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Economie et finance - Page 13

  • Oligarchie et féodalité

    " L'heure de la révolte armée est arrivée et il va bien falloir la faire et la supporter."

    Nous dit notre ami Laurent Droit Perault qui, en humeur contre Madame Taubira, nous prépare psychologiquement à une guerre civile possible qui suivrait probablement une révolte armée contre l’autorité constituée.

    Rien de bien réjouissant !

    C'est à mon sens plus compliqué que çà ! S'il suffisait de se débarrasser de Madame Taubira , qui n'est au fond qu'un instrument, comme l'est Hollande, Sarkozy et toute la clique ...ce serait déjà fait et nous n'en parlerions plus...

    Mais personne n'est plus convaincu que moi de l’existence d'une "féodalité" d'une "oligarchie" qui depuis 40 ans s'est confortablement installée dans les partis, les syndicats, les finances, l'économie, l'éducation, l'administration, la justice etc.
    Ce "régime" qui prétend tirer tout à lui est une monstruosité qui ORGANISE la division des Français.
    Pour le combattre et le défaire, il va nous falloir rallier toutes les "familles spirituelles" françaises.
    Il y a là une situation que nos pères ont connue dans la Résistance et nous avons, comme eux, à atteindre des objectifs de salut public.
    Le premier de ces objectifs c'est la prise de pouvoir.
    Jean Marie Le Pen vient de nous montrer ce qu'il convient de faire : ne pas s'occuper de quelle famille spirituelle provenait les hommes, les femmes, qui veulent collaborer à cet objectif, mais les apprécier selon leur capacité, leur dignité et leur bonne volonté et enfin savoir s'écarter le moment venu.
    Madame Taubira c'est l'écume des jours, et nous saurons défaire, une fois aux commandes de l’Etat, TOUT ce que cette marionnette et ses maîtres ont fomenté de nuisible.

    Francis NERI
    18 04 15

  • Impôts locaux

    « La charge des impôts locaux est si forte que bon nombre de retraités doivent se défaire de leurs logements et s'en aller ou se loger de façon précaire et retravailler. Bon nombre de campings servent maintenant à des familles qui vivent en caravane malgré la pression du fisc qui se refuse à considérer ce type d'habitat comme légal.

    La paupérisation va sans doute s'étendre aux revenus moyens après avoir laminé les revenus faibles, on va bientôt se retrouver dans le système américain où la pauvreté s'étale par quartiers entiers, de façon égalitaire entre noirs et "petits" blancs, avec des villes qui ne peuvent plus assumer le minimum. »

    Ivan Smolenski

    Quoi de plus normal, durant des années, les gouvernements, de droite comme de gauche, ont dit qu’il fallait accroître la part des profits au détriment de celle des salaires

    Ils pensaient les « innocents » que les profits se transformeraient en investissements productifs (Lionel Stoléru le clamait haut et fort).
    Mais les « financiers » veillaient et les profits sont allés vers des placements spéculatifs.

    Bref, nous nous sommes fait avoir une fois de plus !

    Alors vous comprendrez peut être pour quelles raisons Marine Le Pen propose d’augmenter le salaire minimum, de revenir à la retraite à 60 ans et, surtout, sortir de cet enfer économique et social qu’est l’UE et « son » Euro !

    Francis NERI

    17 04 15
     

  • Dissociété

    « Pourquoi et comment des millions d’individus persuadés que la coopération solidaire est cent fois préférable à la compétition solitaire restent-ils impuissants à refonder sur elle leur système économique et politique ? »
    Jacques Généreux

    Beaucoup d’acteurs et de commentateurs du débat public conçoivent encore l’enjeu des élections avec la grille de lecture ancienne et totalement obsolète.

    Ainsi, on opposait :

    • une droite plus soucieuse de réalisme économique et de la performance des entreprises à une gauche plus préoccupée par la redistribution et les droits sociaux ,
    • une droite survalorisant la sécurité et privilégiant la répression de la violence, à une gauche plus attachée à la prévention et à l’éducation ;
    • une droite fidèle à la Ve République et une gauche aspirant à une démocratie plus parlementaire et participative,
    • une droite visant une Europe plus libérale face à une gauche en quête d’Europe sociale.

    L’alternative en jeu dans l’élection opposerait donc deux conceptions différentes de l’efficacité économique, de la sécurité publique, de l’Europe et de la démocratie, deux chemins différents en quête de finalités au fond similaires.

    En réalité le projet idéologique et la pratique politique est devenue identique à droite comme à gauche.

    La nouvelle gauche de Manuel Valls comme la droite  « nouvelle » que Nicolas Sarkozy comme Alain Jupe veulent mettre sur les rails :

    Détruisent les perspectives de progrès économique.
    Maximisent l’insécurité, en ouvrant largement nos frontières, menacent la paix civile, en laissant prospérer l’Islam en France.
    Pérennisent  un  projet européen prédateur, nous imposent une mondialisation incontrôlée
    et bafouent la démocratie.
    Ne visent plus une démocratie de marché efficace qui respecte les normes environnementales et les droits du travail, qui surmonte les tensions sociales par la prospérité générale,
    Visent une « dissociété » des individus livrés à la guerre économique, privés de tout pouvoir pour orienter collectivement leur destin, disciplinés par la peur ou la pression morale de leur « communauté », au prix d’une restriction croissante des libertés publiques.

    La nouvelle gauche est particulièrement dangereuse pour une raison  insidieuse et redoutable : elle a en partie gagnée la bataille éducative, culturelle, la bataille des idées et des valeurs, au point que nombre d’élites à droite adhèrent désormais au multiculturalisme, à la « bien pensance » et au mépris de soi.  

    Il s’ensuit un brouillage complet du clivage gauche - droite qui transforme l’élection présidentielle :

    En compétition des personnalités
    Et non plus en engagement sur des projets politiques

    Et qui nourrit l’abstention.

    Là se trouve une source essentielle de la défection des classes populaires qui font un constat sans concession : « un appauvrissement des pauvres des pays riches et à un enrichissement des riches des pays pauvres » ainsi que le démontre Jacques Sapir dans son ouvrage « La Démondialisation ».
    Le peuple de France a parfaitement compris que la « mondialisation heureuse » était un mythe.

    Et qu’aujourd’hui ce ne sont plus des projets industriels qui sont mis en concurrence, mais des modèles sociaux et environnementaux    

    Ce qu’il réclame, et c’est la raison pour laquelle il se retrouve de plus en plus souvent dans le projet du Front National, ce n’est pas le Nationalisme et l’affrontement des nations, il réclame de la DEMOCRATIE, c’est à dire l’indépendance nationale, car si vous n’avez pas d’indépendance nationale, vous n’avez pas de démocratie.
    La démocratie signifie le pouvoir du peuple souverain, c’est ce que propose le Front National : le retour au peuple souverain.

    Nous sommes loin de la préservation de l’Union européenne et du Traité Transatlantique.   

    Francis NERI
    16 04 15