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Economie et finance - Page 10

  • Le temps du courage

    Le climat de la France se détériore à un point effrayant. Quel que soit l’angle sous lequel l’analyse objective se place, force est de constater que notre pays part à vau-l’eau, sur à peu près tous les plans. Cela dans un climat de violence qui ne peut que faire craindre le pire pour les mois à venir. Au point que beaucoup pensent que nous vivons actuellement une période de pré-guerre civile.

    A-t-on déjà vu un espace public dans lequel il n’est plus possible de vaquer tranquillement sans être contrôlé, fouillé, identifié, suspecté ? Espace public devenu un lieu de risque, de danger, de stress, sillonné par des militaires armés jusqu’aux dents.

    A-t-on déjà vu dans l’histoire de France des villes entières interdites à la police, à la justice, aux Français “de souche”. Villes devenues des territoires étrangers, prêts à en découdre avec les « franchouillards ».

    A-t-on déjà vu un pays survivre à une invasion organisée par les élites du pays envahi, entraînant un cortège d’insécurité et de violence, et des coûts gigantesques qui creusent des déficits déjà abyssaux ?

    A-t-on déjà vu un  gouvernement se préparant honteusement à prendre la fuite dans quelques semaines, vers des postes dorés créés sur mesure pour assurer à ses membres des fins de vie financières heureuses ?

    Pour toutes ces raisons, le climat devient peu à peu insurrectionnel : une étincelle pourrait déclencher des troubles graves, voire même une guerre civile bien difficile à juguler, tant le possible chaos risque d’être multiforme, et donc plus maîtrisable.

    Pour chacun d’entre nous, le temps du courage a sonné.
    Regardons les choses en face, froidement, lucidement, en faisant taire notre légitime colère. Depuis les années 70, La gauche comme la droite, complices objectives, règnent en maitres en se passant alternativement le pouvoir.
    Leur idéologie est semblable, ils croient que la liberté et les droits individuels, l’accueil de l’autre, le renoncement à la nation, à notre identité, à notre culture, à notre terre, sont les « valeurs actuelles ».
    Cette idéologie n’a donc rien de nouveau. Je me souviens de ma stupeur en entendant V.G.E. le jour de son élection proclamer : « Nous allons vider le programme commun de la gauche de son contenu » et immédiatement après appliquer, à quelques variantes près, ce contenu.     

    La « suite » a consisté pour les présidents successifs  à déconstruire l’autorité, la règle, la famille, les frontières, la nation. Ce sont eux qui ont détruit (au grand dam de Pasqua et de Seguin) l’école de la république. Ce sont eux qui ont nourri le communautarisme, ce sont eux qui ont désarmé la nation face au terrorisme et à l’islamisme, ce sont eux qui ont voulu et veulent encore arracher chaque homme et chaque femme à ses racines.

    Ils furent tous sans exception des « bien pensants » ne voulant pas faire de vagues, et leurs « obligés » ont patiemment, méthodiquement envahis tous les rouages de la société au point qu’il va falloir tailler à la hache et non plus au karcher pour nettoyer le « Système ».
    Ce qu’ils veulent est clair : un monde de consommateurs nomades et interchangeables un monde sans ancrage, sans histoire, sans limites.

    Et c’est ce monde hors sol que Macron et, ne nous y trompons pas Fillon, veulent nous conduire.
    Ils veulent simplement continuer à s’ouvrir à l’autre, à toutes les migrations, à renoncer à modeler et réguler notre économie, nos finances, notre industrie, notre agriculture etc.
    Ils veulent continuer à nous soumettre à la mondialisation meurtrière des multinationales, à toutes les places financières, à tous les vents commerciaux.
    Ils veulent rester dans leur continuité, et de cette continuité, les Français en colère n’en veulent plus, ils ne les supportent plus, ils sont décidés à en découdre avec eux.
    Ils veulent remettre de l’ordre dans le chaos ambiant qui fracture notre société, et pour cela, la droite, la vraie droite de Marine, la France en a besoin, car jamais la France n’a été autant en péril.

    Ne laissons pas encore une fois la France dans les mains de cette « caste » destructrice, en avril et en mai faisons ce qu’il nous plait, votons pour la victoire de Marine, notre victoire.     

    Francis-claude Neri

    13 03 17

  • Marine et son programme économique

    Ce que nous entendons et lisons de partout chez les opposants à Marine : « Elle nous promet entre autres, une sortie de l’Euro, c’est à dire une augmentation de la dette extérieure d’environ 400 milliards car le retour au Franc s’accompagnera d’une forte dévaluation de notre monnaie. Un coût du même ordre de grandeur que celui du revenu universel de Benoit Hamon ! »

    J’ai longuement étudié les possibilités offertes par le programme économique ET social de Marine et effectivement j'y retrouve sinon une totale probabilité de succès (ce serait inconscient et malhonnête d'y prétendre) mais une totale cohérence entre les trois axes : économique, socialement acceptable et offrant le maximum d'aspects sécuritaires suffisants pour le développer.

    Bien sur il faudrait que Marine face œuvre de "communication pédagogique" pour mieux expliquer le programme économique et la nécessité de sortir de l'UE pour le réaliser, car c'est la seule façon de persuader et de convaincre les hésitants.

    J’espère que nos messages dans ce sens finiront par lui parvenir car ce serait une catastrophe si nous échouions pour des questions de "communication".

    Francis-claude Neri
    20 02 17

     

  • Crise structurelle

    Pour ma part, je ne considère pas, comme beaucoup le pensent, qu'il s’agisse d'une crise de régime mais d’une crise "systémique" et structurelle, qui touche en cohérence, en concordance, un certain nombre de secteurs dit "en crise" dont les courbes se croisent et qui « rétroagissent » entre eux.
    A commencer par le visible c'est à dire la finance, l'économie, la production et l'affectation des "richesses" pour faire court. Et en cause des causes les questions culturelles, identitaires, cultuelles, écologiques etc.
    Le "reste" c'est la question de nos élites et de leurs pratiques. Il n'y en a pas une pour en racheter l'autre ; alors on voit les risques politiques et stratégiques se multiplier sans qu’ils lèvent le petit doigt pour y remédier.  Ils ne pensent qu’à leurs prébendes et à piller ce qu’il reste de la France.
    Une partie du peuple exacerbé et en rage estime qu’il faudrait en guillotiner quelques uns  pour servir d'exemple et mettre au cachot le reste.
    Certain réclament un  De Gaulle comme un sauveur. Ce qui ne nous avance pas à grand chose sinon comme référence. Le contexte est si différent et, depuis 60 ans le système nous avait accoutumé à une gouvernance apaisée démocratique, libertaire, au libre échange, à une répartition des richesses acceptable pour le plus grand nombre grâce à la croissance, c’est fini et depuis un bon moment.
    Depuis le premier choc pétrolier de 73 la donne à changée ...pour ce qui nous concerne nous ne l'avons pas encore intégré dans nos attitudes et nos comportements.

    La démocratie, la liberté d'entreprendre, le marché et le libre échange ont besoin d’un Etat fort pour les protéger, les réguler, les contrôler et en permanence remédier aux écarts.
    C’est cet Etat dont nous avons besoin et il me semble que seule Marine le Pen est en mesure d’en « reconstruire » un. 

     

    Francis-claude Neri

    15 02 17