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  • Une année explosive

    Cette année qui se présente à nous s’annonce potentiellement explosive. À la fois car la situation empire chaque jour un peu plus, rendant notre action toujours plus urgente, mais aussi car il se pourrait bien que les « élites » commencent à comprendre que leur politique des dernières décennies était erronée.

    Premièrement, l’urgence. La France – et avec elle toute l’Europe de l’Ouest – est confrontée à une situation presque désespérée. Pour rappel, en 2019 – date des dernières données globalement correctes du dépistage de la drépanocytose –, approximativement 41 % des nouveau-nés en France métropolitaine étaient extra-européens.

    Si tout n’est pas perdu pour la France, le pays est donc quand même en situation d’urgence absolue.

    En 2023 plus que jamais, le combat est donc nécessaire.

    Deuxièmement, l’éveil possible des « élites ». S’il est nécessaire de parler à la « France périphérique » et de ne pas sombrer dans l’élitisme pur, force est de constater que les grands changements historiques ont très rarement été impulsés et conduits par le peuple. Qu’on apprécie cela ou pas, les « élites » doivent être visées par nos actions politiques car sans elles, peu de chance de victoire finale. Et, justement, il existe des signes d’un frémissement au sein des « élites » françaises sur des sujets vitaux. Prenons l’exemple du nucléaire, violemment critiqué pendant des décennies au profit de l’éolien et du solaire ce savoir-faire technologique et industriel français vit un retour en grâce inespéré alors que la menace d’une crise énergétique plane sur l’Europe. Le mirage des éoliennes et des panneaux solaires s’évanouit.

    Alors, certes, nous sommes encore loin d’un réveil sur un plan encore plus vital : celui de l’identité et de l’immigration. Mais c’est un signe que les « élites » commencent à comprendre que les positions idéologiques promues par la gauche sur de nombreux sujets ne sont peut-être pas aussi pertinentes qu’il leur semblait il y a encore quelques mois. C’est aussi le cas s’agissant des questions d’instruction et de transmission où plus personne ne doute de la faillite des politiques publiques.

    J’ai écho, autour de moi, de plusieurs signaux faibles en ce sens. Il semble qu’une petite partie – pour le moment – de ceux qui nous dirigent pourraient bien se réveiller sur certains sujets essentiels.

    Alors, même si la situation nous semble parfois presque perdue, il est possible que le retour du réel rende possible un retour de bâton et des succès inespérés. À nous de tout faire pour créer les conditions de ce succès.

     

    Polémia  <contact=polemia.com@mlsend.com>

  • La dette

     Un échange avec un ami ...de longue date

    En termes de conséquences, si tu regardes la courbe de dette publique de la France, 1973 n'a eu qu'un effet mineur. C'est à partir de 1979, DEUXIÈME choc pétrolier, que nous avons commencé à nous endetter de façon systématique chaque année en faisant baisser le déficit, mais pas la dette elle-même (c'est un peu comme l'alcoolique qui se croit sur le chemin de la guérison parce qu'il boit MOINS !). La dette augmente avec Macron et sa politique du "Quoi qu'il en coûte" qui est rentable pour les banquiers, mais pas pour le pays. Il nous conduit à la servitude, comme dit Hayek.

    .....

    C'est tout à fait pertinent Nous savons tous depuis les années 70 que c'est la dette qui est notre tombeau et Hayek à raison, c'est le chemin de la servitude

    Pour l'instant nous sommes encore quelques-uns à avoir compris la manœuvre ; mais nous n'avons pas su faire passer le message de la sécession au plus grand nombre et, ceux qui savaient et pouvaient, trouvaient dans le système lui-même des avantages qui les faisaient taire

    Bref je pense que nous ne sortirons de ce cet enfer "technologique " entre autres, qu’’après, un énorme effondrement du "système global" Nous entrerons alors consciemment dans « le meilleur des mondes » et celui Orwell, en regrettant le monde d’hier.

    Un monde de stabilité où malgré les tensions nationalistes et gauchistes la liberté de l'esprit conservait toutes ses prérogatives

    C'est un brin nostalgique bien sûr ...mais ceux qui n'ont pas vécu mai 68 ne peuvent appréhender ce MOMENT

    FCN