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systémique et complexité

  • Le libéralisme etc.

    Définir le globalisme, le localisme, le mondialisme, le libéralisme et le souverainisme en décrire la complexité et démêler les interactions  n’est certainement pas chose aisée. Certains s’y essayent, sans être pour autant entendus. On peut aussi essayer d’engager le débat par l’approche systémique et en combattant les idées reçues.

    Par exemple le Libéralisme

    La règle libérale intervient en tant qu’éthique de l’action : je m’interdis de te contraindre à agir comme je crois que tu devrais le faire, quelles que soient mes raisons de le croire. Je m’interdis aussi de t’empêcher par la force d’agir comme tu crois devoir le faire, que ce soit directement ou en demandant l’intervention d’un tiers (par exemple l’État), et j’estime que tu as les mêmes obligations envers moi. La règle libérale bannit la violence et la contrainte des moyens acceptables, quelles que soient les fins visées et les intermédiaires éventuellement utilisés.

    Bref il semble que ce que nous vivons actuellement est tout sauf du « libéralisme » !

    La règle libérale interviendrait en tant qu’éthique de l’action  !
    Est-ce factuel et vérifiable ?
    Le libéralisme n'est il pas victime du "sentiment" qu'il est comme le renard libre dans un poulailler qui ne l'est que fort peu ?

    https://www.contrepoints.org/2020/01/23/362814-pourquoi-le-liberalisme-nest-pas-bien-vu-d'une-grande-partie-des-francais

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    28 12 20

     

     

  • Une société de la connaissance

    En dehors de l’inquiétante question démographique et de la nécessité de maintenir une population en décroissance jusqu'à obtenir un "équilibre " acceptable, je ne vois qu'un avenir parfaitement viable 
    Bien entendu, nous allons devoir apprendre la régulation, le contrôle et la remédiation ...et cette dernière peut effectivement être violente.
    Ce n'est pas nouveau, De Foucault (et il n’est pas le seul) parlait déjà de l’avènement d'une société où l'emploi industriel deviendrait rare, où la robotisation prendrait la place de l'homme au travail.  Et bien entendu s’ajoute à cela les migrations sauvages et le choc des cultures.

    Sa vision ouvrait directement sur l’avènement de pouvoirs transversaux, latéraux, décentralisés grâce au réseau.
    Les pouvoirs viendront de partout écrivait-il ...ils sont partout.
    En effet, les réseaux sociaux et internet ont créé de nouveaux espaces de voisinage et d'échange qui mettent en cause et défient les pouvoirs pyramidaux traditionnels.
    C'est un véritable cocktail explosif de nature à non seulement influencer les gouvernements, mais aussi les faire plier.
    A nous de savoir nous en servir en alliant nos compétences techniques, psychologiques, de communication etc.

    C'est ce que nous voulons formaliser avec le projet de réseau "infogroupes".

    Les affrontements, conflits, débats d’idée se produisent en tout points du réseau, se relaient et se transmettent de page en page, de blog en blog, de site en site.
    Les manifestations de pouvoir et les forces de résistances doivent s’exprimer partout et être visibles partout …bas les masques, osons la clarté de nos intentions.
    Les rapports de force seront déstabilisés par des rapports de flux massifs utilisant les faiblesses de l’adversaire selon le principe des arts martiaux ou de la cyberversion (cyberguerre).
    Des forces relativement faibles exercées à des endroits précis, ou des liaisons faibles  mais amplifiées par la multiplicité des réseaux peuvent déstabiliser des pyramides de pouvoir. « Les victimes » de « lanceurs d’alertes »  en savent quelque chose !

    La légitimité du pouvoir est contesté en raison de ses dérives et dans ce cas la « violence légitime »  change de main, le peuple s’en empare.
    C’est ce qui risque de se passer puisque le pouvoir actuel est reconnu pour être incapable de maintenir nos sociétés humaines dans la loi, l’ordre social, moral et la sécurité par l’Etat, la famille, l’école, la justice, l’armée, la police et même nos entreprises !

    C’est une contre société que nous avons à faire émerger, une société de la connaissance. Une société aux pouvoirs transversaux et à l’intelligence collective des réseaux humains, capables de produire des valeurs et des règles simples à appliquer individuellement et collectivement.

    Au travail !
    Plus est en nous

    Francis-claude Neri 

    10 08 17   

     

  • Waterloo

    Que peut on faire à Waterloo sinon regarder le spectacle des armées qui s’affrontent ...c'est beau !
    La réponse ici et maintenant se trouve dans les besoins sans cesse croissant de l’espèce humaine se heurtant aux limites des ressources de la planète, phénomène sans exemple dans le cours de l'évolution naturelle depuis les origines.
    Nous en sommes à la rupture inévitable et la réponse c'est une profonde transformation des conduites et des pratiques collectives …changer de système est un non sens total.
    Même Zemmour nous dit que nous sommes victimes de nos trois insuffisances de régulation et de contrôle : au niveau individuel, au niveau des groupes sociaux au niveau de l'espèce.
    C'est la dessus qu'il nous faut travailler.
    La crise des subprimes en est un exemple éclatant démontrant à l'évidence que l'auto contrôle çà ne marche pas...alors pour quelles raisons insister ?

    Francis NERI
    29 03 16