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Insurrection - Page 49

  • Alain Juppé

    J’ai un immense dégout pour une certaine classe politique dont Alain Juppé est un des plus sinistre représentant.
    Juppé, roi du politiquement correct fait du « populisme » et donc du populaire un ennemi de la Nation
    La colère du populaire va lui faire payer cher la façon dont il le traite d’imbécile, de raciste et de  fasciste, car c’est bien comme cela qu’il voit les électeurs et sympathisants du FN voire de tous ceux qui ne sont pas de son idéologie immigrationiste, tiers mondiste, multiculturaliste et mondialiste à la fois.

    Ce mandarin d’une classe en sursis appartient à une autre planète, factice, hors sol, méprisante.  Il va vite se rendre compte que les classes populaires ont brisé leurs chaines, qu’il ne nous aura plus avec ses discours émotionnels, compassionnels, de bienveillance envers l’ennemi islamiste, et les bons sentiments tournés exclusivement vers les migrants des pays de l’islam.
    Il se garderait bien par exemple de plaindre une seconde les chrétiens d’Orient.

    Le politiquement correct, bête noire de Marine Le Pen, est le mur que les Français doivent abattre par dessus la classe dominante qui s’accroche au pouvoir et les partis enfermés dans la poursuite de leurs propres intérêts.
    La France insoumise doit imposer sa parole libérée, sans concession à l’islam pour prix de la paix civile qui annonce la capitulation.
    Alain Juppé se dit le seul à pouvoir battre Marine Le Pen ; nous affirmons que Marine le Pen est la seule en mesure de battre les ennemis intérieurs de la France et Alain Juppé le premier.         

    Francis-claude Neri
    27 10 16

  • L’homme sans contexte.

    L'État islamique se nourrit du vide spirituel occidental si bien décrit par Soljenitsyne en son temps. Dans un numéro du magazine de propagande de l'État islamique en français, Dar-al Islam, on pouvait lire ce passage sidérant: «Ce pays faible (la France), en pleine crise économique et morale dont le peuple est abruti par les divertissements, où la presse people est plus lue que la presse politique, déclare la guerre à un État (l'État islamique) où chaque habitant est un combattant en puissance ayant suivi un entraînement militaire et faisant la guerre pour sa foi, espérant le paradis éternel s'il est tué».

    Le problème de cette description de notre société dans les opuscules islamistes est qu’elle est partiellement vraie. Nous sommes devenus sur plus d’un point des décadents, mus par le seul intérêt égoïste dont le travestissement de la pensée libérale a fait la source de tout bienfait (« les vices privés font les vertus publiques »), attachés à notre seul confort et à des ambitions uniquement matérielles ou égotistes.

    Face à cela, des fanatiques formés à se penser comme des combattants et prêts à aller jusqu’au sacrifice suprême pour ce qu’ils défendent ont toutes leurs chances. Nous ne parvenons déjà plus à les contenir. Celui qui n’est pas prêt à engager sa propre vie pour les valeurs dans lesquelles il croit se repose sur des dispositifs trop lourds, trop lents, parce qu’ils dédouanent chaque citoyen de sa responsabilité.

    L’on peut trouver choquant que j’en appelle ainsi à une forme de glorification de l’esprit guerrier, qui est aussi celui des fanatiques. Mais précisément, une civilisation qui laisse aux seuls extrémistes et fanatiques le monopole de l’esprit guerrier est vouée à la disparition. Toute grande civilisation a su à un moment ou à un autre penser la question de l’usage légitime de la force et de son usage illégitime. Sans Léonidas et Thémistocle, Socrate, Phidias et Périclès n’auraient jamais vu le jour. 

    L’on ne peut donc se contenter de l’évacuation simpliste et quelque peu bien-pensante de toute violence : il nous faut penser à nouveau le rapport à l’autorité et au droit d’employer la force. En sachant que celui qui engage le combat doit être bien conscient que cela peut impliquer d’aller jusqu’à ses conséquences ultimes, la mort de l’adversaire ou de soi-même, et qu’il ne sera plus temps de rebrousser chemin une fois engagé.

    Extrait de « La dignité du hoplite »

    Marc Rameaux

    11 10 16

  • Injonction paradoxale

    "TOUS les musulmans sont objectivement solidaires et complices des terroristes." (a)
    "Pas d'amalgame, tous les musulmans ne sont pas des terroristes"(non-a)

    Donc pour ce qui nous concerne nous avons affaire à ce qu'on appelle en psychothérapie une "injonction paradoxale" : un évènement a est sur le point de se produire, mais a est fâcheux.
    Le bon sens voudrait qu'on l'évite ou qu'on l’empêche en faisant appel à son inverse ou opposé, c'est à dire à non-a ...mais il n'en résulte qu'une "solution" de continuité (changement de niveau 1)
    Tant qu'on recherche la solution par un changement de type 1 (faire son choix entre a et non-a ) on est pris dans une illusion du choix possible et nous pouvons tout au plus "faire un peu plus de la même chose"
    La solution c'est ni a ... ni non-a ...c'est un principe séculaire qui consiste à "sortir du carré"
    Si vous dites : tout musulman est un terroriste, vous affirmez ; si vous dites : ce n'est pas un terroriste, vous niez. Au delà de l'affirmation et de la négation, qu'en diriez-vous ?

    Il s'agit là d'un koan zen caractéristique structuré de telle sorte qu'il oblige l'esprit à sortir de la trappe constituée par l'affirmation-négation et à faire un saut quantique jusqu'au niveau immédiatement supérieur appelé satori.
    C’est l'essence du changement de type 2 celui qui permet le changement lorsque les faits concrets de la situation sont ou semblent immuables ....c'est à dire " la technique de recadrage" ; l'art de trouver un NOUVEAU cadre.

    Je considère que le nouveau cadre en question c'est l'acceptation du fait qu'une guerre totale nous est déclarée et que par simple principe de précaution, en guerre contre l’islamisme, nous devons considérer TOUT musulman comme suspect et agir en conséquence.
    CQFD

    Francis Claude Neri
    19 09 16