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racisme

  • Nous et les autres

    Nos rapports avec autrui nous semblent de plus en plus motivés par un égocentrisme, un isolement, un « chacun pour soi » qui ne créent que frictions, mésententes, frustrations et souffrances.
    Un ami Bouddhiste me disait que c’était une question de perception, que nous ne percevons pas le monde tel qu’il était ; qu’un objet était vu par cent personnes différentes mais en fait c’était le même objet mais qui pouvait être vu par ces cent personnes comme dans cent miroirs !
    D’autre part, la possibilité d’agir sur « l’objet » et son contexte n’est pas illimité. La continuité est sans cesse changeante et le choix entre plusieurs possibles est variable, il s’inscrit, la plupart du temps, à l’intérieur d’une situation dont nous ne sommes ni maître, ni auteur.
    ll est des circonstances dans lesquelles l’environnement, le contexte, mettent à la disposition très peu de choix, de possibilités.
    Lorsque l’on se trouve plongé dans un conflit (par exemple Israël / Hamas) dans lequel nous n’avons qu’un choix limité, fuir ou mourir, et parfois même pas celui de fuir, que faire ?
    La question est posée… mais alors en dehors de ces situations extrêmes, que faire pour ne pas que notre « bonheur » dépende des conditions extérieures ? Peut-on privilégier les émotions qui contribuent à notre joie de vivre, notre sérénité ?
    Notre « bonheur » peut-il être invulnérable aux circonstances de l’existence, qu’elles soient favorables ou défavorables ?
    J’y vois trois conditions !

    . La pleine conscience
    . La perception (juste)  
    ‘ La vision commune

    La pleine conscience.
    Éliminer les distractions extérieures en s’entraînant à maintenir la pleine conscience des activités physiques et verbales. 
    Être constamment conscients, responsable, de notre activité, de notre corps et de nos paroles.  
    Si nous ne surmontons pas ces distractions, il nous sera impossible de vaincre les « distractions » intérieures plus subtiles, plus douloureuses, plus lointaines, plus cachées au fin fond de notre inconscient.
    C’est en maintenant cette pleine conscience que l’on obtiendra l’apaisement de l’esprit.  

    La perception (juste).
    La perception d’un objet comme désirable ou indésirable, source de souffrance ou pas, ne réside pas dans l’objet lui-même, mais dans la façon dont on le perçoit. Il est évident que différentes personnes perçoivent les mêmes choses de façons opposées.
    Comment percevons-nous l’objet « Islamisme », « extrême droite » etc. C’est une réalité existentielle qui dépend de notre culture, notre éducation, notre histoire et …le contexte dans lequel nous nous trouvons.

    La vision commune.
    Comment relier, avec l’autre, nos perceptions dans une vision commune et donc ne plus s’attacher à leur solidité ?
    L’ensemble de la réalité de notre monde et celui de « l’autre » peut être améliorée en tant que telle !
    La démarche doit consister, face au manque de discernement, à l’analyse conjointes des causes à effets et des mécanismes d’interactions et de rétroactions.

    Ceci afin d’offrir les moyens de changer, réciproquement, notre perception « erronée » de la nature des choses !
    Francis Claude Neri
    25 07 24

  • Racisme

    "Je ne sais pas pour les autres, mais dans mon cas, il n'y a aucun racisme dans mes prises de position.

    Je pense seulement que les gens de culture arabo-musulmane ne peuvent vivre avec les gens de culture gréco-latine aux racines chrétiennes.
    C'est patent dans tous les pays qui ont accueilli l’immigration arabo-musulmane

    Pas grand chose à rajouter ...sinon ceci : 
    C'était bien la peine de conspuer La décision d'Eric Besson, ministre de l'Immigration sous Sarkozy, à lancer un débat sur l'identité française. Je crois qu'il est grand temps de relancer le sujet. La France n'a pas une culture de sauvages, Etre français c'est adhérer à un projet collectif où les grandes valeurs qui nous rassemblent sont plus fortes que nos convictions personnelles lesquelles souvent nous opposent. Ceux qui n'adhèrent pas à ces grandes valeurs (liberté, égalité y compris égalité de l'homme et de la femme, fraternité mais aussi justice, suffrage universel, laïcité...) doivent en tirer les conclusions et aller s'installer ailleurs. Ils n'ont pas vocation à être français et à vouloir nous imposer leur vision de la société que la grande majorité de nos concitoyens rejettent.

    Patricia Martin

  • Racisme, vous avez dit racisme!

    Voilà un mot bien à la mode et facile d'emploi parce qu'au final il ne veut rien dire dans le contexte actuel.
    Qu'est-ce que le racisme? C'est le fait d'affirmer qu'il existe des races supérieures et inférieures.
    Ainsi le service de la pensée dirigée a décidé il y a longtemps qu'il était interdit de penser et d'exprimer quelque propos sur le sujet, décidant du même coup que telle ou telle expression était du racisme jusqu'à sombrer dans le ridicule d'une part et dans l'arbitraire d'autre part. Mais s'il ne faut plus dire un chien ou un chat noir mais de couleur noire on risque gros en commandant au comptoir d'un café un petit noir.
    Bien entendu le racisme est l'apanage des blancs quelque soit leur confession d'ailleurs, il n'y a pas de racisme lorsqu'il s'agit de traiter un Français de sous chien, de race de merde où "je nique la France" comme on le voit tous les jours sur les murs des banlieues. Il n'y a pas de racisme lorsqu'on égorge des chrétiens en Syrie ou dans des pays musulmans.
    Non la police de la pensée ne connait qu'un seul racisme, celui de ce monde judéo chrétien et disons le monde occidental car c'est bien de cela qu'il s'agit.
    Dès lors tout est permis et si l'on réprime le moindre propos d'un côté de l'autre il ne s'agit pas de racisme mais d'expression libre.
    Ceux qui sont les plus acharnés à dénoncer le racisme se disent héritiers de la révolution, de cette époque où les mots : liberté, égalité, fraternité devinrent un symbole. Oui tout ceci est magnifique et cette période fut heureuse : on exécuta des milliers de nobles, puis de moins nobles, puis de gens du peuple dénoncés par le voisin jaloux, puis de révolutionnaires eux mêmes. On guillotina un roi, une reine, on laissa crever dans une cellule humide le dauphin mais comme cela ne suffisait pas on massacra grâce à des colonnes infernales des milliers de gens de l'Ouest, hommes, femmes, enfants, vieillards. Lorsqu'on n'arrivait pas à exterminer au sabre on noyait des grappes humaines dans des barges conçues à cet effet. C'était l'égalité dans la mort et la fraternité dans l'extermination parce qu'on refusait cette liberté de culte. Cette époque voyait exhumer les rois des tombeaux, vandaliser les lieux de culte, décapiter les statues. Plus tard la république envoya comme chair à canon, en première ligne ces bretons, ces vendéens qui payèrent un lourd tribut à une guerre atroce. Quoi dire d'autres sinon que les acharnés ont applaudi au génocide de Pol Pot, aux prisons et bagnes de Castro, de Staline et de Mao et de tous ceux qui sont égalitaires et épris de liberté par le totalitarisme.
    Oui on peut parler de totalitarisme lorsqu'il s'agit d'une police de la pensée et ceux qui à longueur de temps parlent de racisme ne sont que les pâles exécutant d'un système qui s'abrite sous le drapeau de la démocratie, de la démocratie totalitaire et comme ils n'hésitent pas non plus à accuser de fascisme rappelons leur au passage que le fascisme n'est pas français tout comme le nazisme et que ces deux régimes ont quand même collaboré avec le communisme pendant deux ans.
    Nous sommes dans une société rendue malade par des apprentis praticiens du mensonge, il n'est que temps de guérir par soi-même et d'être fiers de notre civilisation, de notre culture commune, de nos traditions et de rejeter ce totalitarisme et ceux qui le véhiculent.

    A toutes et à tous, à bientôt

    Ivan Smolensky