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notion de race

  • Un support « biopolitique »

    Lucien est un des rares universitaires ayant étudié l’approche systémique et surtout qui met en application ses connaissances pour dénoncer cette idéologie mondialiste qui veut réguler et contrôler le monde à sa manière et surtout à son avantage.

    Je l’ai rencontré à Résistance Républicaine au sein duquel nous avons tous deux brièvement milité.

    C’est un authentique résistant, lucide et sans illusions mais qui ne lâche rien sur ses convictions essentielles.

    J’ai choisi de vous communiquer ce texte parmi d’autres de sa production car je trouve  que son analyse  (relationnelle) de l’évènement, qui passe hélas un peu trop inaperçue, s’intègre comme la pièce d’un puzzle dans le projet de ceux qui veulent nous imposer leur vision totalitaire du monde que nous devons denoncer avec la plus extrême vigueur.

    Francis NERI

    A suivre et à diffuser largement !

    http://webmail.numericable.fr/ncn/mail/msg_getattachment.php?mailbox=inbox&uid=149308.inbox&part=2.2 

    Disparition, effacement, de la notion de « race »…

    Il ne s'agit pas seulement d'un simple effacement au profit d'une vision "humaniste", mais, paradoxalement, d'une vision biologiste qui réduit l'être humain à son corps qu'il s'agit certes de préserver ("care") mais en tant que dispositif énergétique interchangeable : c'est-à-dire un support "biopolitique" sans autre identité que celle octroyée par le "champ" traversé à un moment xyz par le "support", vous, "moi" (et le je est seulement un autre).

    En d'autres termes, la notion de "race" est en réalité remplacée par celle de "variété" comme l'on parle de variétés animales et plantaires ; dans ce cas de figure, le support peut voir sa sexualité changer comme il peut lui être implanté des connecteurs divers et variés puisqu'il n'est qu'un substrat ; c'est là la "matrice", même, elle-même, de l'idéologie totalitaire dite "postmoderne" (PM) ; les anciennes identités dans ce cas sont perçues comme les canevas de mondes symboliques anciens qu'il s'agit certes de préserver (officiellement…) comme on le fait des monuments historiques, ou alors de laisser être comme folklore, même si celui-ci peut refuser de mourir, par exemple l'islam, la pensée libérale, l'identité juive, française, tout ce qui peut en fait articuler une culture et une nature et donc constituer un "peuple" dont les racines ne sont pas seulement construites ou seulement organiques mais spécifiques au sens d'être un mixte des deux.

    Or, dans l'idéologie totalitaire du PM ou du NL (néo-léninisme) une telle mixité est éliminée au profit du substrat androgyne dont les pièces de plus en  plus détachables sont remplaçables (vecteurs de la "croissance" à venir) au-delà des frontières, des milieux, bref des "races et des classes" termes synonymes du monde "ancien", celui de la "domination".

    IL s'agit désormais de raisonner de façon éthérée, soft, souple, où la tension le conflit auraient disparu dans le jardin mondialisé des variétés au profit du sourire éternel d'un côté, du total recall, de l'autre : les désirs les passions sont vécues sous un mode mineur, c'est-à-dire dans les sexualités et les paradis artificiels ; le "reste", l'économie, le travail, la santé, la culture, sont des "exceptions" gérées ("care") par l'État mondialisé et ses affidés, gentils animateurs, excroissances holographiques du discours P.C.F contrôlant les réseaux de la "Matrice"….

    Bonjour chez vous.