Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

  • Problématique

    La première signification de la notion de système c’est que ses éléments, étroitement reliés, chacun orienté vers un but, interagissent entre eux.

    L’analyse systémique étudie les éléments du système, qui sont eux-mêmes des sous systèmes, afin d’appréhender les buts individuels dans l'objectif de les rendre cohérents entre eux afin d’orienter le système qui les englobe vers une finalité commune.   

    Ces éléments sont donc interdépendants. Mais au sein par exemple d’une organisation, qui est un système comme un autre, ses éléments ne poursuivent pas toujours le même but, ce qui rend ingouvernable cette organisation « désorganisée » et chaotique.
    L’analyse systémique commence par l’identification des éléments « acteurs » et « moteurs » d’un système c’est la phase d’observation.
    Par exemple si l’on veut observer les éléments moteurs du système politique français de gouvernance afin de déterminer l’avenir du pays, il va falloir faire un choix et distinguer les systèmes les plus signifiants : les principaux partis, mais aussi les principales institutions (justice, éducation, police, médias etc.…) et jeter un œil sur les systèmes externes…l’UE, la Russie, l’Amérique etc.… ! 

    Nous percevons déjà la première complexité car si nous voulons examiner un ensemble « en mouvement » et en interaction nous allons devoir traiter une masse d’informations considérables. Il va nous falloir faire des choix et ne traiter que les sous-systèmes ayant déjà produits une « information » vérifiée et « utile » (méthode baysienne : L'inférence bayésienne est une méthode d'inférence permettant de déduire la probabilité d'un événement à partir de celles d'autres événements déjà évaluées).

    Ensuite, nous avons à examiner les « relations » entre les sous systèmes et percevoir quels sont leurs buts, vérifier la compatibilité avec les buts de l’ensemble afin de « remédier » en aval (prospective) aux dysfonctionnements inévitables.
    La troisième étape consistera à modéliser une gouvernance acceptable pour tous …et la mettre en œuvre dans la quatrième !

    Le moment de crise mondiale que nous subissons est propice à cette forme d’analyse et au renversement de la gouvernance actuelle.

    Pour ma part, après avoir fait une première analyse…et il faut savoir qu’il faut la refaire en permanence…j’en suis sorti épouvanté …j’ai recommencé, remplacé des informations par d’autres plus récentes et dont le « signal » signifiant semblait plus « faible »…alors j’ai adhéré au Front National en espérant promouvoir cette approche en son sein…lui seul à mon sens peut parvenir à résoudre l’équation …à la condition expresse  que la cohérence des buts soit acquise et qu’elle perdure jusqu’à la victoire… au moins.

    Il faudrait donc prescrire les comportements qui sont contraires à ceux qui créent les blocages.
    Dans le cas contraire, et c’est un peu ce qui se passe en ce moment, ce parti comme les autres ira à l’échec et il en sera terminé de notre « système » : les mondialistes, les multiculturalistes, les immigrationistes, les atlantistes, les gauchistes et les islamistes auront gagné !

    Une autre organisation sortira du chaos…mais pas la nôtre !

    Si quelqu’un parmi vous à de l’influence auprès de Marine Le Pen qu’il fasse passer le message…çà urge !


    Francis NERI
    29 12 14