George Soros
« Un projet de société mondialiste »
L’Europe traverse depuis des années une catastrophe migratoire sans précédent qui, si elle ne cesse pas, modifiera l’identité culturelle de notre continent pour longtemps. Face à ce chaos migratoire qui menace de tout emporter, discerner les responsabilités est fondamental. Celle de l’oligarque globaliste George Soros permet de comprendre qu’il n’y a pas de fatalité en politique : sans son intervention et son influence sur cette question, la politique migratoire européenne pourrait être tout à fait différente.
George Soros est favorable à une vassalisation et à une dilution progressive des souverainetés étatiques dans un système de gouvernance mondial inclusif, l’impérialisme direct lui apparaît comme trop visible et même risqué à moyen terme :
« La stratégie de Soros pour étendre Pax Americana diffère du modèle de Bush, en particulier dans sa subtilité. Mais c’est tout aussi ambitieux et tout aussi mortel. Les libéraux de gauche, qui admirent son soutien pour certaines de leurs questions favorites telles que les droits des homosexuels et la légalisation des drogues douces, le laissent s’en tirer à bon compte. »
La spécificité de l’Open Society Foundations de Soros étant d’opérer sur des thématiques sociales, sociétales ou métapolitiques sur tous les continents. Un outil d’autant plus efficace qu’il se présente comme indépendant des États ou des institutions internationales. De plus, si la plupart des ONG concentrent leur action et leurs moyens sur un thème précis, l’Open Society peut quant à elle, avec son idéal de société ouverte, embrasser tout le champ du possible des actions non gouvernementales. Comme l’expose la présentation officielle de l’OSF :
« Les fondations Open Society soutiennent aux quatre coins du globe des personnes et des organisations qui se battent pour promouvoir la liberté d’expression, des gouvernements transparents qui rendent des comptes, et des sociétés plus justes et plus égalitaires. Cela se traduit souvent par une attention particulière envers ceux qui souffrent de discriminations pour le simple fait d’être eux-mêmes, tels que les Roms en Europe, et d’autres forcés de vivre en marge de la société. »
Migration, dépénalisation des drogues, nouvelles normes sociétales (théories du genre, propagande LGBT), déstabilisations de régimes politiques, liberté de la presse, écologie : l’activité de l’OSF touche tous les sujets de société sensibles sur la plupart des continents. (…)
Un budget d'un milliard de dollars en 2018
Le budget officiel de l’OSF pour l’année 2017 était évalué à 940,7 millions de dollars. Pour 2018, ce budget a rejoint les 1, 005 milliard de dollars, ce qui représente une augmentation de plus de 60 millions de dollars en un an. Les dépenses totales de l’OSF depuis sa création sont estimées quant à elles à 14 milliards de dollars pour ses 33 années d’activité. Cela donne une idée de l’ampleur démesurée des moyens dont dispose le réseau Open Society Foundations. Comme l’indique le site de l’Open Society, George Soros a fait don à l’OSF depuis 1984 de 32 milliards de dollars sur sa fortune personnelle si on inclut les derniers 18 milliards de dollars qu’il a légués en 2017. Le budget que l’Open Society consacrait à la seule question migratoire en 2018 était de 63,3 millions de dollars. Aussi, en septembre 2016, George Soros promettait d’investir 500 millions de dollars de placements en actions dans des investissements qui bénéficient aux migrants.
Avec une telle force d’influence, George Soros peut véritablement être appelé « un homme d’État sans État » comme il se définit lui-même.
Selon la thématique chère aux mondialistes du "glocalisme" : fusion du global et du local. Investir le champ local et s’impliquer sur le terrain dans des problématiques bien réelles, inonder de moyens financiers colossaux des associations et ONG qui sont en fait autant de relais salariés de son projet de société, telle est la méthode Soros sur la question migratoire comme ailleurs.
13 03 19
Commentaires
la ligue Hanséatique du moyen age préfigure l'open société de demain
se souvenir que les commerçants prêtaient avant la campagne de pèche aux pécheurs de harengs de façon qu’a la clôture de la campagne le pécheur était encore redevable de 20% de la somme
c'était un esclavage déguisé ce qui nous attends bientôt .
Ce qui nous attend ...effectivement !
Les gens s'étonnent de la violence, qu'il s'agisse de celle des GJ, des forces de l'ordre, des racailles, des Black Blocs ou du terrorisme ici ou là. Ici même sur Facebook, c'est à chaque fois la même chose, les gens se forcent à croire aux catéchismes de tous bords leur enseignant que l'homme foncièrement est "bon" et fait pour vivre en paix ou autre chose dans le genre. Les gens perçoivent l'explosion de la violence dans leurs vies tranquilles à travers la vitre blindée de leur bulle de sécurité et le filtre sonore des médias, comme un accident, alors qu'il s'agit d'une norme biologique de comportement, d'une constante historique, d'une variable d'ajustement du vivant à un contexte.
La violence est tout ce qu'il y a de plus naturel, instinctif, inné, son inhibition et son contrôle sont artificiels, acquis, ce sont des "constructions sociales"!
Cette situation offre aux violents des-inhibés l'avantage. Je n'encourage personne à être violent, je décris seulement une situation dans laquelle celui qui condamne la violence pour elle-même, de manière ontologique, hors contexte, de façon aussi absolue qu'inconditionnelle, se livre lui-même aux violents et se rend implicitement indirectement complice de leur violence.
On appelle cela l'angélisme et l'on sait où cela mène. Je vis moi-même dans un pays (et j'y ai conçu mes fils) qui fonde sa propre existence en grande partie en tant que réponse à cette utopie mortifère.
François Amsallem
18 03 19