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  • « J’aime la France je vote F.N. »

    Séverine vient de fermer son groupe : « J’aime la France je vote F.N. »

    Ce n’est pas une mauvaise idée de « fermer » au moins provisoirement, de ne plus accepter de nouveaux invités et de ne communiquer qu’en interne au groupe, le temps de faire le point sur les tous récents évènements.

    Nous avons à faire évoluer le FN en interne et l'inciter à rassembler les souverainistes autour d'un projet commun, ne plus les diviser car nous voulons gagner en 17 et le F.N. ne gagnera pas seul ...je partage à ce sujet les inquiétudes et les propositions de R. Menard.
    Et pour nous faire entendre au FN et ailleurs, il va nous falloir être nombreux, décidés et cohérents à la fois dans notre communication et sur le terrain.
    Nous sommes tous dans l'attente des résultats de la « réunion au sommet » ... mais je crains fort que nous ne sachions rien des changements possibles s’ils y en a …en particulier de stratégie et de tactique sur l'UE, l'islamisation, l'immigration etc.
    Nous ne savons pas d’autre part si la " guerre des chefs " est enfin terminée.

    Tout cela n’est pas sérieux et ne présage rien de bon pour l’avenir…le notre !
    Et dans ce cas, il va nous falloir "bouger" pour en savoir plus sur l'évolution du "projet" F.N.
    Ensuite, prendre des décisions qui devront aller dans le sens ou nous devrons nous structurer, nous organiser pour IMPOSER aux partis, aux associations souverainistes et aux personnalités qui le sont également, ce nécessaire rassemblement, sur un projet et un programme commun, au delà des partis politiques et des intérêts des uns et des autres.
    La gauche l’a fait en 1981 et Mitterrand a gagné …pourquoi pas le Peuple de France …qui lui n’est ni à droite, ni à gauche, ni ailleurs mais il « EST » chez lui !

    Bref il appartient au peuple de reprendre la main, nous avons un an devant nous pour le faire !
    Ne perdons plus de temps, faisons le !

    Francis NERI
    23 02 16

  • Le monde où nous vivons.

    Claire Chazal : quand l’indécence se mêle à l’appât du gain …

    Très juste courroux largement démontré dans ce texte, mais il va falloir bien comprendre dans quel monde nous vivons et mettre un terme à nos illusions.

    Quand on n’a pas... on fustige ceux qui ont... Et dès qu'on peut avoir, on prend... même au prix d'un comportement putassier tout en se reniant soi-même... Ça ne mange pas de pain, comme dit le proverbe populaire !...l'honnêteté et l'esprit chevaleresque.... Deux notions qui sentent de nos jours, le moisi et la vieille moleskine transpirante du "TABARIN"

    Les derniers soubresauts d'une moralité moribonde s'exerçait encore sporadiquement il y a une quarantaine d'années mais depuis... tout à changé et pour ma part, j'ai comme une vague impression, que nos élus qui ne sont plus nos frères mais nos parrains, sont tous nés à " Corléone " quelle différence y à t'il entre "cosa-nostra" ou la "Camora" et un gouvernement Français...pour ma part je n'en vois aucune !...

    Tout fonctionne selon un mode mafieux surmultiplié à l'échelon mondial .Tout comme les deux célèbres congrégations plus avant nommées, qui ont troqué le banditisme petits bras, pour une activité de malfrats en "col blanc" qui de gagnes petits sont devenus des grossiums de la malveillance, de la traîtrise, de la malversation, du mensonge, de la duperie, de la crapulerie la plus répugnante, tout ce beau palmarès qualitatif, assumé sans sourcilier d'un iota et bien entendu, sans le moindre état d'âme !...

    Il y a bien longtemps que la mère CHAZAL c'est assise sur sa moralité guimauve, déjà à l'époque certainement pas très résistante. Aujourd'hui en ondulant de la croupe, elle offre son string pour que la sous-mafia médiatique lui glisse les talbins, par elle, tant convoités.

    L’autre adage dit que l'argent est un bon serviteur mais un mauvais maître... et bien nos responsables font la brillante démonstration qu'ils peuvent être mauvais, dans les deux cas à la fois !...

    On n’arrête pas le progrès !...

    Claude Allard
    22 02 16

  • Les politiques

    Je voudrais revenir sur ma chronique d’hier « Les musulmans » et préciser deux ou trois "éléments" de la problématique.

    Merci à Daniel et quelques autres donc les observations nous permettent d’avancer.

    Tout d'abord, il ne s'agit PLUS (nous avons déjà donné) de vouloir laisser s'assimiler, s'intégrer, s'insérer, s'éduquer, se socialiser…et particulièrement les enfants issus de l’immigration, quelle que soit sa nature.
    Nous devons y renoncer en ce qui concerne les migrants actuels car ils ne doivent pas avoir vocation à rester sur notre territoire.
    Il faut commencer à être pragmatique nous n’avons nul besoin d’eux, surtout s’ils ont et font des enfants.
    La croissance d’un pays ne passe pas par une démographie excessive …l’Allemagne en est un parfait exemple …bien au contraire, faire moins d’enfants est actuellement un bienfait pour les hommes et pour la planète.

    Le temps est fini de penser que c'est aux individus de monter vers la socialisation, vers l'intégration, et l'assimilation ce fut un piège des multiculturalistes dans lequel l’Éducation Nationale est tombée ...bas, très bas ...
    L’Éducation et la Socialisation doivent être imposées et depuis mai 68 nous faisons dramatiquement l'inverse, les migrants veulent nous socialiser, nous assimiler et nous intégrer.

    C'est donc un des premiers processus qu'il faut changer car l'auto régulation çà ne marche pas ! ... Et apparemment « ils » ne veulent pas « s’enrichir de nos différences » ni nous non plus d’ailleurs !

    Et c'est le deuxième point que je voulais préciser. Sur le plan politique, économique, financier, écologique, démographique et quelques autres, il faut imposer la régulation, le contrôle et la sanction et non pas "globalement" mais en fonction du niveau "démocratique" auquel est parvenu un État.

    Un État comme l’Égypte par exemple ne peut pas être régulé, contrôlé et plus généralement gouverné de la même façon que la France. Et la France de la même façon que l'Allemagne ou la perfide Albion et encore moins comme la Russie.

    En fait nous avons individuellement et collectivement à réfléchir à la meilleure façon de changer nos PROCESSUS internes et externes ...et vite.

    Nous avons à sauver notre pays, notre économie, notre culture, notre identité, notre peuple, il en vaut la peine. En tant que sauveteurs, nous n’avons rien à faire de la repentance, du multiculturalisme, nous n’avons rien à faire de ces idéologues tiers-mondistes qui se recherchent des persécuteurs chez les islamistes et les mondialistes.

    Nous avons à recruter des partenaires « joueurs » dont nous avons besoin pour aboutir aux résultats que nous voulons provoquer et, la responsabilité ne consiste pas à se retirer du jeu, quels que soit notre âge, nos moyens, les risques encourus.

    Tout système politique peut être : Situé, Analysé, Compris et il peut lui être imposé la notion de contrat positif AVEC le peuple.

    Les jeux, et échanges concernant le leadership, le pouvoir et ses décisions sont des processus énergétiques que nous devons comprendre et contrôler.
    L’expression du pouvoir, c’est un statut, des compétences et de l’énergie et nous devons veiller à ce que ceux que nous portons au pouvoir possèdent bien ces « qualités », mais sachent aussi les combiner et les concilier.
    La notion de contrat positif entre un candidat, les militants et les sympathisants peut permettre de parvenir à des résultats prévisibles satisfaisants à la condition que le jeu interne des egos et des ambitions personnelles ne créent pas un contexte destructeur du système car, changer c’est modifier les processus dans un système pas changer de système et encore moins le détruire.
    Enfin en cas de changement de tactique ou de stratégie, il est nécessaire de revenir sur le contrat passé entre les candidats au pouvoir et les électeurs potentiels.
    Il s’agir simplement de repréciser le contrat.

    Les projets politiques de « gouvernance » sont devenus des exercices de style très peu mobilisateurs. Ils sont déclinés par un groupe d’individus très restreints mais ne sont jamais réellement portés par l’ensemble du système.
    Les projets politiques, collectifs et personnels qui veulent mobiliser doivent répondre aux critères suivants :
    Ils comprennent une large part d’inspiration visionnaire, existentielle voire spirituelle. Ils véhiculent donc une forte dimension éthique, morale ou déontologique.
    Ils doivent proposer dans la forme et le fond une rupture radicale avec les habitudes passées (attitudes et comportements)
    Ils sont exprimés de façon simple et claire et prônent la confiance en l’avenir.
    Ils sont véhiculés par des personnes respectées et reconnues. Des « leaders d’opinion » dont les comportements sont conformes avec les expressions du projet.

    Le contrat passé avec les électeurs doit être sans ambigüité et il doit être prévu une place pour l’erreur et l’évolution du contexte.
    Dans le cas contraire l’électeur aura le sentiment justifié qu’il s’est fait avoir une fois de plus, que le contrat a été bien défini mais que le « leader » ne l’a pas respecté.
    Il va donc exprimer sa colère et son désappointement face à son incompétence, son inefficacité, son manque de professionnalisme et il va tenter de casser le système, s’il lui reste encore un peu d’énergie et de convictions.

    C’est exactement ce qui se passe depuis au moins 40 ans en France.

    Alors nous nous posons une question, une seule, dont une autre qui en découle : existe t-il actuellement en France un parti qui respecterait ces quelques règles simples ? Si oui lequel ?

    Dans le cas contraire ... que faire sinon prendre « l’affaire en main » ?

    Francis NERI
    21 02 16