essence même de l’identité et de la « qualité intrinsèque » d’un peuple.

    Cela pose aussi la question du « retour » de l’information (rétroaction) qui dépend de la « qualité » de celle-ci et non pas de sa quantité.

    La manipulation de l’information, de l’éducation, de la réalité historique, ont atteint un tel niveau de désinformation que nous pouvons considérer que c’en est fini de la démocratie et du peuple souverain.

    En conclusion, nous pouvons affirmer, avec force et conviction, qu’il nous appartient, après avoir libéré la France de ses oligarques, de libérer les médias et l’éducation nationale.

    Notre premier devoir serait d’apprendre au peuple à DISTINGUER, à porter sur les choses, les gens, les événements SON regard et ensuite SA main !

    Je rappellerai donc, une nouvelle fois, un des « NON AXIOME » du Systémicien : « S’élever pour mieux voir, relier pour mieux comprendre, distinguer pour mieux agir »

    Francis NERI
    28 08 14