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totalitarisme

  • Le musulman est il un être humain ?

     
    Vous connaissez comme moi la question philosophique des sorites: « Combien faut-il de cailloux pour faire un tas ? ». Nous la retrouvons ici : « combien faut-il de cellules pour faire un être humain ? ». Je ne parle ici que du matériel, pas du logiciel : les islamistes ont toutes leurs cellules et ne peuvent être qualifiés DANS LEUR ETAT MENTAL ACTUEL, « d'êtres humains », en tout cas au sens de l'homme vu par Kipling. Il en allait de même des nazis et des staliniens, tant tous ces totalitarismes se ressemblent.
    Vous y verrez sans doute l'œuvre du démon. Pour ma part, j'y vois surtout un dysfonctionnement du psychisme humain.
    Monsieur X

  • L'imposture totalitaire

    L'imposture d'un nouveau totalitarisme, qui éclate au grand jour, correspond à l'alliance objective des islamiques, des gauchistes, des idiots utiles et de ceux qui ont réduit l'homme à une marchandise.

    Le peuple français n'est plus qu'un consommateur, un usager, un outil.

    Les grandes organisations commerciales, financières, politiques, culturelles ont besoin de consommateurs, de travailleurs dociles qui renoncent à s'élever contre l'exploitation pour oublier qu'ils sont dominés, empêchés de vivre, vendus à la finance mondialisée.

    Qu'ils étaient naïfs ceux de 1968 qui croyaient conquérir de nouveaux espaces de liberté !

    Ils voulaient aussi croire qu'ils pourraient conserver l'acquis des trente glorieuses, que leurs modes de vie autonomes seraient préservés. Pour tout dire, la plupart « crachaient » carrément dans la soupe !

    Çà n'a pas traîné ! Le bon rationalisme du capitalisme mondial n'a pas tardé à trouver la parade et grand ouvert les portes de l'immigration, de la délocalisation et de la démographie afin de « fabriquer » toujours plus de travailleurs et de consommateurs dociles.

    Le plus terrible c'est qu'ils l'ont fait avec la complicité de nos grands intellectuels et « bien pensants », des médias complices, de nos politiciens de gauche comme de droite, de nos syndicalistes et fonctionnaires crispés sur leurs maigres privilèges et d'un peuple manipulé et trompé par tout ce petit monde rassemblé autour d'un seul objectif : surtout pas de vagues, le citoyen dort devant sa télévision, tâchons qu'il sommeille le plus longtemps possible. Le temps de rendre impossible la compréhension du nouveau système mondial qui se met en place et rend notre asservissement irrémédiable.

    Mais ce rationalisme technicien oublieux des hommes est à présent en échec, la finance dérape et la décomposition des sociétés n'annonce plus rien, sinon la « singularité » islamique qui déborde les apprentis sorciers de l'Occident.

    Nous voyons enfin la réalité dans toute sa brutalité. Mais ce système en qui nous ne croyons plus nous détermine encore dans nos comportements, comme dans ces revendications et mouvements sociaux qui ne veulent plus rien dire et ne font qu'accroître la vitesse du courant nous entraînant dans l'abîme.

    L'activisme producteur ne fait qu'ajourner sa faillite, le monde islamique qu'accroître son influence et sa revendication à dominer le monde. Le bon peuple se soumet, les syndicats tournent en rond dans leurs manifestations, aggravant un peu plus le désordre.

    Alors quelle alternative allons nous inventer ?

    Nos sociétés sont pleines de contradictions, et ceux qui ont cru que des peuples, que tout différencie pouvaient vivre sur une planète de plus en plus petite, dans la diversité et sans conflits se sont lourdement trompés. La mixité, le métissage est une richesse sur le plan de l'individu, mais un concept qui conduit à la guerre civile sur le plan collectif.

    Le gâteau se rétrécie de jour en jour, moins de farine, moins de beurre, moins de miel, moins de chocolat et...toujours plus d'affamés !

    Le retournement que chacun espère dans la culture, l'économie, la religion, la démographie, l'écologie, suppose que nous changions tous très rapidement, que nous puissions nous débarrasser de nos conditionnements, que nous parvenions à redonner un sens, une finalité commune à nos actes.

    Pour cela, il nous faudrait reconnaître les limites de la seule raison, savoir y accoler à nouveau l'émotion et la connaissance objective, subjective, intuitive et factuelle, remettre en question un faux rationalisme, une modernité que même les islamiques, qui en sont pourtant si éloignés, ont adopté.

    Et surtout, il nous faudra lutter sans faiblesse pour reconquérir nos territoires perdus et en réinventer de nouveaux.

    Pourrons-nous le faire sans rencontrer de farouches résistances, en premier lieu de la part des maîtres qui nous gouvernent encore et de ceux qui semblent vouloir s'accommoder d'un système qui nous détruit, pour peu qu'ils tirent eux-mêmes leur épingle du jeu ?

    La découverte de la réalité est source de désarroi, mais c'est aussi une ouverture, la chance d'inventer autre chose, il est encore et toujours temps.

    Francis NERI