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racisme

  • Racisme

    "Je ne sais pas pour les autres, mais dans mon cas, il n'y a aucun racisme dans mes prises de position.

    Je pense seulement que les gens de culture arabo-musulmane ne peuvent vivre avec les gens de culture gréco-latine aux racines chrétiennes.
    C'est patent dans tous les pays qui ont accueilli l’immigration arabo-musulmane

    Pas grand chose à rajouter ...sinon ceci : 
    C'était bien la peine de conspuer La décision d'Eric Besson, ministre de l'Immigration sous Sarkozy, à lancer un débat sur l'identité française. Je crois qu'il est grand temps de relancer le sujet. La France n'a pas une culture de sauvages, Etre français c'est adhérer à un projet collectif où les grandes valeurs qui nous rassemblent sont plus fortes que nos convictions personnelles lesquelles souvent nous opposent. Ceux qui n'adhèrent pas à ces grandes valeurs (liberté, égalité y compris égalité de l'homme et de la femme, fraternité mais aussi justice, suffrage universel, laïcité...) doivent en tirer les conclusions et aller s'installer ailleurs. Ils n'ont pas vocation à être français et à vouloir nous imposer leur vision de la société que la grande majorité de nos concitoyens rejettent.

    Patricia Martin

  • Racisme, vous avez dit racisme!

    Voilà un mot bien à la mode et facile d'emploi parce qu'au final il ne veut rien dire dans le contexte actuel.
    Qu'est-ce que le racisme? C'est le fait d'affirmer qu'il existe des races supérieures et inférieures.
    Ainsi le service de la pensée dirigée a décidé il y a longtemps qu'il était interdit de penser et d'exprimer quelque propos sur le sujet, décidant du même coup que telle ou telle expression était du racisme jusqu'à sombrer dans le ridicule d'une part et dans l'arbitraire d'autre part. Mais s'il ne faut plus dire un chien ou un chat noir mais de couleur noire on risque gros en commandant au comptoir d'un café un petit noir.
    Bien entendu le racisme est l'apanage des blancs quelque soit leur confession d'ailleurs, il n'y a pas de racisme lorsqu'il s'agit de traiter un Français de sous chien, de race de merde où "je nique la France" comme on le voit tous les jours sur les murs des banlieues. Il n'y a pas de racisme lorsqu'on égorge des chrétiens en Syrie ou dans des pays musulmans.
    Non la police de la pensée ne connait qu'un seul racisme, celui de ce monde judéo chrétien et disons le monde occidental car c'est bien de cela qu'il s'agit.
    Dès lors tout est permis et si l'on réprime le moindre propos d'un côté de l'autre il ne s'agit pas de racisme mais d'expression libre.
    Ceux qui sont les plus acharnés à dénoncer le racisme se disent héritiers de la révolution, de cette époque où les mots : liberté, égalité, fraternité devinrent un symbole. Oui tout ceci est magnifique et cette période fut heureuse : on exécuta des milliers de nobles, puis de moins nobles, puis de gens du peuple dénoncés par le voisin jaloux, puis de révolutionnaires eux mêmes. On guillotina un roi, une reine, on laissa crever dans une cellule humide le dauphin mais comme cela ne suffisait pas on massacra grâce à des colonnes infernales des milliers de gens de l'Ouest, hommes, femmes, enfants, vieillards. Lorsqu'on n'arrivait pas à exterminer au sabre on noyait des grappes humaines dans des barges conçues à cet effet. C'était l'égalité dans la mort et la fraternité dans l'extermination parce qu'on refusait cette liberté de culte. Cette époque voyait exhumer les rois des tombeaux, vandaliser les lieux de culte, décapiter les statues. Plus tard la république envoya comme chair à canon, en première ligne ces bretons, ces vendéens qui payèrent un lourd tribut à une guerre atroce. Quoi dire d'autres sinon que les acharnés ont applaudi au génocide de Pol Pot, aux prisons et bagnes de Castro, de Staline et de Mao et de tous ceux qui sont égalitaires et épris de liberté par le totalitarisme.
    Oui on peut parler de totalitarisme lorsqu'il s'agit d'une police de la pensée et ceux qui à longueur de temps parlent de racisme ne sont que les pâles exécutant d'un système qui s'abrite sous le drapeau de la démocratie, de la démocratie totalitaire et comme ils n'hésitent pas non plus à accuser de fascisme rappelons leur au passage que le fascisme n'est pas français tout comme le nazisme et que ces deux régimes ont quand même collaboré avec le communisme pendant deux ans.
    Nous sommes dans une société rendue malade par des apprentis praticiens du mensonge, il n'est que temps de guérir par soi-même et d'être fiers de notre civilisation, de notre culture commune, de nos traditions et de rejeter ce totalitarisme et ceux qui le véhiculent.

    A toutes et à tous, à bientôt

    Ivan Smolensky

     

     

     

  • Un support « biopolitique »

    Lucien est un des rares universitaires ayant étudié l’approche systémique et surtout qui met en application ses connaissances pour dénoncer cette idéologie mondialiste qui veut réguler et contrôler le monde à sa manière et surtout à son avantage.

    Je l’ai rencontré à Résistance Républicaine au sein duquel nous avons tous deux brièvement milité.

    C’est un authentique résistant, lucide et sans illusions mais qui ne lâche rien sur ses convictions essentielles.

    J’ai choisi de vous communiquer ce texte parmi d’autres de sa production car je trouve  que son analyse  (relationnelle) de l’évènement, qui passe hélas un peu trop inaperçue, s’intègre comme la pièce d’un puzzle dans le projet de ceux qui veulent nous imposer leur vision totalitaire du monde que nous devons denoncer avec la plus extrême vigueur.

    Francis NERI

    A suivre et à diffuser largement !

    http://webmail.numericable.fr/ncn/mail/msg_getattachment.php?mailbox=inbox&uid=149308.inbox&part=2.2 

    Disparition, effacement, de la notion de « race »…

    Il ne s'agit pas seulement d'un simple effacement au profit d'une vision "humaniste", mais, paradoxalement, d'une vision biologiste qui réduit l'être humain à son corps qu'il s'agit certes de préserver ("care") mais en tant que dispositif énergétique interchangeable : c'est-à-dire un support "biopolitique" sans autre identité que celle octroyée par le "champ" traversé à un moment xyz par le "support", vous, "moi" (et le je est seulement un autre).

    En d'autres termes, la notion de "race" est en réalité remplacée par celle de "variété" comme l'on parle de variétés animales et plantaires ; dans ce cas de figure, le support peut voir sa sexualité changer comme il peut lui être implanté des connecteurs divers et variés puisqu'il n'est qu'un substrat ; c'est là la "matrice", même, elle-même, de l'idéologie totalitaire dite "postmoderne" (PM) ; les anciennes identités dans ce cas sont perçues comme les canevas de mondes symboliques anciens qu'il s'agit certes de préserver (officiellement…) comme on le fait des monuments historiques, ou alors de laisser être comme folklore, même si celui-ci peut refuser de mourir, par exemple l'islam, la pensée libérale, l'identité juive, française, tout ce qui peut en fait articuler une culture et une nature et donc constituer un "peuple" dont les racines ne sont pas seulement construites ou seulement organiques mais spécifiques au sens d'être un mixte des deux.

    Or, dans l'idéologie totalitaire du PM ou du NL (néo-léninisme) une telle mixité est éliminée au profit du substrat androgyne dont les pièces de plus en  plus détachables sont remplaçables (vecteurs de la "croissance" à venir) au-delà des frontières, des milieux, bref des "races et des classes" termes synonymes du monde "ancien", celui de la "domination".

    IL s'agit désormais de raisonner de façon éthérée, soft, souple, où la tension le conflit auraient disparu dans le jardin mondialisé des variétés au profit du sourire éternel d'un côté, du total recall, de l'autre : les désirs les passions sont vécues sous un mode mineur, c'est-à-dire dans les sexualités et les paradis artificiels ; le "reste", l'économie, le travail, la santé, la culture, sont des "exceptions" gérées ("care") par l'État mondialisé et ses affidés, gentils animateurs, excroissances holographiques du discours P.C.F contrôlant les réseaux de la "Matrice"….

    Bonjour chez vous.