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Le combat pour l’égalité.

Le véritable problème est posé sans ambiguïté :  l’Homme en tant qu’espèce et groupe, saura t-il se maîtriser, gérer, réguler, bref devenir adulte et responsable ?

La liberté, précieuse et réelle, est devenue dangereuse car elle est de moins en moins soutenue par la connaissance, l’information et la responsabilité. Il en est de même pour la démocratie, les « Nouveaux Barbares » n’en ont que faire car ils ont faim. L’avenir devrait donc leur appartenir car ils n’ont rien d’autre à perdre que leur vie. Ne parlons plus de la solidarité, ce n’est plus qu’un vain mot.

Pour nous Occidentaux, la réalité de la « Vraie Vie », chacun de nous la fabrique dans une relative et toute matérielle abondance et se moque de la réalité de l’autre

Pouvons-nous alors créer ensemble des réalités nouvelles et les faire exister ? Probablement si nous adoptons une nouvelle approche :

L'approche écosystémique, qui est une façon de distinguer à la fois l’homme et les hommes, sans que le premier ne dissimule les seconds, sans que les hommes ne masquent le « Vivant » dans sa globalité. L’homme peut se  percevoir comme une configuration d'interactions appropriées aux conditions de vie dans le contexte de « classe humaine » en association avec d'autres Hommes, qui forment et occupent avec lui, sa « niche écologique ».

Dans l'explication cybernétique, dite « négative », l'examen des restrictions ou contraintes du système montre que seule une "réponse appropriée" aux différentes contraintes peut survivre, se développer et se reproduire, c’est la régulation.

Dans sa réponse, l’individu, comme l’espèce humaine, doit abandonner les frontières intérieures qui l’enchaînent ainsi que  Sisyphe à son rocher et étendre son esprit vers le dehors, s’élever, prendre comme Jonathan le Goéland de la hauteur pour mieux distinguer, manœuvrer, appréhender, grandir.

S’élever, relier, grandir pour l’individu et pour l’espèce, ce n’est plus « croître et multiplier », mais au contraire restreindre une population planétaire qui n’aurait, sinon bientôt plus, comme au temps préhistorique, qu’une seule finalité, se nourrir pour survivre, mal.

Comment s’y prendre ? C’est relativement simple, Notre système Terre nous pose un problème majeur : la crise écosystémique.  Une série de défis sans précédents, apparemment insolubles dans le contexte international, institutionnel et technologique actuel. Il y a, d’autre part, un fossé immense entre le discours et l’action, pour ne pas dire une immense hypocrisie pour ne pas voir la réalité en face.

Cette approche écosystémique de résolution des crises, sommes nous en mesure de la mettre en œuvre ?

Aujourd’hui, sept crises majeures convergent vers le point de rupture et menacent l’ordre établi par la société globalisée :

Crise énergétique, financière, économique, environnementale, climatique, alimentaire  et enfin démographique.

Ces crises reliées entre elles, s’accumulent et sont accélérées par de nombreux  facteurs multiplicateurs : l’interactivité de la globalisation, la médiatisation,  l’idéologie guerrière, meurtrières et suicidaire des  groupes terroristes combattants pour « l’égalité », la résistance au changement des classes dirigeantes .

Cette rencontre des crises, au sommet de leur courbes ascendantes, nous conduit au désastre. En identifiant les tensions, nous pourrions envisager de réguler  la crise systémique globale et mettre en place les changements  indispensables. Cela impliquerait une réflexion fondamentale sur le rôle spécifique du modèle de « développement » de la civilisation moderne occidentale dans la mondialisation actuelle.

En attendant, rien ne va plus et il y a beaucoup de choses à changer; mais il s’agit avant tout de changer les règles du jeu en matière de démographie. La résolution des autres crises ne pouvant se faire qu’à cette condition. En effet, que constatons nous ? 

« A l’échelle planétaire, une majorité croissante des travailleurs potentiels n’ont pas et n’ont aucune chance d’acquérir la compétence qui leur permettrait de produire quoi que ce soit qui puisse être utile à la minorité de “gagnants” des pays occidentaux industrialisés (Western Industrial Nations). Les “Winners” - machines, ordinateurs et automates aidant -n’ont plus désormais besoin de ces travailleurs sans compétences.

Pas plus d’ailleurs que, dans un pays occidental industrialisé, les vrais gagnants, ceux qui ont la compétence d’être utiles, n’ont besoin des travailleurs de ces pays qui sont dépourvus de cette compétence. 

Un (1) travailleur sur quatre (4) dans les WIN ne travaille déjà plus. Le quart des “gagnants”sont devenus aussi des perdants et la proportion des exclus augmente sans cesse. »[1] Bref, les manœuvres, les éboueurs, les couturières et les plongeurs de restaurant vont se recruter sur place et encore pour un temps et en quantité limitée.

Depuis déjà, quelques années, dans son village planétaire, Yvan Illich nous expliquait que les trois classes sociales n’étaient pas obsolètes du tout, bien au contraire, mais que la classe du bas disparaîtrait dans un délais plus ou moins bref; celui pour lequel la classe du haut en aurait encore besoin comme force de travail, comme banque d’organe ou pour maintenir sa diversité biologique afin d’éviter la consanguinité ( ce dernier point se limitant aux meilleurs spécimens bien évidemment).

Cette fameuse classe du haut n’aura, un jour, même plus besoin de la classe intermédiaire c’est à dire les techniciens et les technocrates qui peuvent encore les servir provisoirement.

Six milliards d’hommes c’est déjà bien trop, alors neuf milliards ! 

Si quelques guerres ne viennent pas en réduire le nombre. il faudra bien employer des méthodes plus radicales et ce ne sont pas les quelques « bien pensants » qui restent et qui auront vite compris ou se situe leur intérêt qui vont se battre pour ceux qui ont eu le malheur de naître en surnombre au mauvais endroit et qui seront mis au rebut.

Pour que chacun vive à l’aise sur cette terre si belle et encore si pleine de vie, l’idéal planétaire devrait se situer autour de trois à quatre milliards, et encore ! Le reste est en excédant.

Reste à savoir comment « ils » (le « ils » est plus commode que le « nous »)  vont s’en débarrasser ! La pilule ? Ce serait un moindre mal, je suppose que les Chinois s’en servent, mais à mon avis nettement insuffisant et encore réprouvé par la morale religieuse et la mentalité du « fellah ». La stérilisation idem cela fait trop IIIe Reich !

Reste la guerre avec son lot de génocides, de vertueuses indignations et de repentances, de comportements héroïques et de sacrifices sublimes, de salut au drapeau en berne, de glorieuses épopées à raconter à « son » enfant et une culture nouvelle sur laquelle construire un nouvel avenir radieux et de juteux rapports pour la caste du haut.

Entendons nous bien, la caste du haut ne se recrutera pas qu’en Occident, mais au sein d’une élite mondiale ou les questions de races, de religions ou de culture seront sans incidences.

Préparez vous les « Winners ». C’est exactement ce qui devrait se passer et vous serez contents de vous en tirer ainsi. Croyez moi, les « autres » n’ont aucune chance… mais ne vont pas se laisser faire, cela va être très dur, le combat pour l’égalité est commencé !

Bonne « chance » tout de même !

Francis NERI



[1] Pierre JC Allard « Agora Vox »

Commentaires

  • Curieuse convergence des esprits et ravie de trouver quelqu'un qui partage si largement mes points de vue concernant la démographie.
    Et si Malthus avait raison ?
    Il faudrait diminuer de moitié la population mondiale pourque la planète survive. Comment ? tout est là.
    Je me bats pour le vivant et le respect de ce qui existe encore.
    Allez dans www.chasse-a-courre.com
    Vous comprendrez ce qui se passe, en partie.
    Cordialement

  • Bonjour,

    Merci, Amie du vivant, de votre commentaire qui fait de vous une alliée dans cette recherche du changement.
    J’ai suivi votre conseil et me suis rendu en visite sur votre site que je vais ajouter à la liste de ceux que je recommande et visite régulièrement comme par exemple C.V.N. que vous connaissez déjà.
    Permettez moi de vous dire, avant toute chose, que je n’appartiens ( le mot m’a toujours semblé inconfortable et dangereux pour ma liberté de penser) à aucun parti, aucune idéologie, aucune religion. J’essaie de porter aux évènements, choses et au vivant MON regard et MA main et ce n’est pas une mince affaire que de se débarrasser de ses préjugés et de ses jugements de valeur.
    Vous ayant précisé « d’ou je parle » je puis vous donner, puisque vous m’y invitez, mon sentiment sur votre site.
    A partir d’une « entrée », la chasse à courre, vous abordez non seulement la défense des animaux, mais également les raisons pour lesquelles la chasse à courre doit être interdite et les animaux défendus.
    Globalement, vous dites que sauver l’animal, c’est sauver l’homme et, poursuivant votre raisonnement, vous soutenez que pour sauver l’animal et l’homme, il faut réduire le nombre des hommes, car « il » pollue l’eau, les végétaux, « il » détruit l’habitat animal naturel, l’urbanisation mite le territoire, la circulation routière etc. Bref l’animal est « la proie sans défense de la croissance et du développement sans fin ».
    Vous avez raison, car ce que « l’on » fait à l’animal, « on » le fait aussi à l’homme. Nous voilà donc d’accord sur l’essentiel.
    Nous sommes trop nombreux, hommes et dans certains cas animaux (par exemple les pigeons et les rats dans les cités fortement urbanisées).
    Commençons par « réduire » les hommes ! Et là vous posez la question qui tue si j’ose dire : « Comment ? tout est là » Se battre dites vous encore ! Mais je dirais : Pour aller ou ? Comment ? Avec qui ? Pour ma part, je pense :
    1) Que nous ne changerons pas les hommes car ils sont pris comme l’animal dans la nasse de leurs attitudes et de leurs comportements. Nous pouvons tout au plus changer leurs pratiques et de ce fait les systèmes au sein desquels ils évoluent.
    Il y a moi et le système, disait Thomas Crown, un banquier qui pensait que le système financier devait changer, mais c’était au cinéma.
    2) Vous parlez aussi de l’école et de l’éducation et là encore nous nous rejoignons, car si nous ne voulons pas que l’homme se massacre, ou que quelques uns massacrent ce qu’ils considéreraient comme un excédent sans valeur, nous devons l’éduquer, le former, le socialiser. Par exemple, lui apprendre que ce n’est pas en ayant 12 enfants qu’il pourra assurer ses vieux jours, parce qu’il les programme déjà pour une mort certaine et rapide et qu’ils ne lui seront d’aucune utilité. Nous pouvons aussi mettre à sa portée les outils de la régulation des naissances, ou encore lui réapprendre à recultiver son champ, si Monsanto nous laisse quelques semences.
    C’est donc bien des pratiques qu’il faut faire évoluer : faire des enfants, cultiver son champ ; et des systèmes qu’il faut changer : celui du « fellah », celui de l’alimentaire.
    3) Vous traitez ensuite le problème des valeurs. Je crois, en effet, que nous devons réexaminer au plus vite quelques unes des valeurs qui ont fait notre culture et que si nous devons en examiner d’autres, nous devons veiller à ce qu’elles ne nous soient pas imposées. Une culture est basée sur des valeurs. Dire celles que nous voulons porter, se rassembler autour, les promouvoir et les défendre sans violence, voilà encore un point d’accord entre nous.
    4) Voilà enfin, un point qui me pose problème. Je le retrouve parfois dans l’esprit de ceux qui, souvent, me sont le plus proche par leur sensibilité.
    Vous parlez par exemple de « l’opportunisme politique du locataire du Palais de l’Elysée, brandissant au gré du calendrier les fantômes indignes de l’humanité »
    Je suis persuadé que s’en prendre aux hommes, à leurs convictions, leurs idéologies n’apporte rien et surtout ne permet pas de rassembler, mais d’opposer. Il faut penser que le Président est sincère et qu’il n’ignore rien de la situation. Sans cela, soupçonnons que Messieurs Nicolas Hulot, ou encore Bernard Kouchner ne seraient pas en son équipage.
    A nous de persuader et convaincre ceux qui hésitent, Président compris, à partager des convictions et réponse« factuelles », comme dit un ami, que nous sommes en mesure d’apporter à la situation, par nos actions de terrain. Réponses que le Président et son équipe n’auraient pas trouvées. A l’aider à appliquer celles qu’il met en œuvre et qui nous semblent correspondre à la situation. Penser aussi que nous n’avons pas toutes les données du problème et que la réalité que construisons est la nôtre, pas la sienne.

    Donc et pour conclure, rien ne sert de combattre l’Homme, ni de vouloir le changer, il faut par contre changer ses pratiques, réguler les systèmes déficients qu’il a lui même élaborés et le diriger plus fermement jusqu’au moment espéré ou il sera en mesure de se changer lui même, ce qui n’est pas pour demain.
    Pour ce qui nous concerne, notre devoir est de nous rassembler, de rencontrer ceux d’entre nous qui sont engagés dans cette lutte pour la préservation du vivant dans sa globalité et sa totalité. Il faut rassembler au delà de nos divergences, de nos idéologies, de nos convictions, droite, gauche, centre, religions, cultures, races. Nicolas Sarkozy, le Pape, vous, moi, les autres, les animaux et les plantes, avons tous une épée suspendue au dessus de nos têtes et nous savons que nous ne serons pas tous sauvés.
    Hélas, les humains sont multitude et la multitude est irresponsable et coupable. Elle cherchera toujours à satisfaire ses besoins, ou ses désirs à court terme, quelles que soient les conséquences pour le groupe ou pour l’espèce. Alors, les animaux, les plantes, l’environnement…. !
    Nous devrons donc faire taire nos divergences, cesser de récriminer contre un tel ou contre une telle, qui s’empressera de nous retourner le compliment avec des arguments qui valent souvent les nôtres, par exemple : « Après moi le déluge » vaut bien dans, l’indifférence de l’univers envers le bien ou le mal « Aimez vous les uns les autres »
    Personnellement, je préfère la seconde, c’est la raison pour laquelle je n’irai pas vitupérer contre le Pape, sous prétexte qu’il voudrait « récupérer l’écologie », pas plus que je gronderai contre le Président qui à eu le mérite de s’ouvrir à l’écologie ce que nul n’a fait, je pense, avant lui !
    Pour le reste, c’est à nous de jouer, de faire de la « politique », et en faire pour moi, n’est pas de fabriquer un nouveau parti et de s’y enfermer, c’est d’être nombreux pour constituer une grande force de proposition et d’action, ensuite de choisir parmi les problèmes qui nous prennent à la gorge le plus urgent et, celui qui nous rassemble le plus. C’est peut-être ce que tente actuellement Monsieur Nicolas Hulot. Si cela était, je lui souhaite d’en avoir l’énergie, la compétence et le statut, que personnellement je lui donne bien volontiers
    Vous avez deviné, ma préférence va à la démographie, car je crois que si nous réglons ce problème, les autres seront également bien prés de leur solution. C’est l’objet de la chronique à laquelle vous avez aimablement répondu, de ma démarche et de mon engagement.

    Amicalement

    Francis NERI

  • @ Helena Lacroix Protéger le vivant... parfait !
    Contrôle des naissances, OK.
    (Paradoxalement quelle joie à l'arrivée d'un nouveau né...........)
    Mais au delà........
    Quelle solution proposez vous pour diminuer de moitié la population du globe ?
    J'ai une idée... (pour la procréation j'ai arrêté depuis longtemps...) pour donner l'exemple nous pourrions supprimer nos proches, nos voisins, nous suicider... organiser des chasses à l'homme !
    Ré ouvrir les camps de concentration très efficaces pour l'élimination en grand nombre de l'espèce humaine !
    Les solutions ne manquent pas !
    Mais franchement elles me répugnent !Quelle dégradation!

    Guerres, misère, famine etc... il y a déjà assez de causes naturelles (???? pas si naturelles que ça) pour ne pas en ajouter !
    Malthus ? rappelez moi qui se réclamait de lui...
    Merci !
    Le respect de la vie d'autrui, de toutes les vies, voilà ce que nous devons transmettre aux générations futures !
    Nous, de notre côté, nous devons faire tout ce qui est en notre pouvoir pour leur laisser un monde aussi beau que possible ! Faisons confiance à l'humanité... elle a toujours su s'en sortir ! Sans baguette magique ni solution extrême.
    Soyons réalistes... mais optimistes quand même !
    Vive la beauté du vivant !

  • Merci Françoise pour votre commentaire qui démontre une grande affectivité maitrisée. Un blog est fait pour cela, débattre, conforter ses concepts, les mettre au jour de la pensée critique de l’autre. C'est le cas pour le malthusianisme dont les concepts ont très souvent été déformés.
    C'est ce que je précise dans mon blog, afin d'éclairer les propos d'Eléna :
    "Le malthusianisme selon Wikipédia est une politique prônant la restriction démographique, inspirée par les travaux de l'économiste britannique Thomas Malthus (1766–1834). Le terme est utilisé pour la première fois par Pierre Joseph Proudhon en 1849. Pour Malthus, seule la procréation des familles peu sûres de pouvoir nourrir leurs enfants devait être restreinte, et ceci par une chasteté volontaire fort éloignée des méthodes anticonceptionnelles et antinatales qui seront pourtant désignées ultérieurement comme néo-malthusiennes. Les préoccupations écologiques renouvellent aujourd'hui la problématique malthusienne. Ainsi, certains, comme le commandant Jacques-Yves Cousteau, voient dans l'excessive population humaine le principal obstacle à la sauvegarde des espèces animales et végétales."
    Encore une fois, il faut relativiser. Nous vivons dans un monde ultra-médiatisé ou chaque interlocuteur exprimera une opinion parfois violemment et cherchera à démontrer qu'il a raison.
    Chacun construit une représentation du territoire, une carte mentale, il s'y accroche et tente d'influencer l'autre, lui faire partager ses certitudes.
    Ainsi, l'information se substitue à l'observation directe. Nous construisons nos cartes mentales en interprétant ce qu'un autre a déjà interprété. Ces cartes se substituent à l'expérience directe et ce n'est pas toujours innocent.
    C'est, je pense, le cas avec Malthus. Nous ne savons de ces théories que ce que d'autres nous racontent. La réalité est certainement différente et c'est le cas pour tout et pour tous. Notre monde devient de moins en moins réel, il est de plus en plus le produit de nos représentations, un monde virtuel finalement, des cartes dans lesquelles nous vivons.
    Eléna interprète, vous interprétez, j'interprète. C'est ainsi mais je crois qu'à la sortie, grâce à un effort d’objectivité et de maîtrise de notre sensibilité, nous comprenons un peu mieux Malthus, Eléna, Françoise, Francis. Ce n'est déjà pas si mal.
    Le danger démographique, est devenu une "réalité" car nous sommes de plus en plus nombreux à la partager : "Nous sommes trop nombreux et si nous voulons survivre il faut réduire notre population." Comment, c'est tout le problème et c'est au final ce que dit Eléna, vous, moi et...Malthus.
    Dans ce contexte, trois petites questions à des "Hommes et des Femmes libres et responsables" :
    Depuis Malthus, et son cri d’alarme qu'avons nous fait ?
    Une fois encore laisserons nous le soin de résoudre le problème à nos enfants ?
    Le ferons nous où laisserons nous une cruelle nécessité régler la question pour nous ?

    Francis NERI

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