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présidentille 2017

  • Vision II

    Bien sur Olivier …le monde va mal, mais nous n’y pouvons rien ! Je pense qu’il faut bien considérer où se trouve le global et le particulier, le simple et le complexe, relier tout çà par un câble et faire l’aller retour en permanence.
    Nous n’avons pas d’autres possibilités.
    Du Bataclan à Cologne, de la mer Égée à la Scandinavie : chacun le voit, l’immigration est une catastrophe pour la France et l’Europe. L’invasion les menace d’anéantissement.
    Ses causes ? L’explosion démographique du Sud, les guerres, mais pas seulement, l’écologie, l’utilisation effrénée des richesses etc. Vous en parlez fort bien.

    Mais il faut bien commencer par un bout !
    « Après quarante ans de déni organisé, la réalité s’impose. Même Hollande et Merkel semblent commencer à prendre conscience des difficultés. L’Europe est en train de mourir d’un projet idéologique : le mondialisme immigrationniste marchand, le « MIM », facilité par la trahison de ses élites politiques, économiques, judiciaires, médiatiques. Cette trahison explique quarante ans de mensonges, d’omerta, d’impuissance à traiter le problème malgré les promesses ».
    C’est ce que dit par exemple Yves le Gallou et il termine par : Comment arrêter la catastrophe ?

    Je répèterai donc que pour ce qui concerne la France, ce n’est vraiment pas bien compliqué comme stratégie à appliquer.

    • Nous débarrasser au plus vite de la gauche au pouvoir et empêcher la fausse droite d’y revenir car elle est en phase avec les néo-mondialistes
    • Reprendre notre totale liberté d’action, notre souveraineté en sortant de l’UE et de l’Euro …Rompre notre dépendance avec la sphère US …quoique cela puisse nous en coûter dans un premier temps. Si nous laissons entrer le TAFTA en France, nous sommes morts !
    • Nous pourrons alors nous occuper sérieusement du troisième : l’islamisme. Et ce ne sera pas une mince affaire Il faudra s’en donner les moyens, quitte à ce que provisoirement nous mettions en attente nos désirs de libertés individuelles.
    Faisons au moins cela, nous ne perdrons pas notre temps !

    A partir de nos réseaux sociaux nous pouvons déjà identifier des amis qui pensent comme nous. Nous fédérer et pour cela nous rencontrer.
    Que chacun ensuite dans sa « zone » d’influence fédère à son tour. Nous pouvons ainsi créer une organisation « fractale » forte et influente (un réseau) avec des « points d’ancrage » et une structure de référence idéologique, définissant au minima les objectifs, les fins, les moyens avec comme finalité première le « pouvoir en 17 » et ce en oubliant le carcan des partis et en s’intéressant aux hommes et aux femmes capables de remplir NOS objectifs.
    Oublions alors le centralisme Jacobin et pensons aux avantages de la subsidiarité. Chaque « point d’ancrage » serait dans cette organisation le plus apte possible à résoudre ensemble leurs difficultés locales et régionales. Avec comme impératif d’imposer régulation et contrôle des institutions, provoquer des attitudes et des comportements conformes à nos attentes.
    Nous pouvons ensemble nous interroger sur l’origine et la cause de nos fractures sociales au lieu d’éternellement n’en constater que les effets.
    Nous pouvons prendre ensemble conscience de la complexité des défis qui nous sont adressés et proposer des solutions que nous soutiendrons et imposerons également ensemble.
    Nous pouvons ensemble élaborer les outils et les moyens adaptés à nos attentes, nos besoins, et exiger qu’ils en soient fait une bonne utilisation.
    Nous pouvons ensemble, à partir de nos pages, nos groupes, nos blogs mis en cohérence, amplifier ou désamorcer des « effets » négatifs ou positifs. Soutenir telle action et décrier telle autre.
    Nous pouvons dire comment, ensemble, nous entendons réguler, contrôler les pratiques économiques, financières, écologiques, éducatives etc. et remédier aux malversations.
    Nous pouvons ensemble identifier les personnes faisant preuve d’énergie, de compétence et possédant un degré suffisant d’altruisme pour nous représenter politiquement et qui appliqueront le projet que nous leur avons demandé d’appliquer.

    N’attendons pas, commençons, maintenant ! Et ...parlons en entre amis !

    Francis NERI
    29 02 16