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Le grand remplacement - Page 22

  • Une de mes réponses à un musulmaniaque

    Une de mes réponses à un musulmaniaque :

    "Regardez autour de vous et dite-nous ce qui est issu de la technologie de pays musulmans

    En effet, il vous suffit d'accomplir le travail tout simple de regarder autour de vous objectivement, qu'est-ce qui a été inventé récemment par des musulmans : votre ordinateur ? Votre smartphone ? Le programme qui le fait fonctionner ? L'électricité qui l'alimente ? Le plastic du fil électrique ? Le béton qui construit votre maison ? Son système de chauffage ? La centrale qui produit l'électricité ? Le moteur thermique ou électrique de votre véhicule ? L'essence qui l'alimente ? Etc...

    Il suffit de constater que les 57 pays musulmans sont simplement derniers en tout : des sociétés dont l'objectif principal tourne TOUJOURS autour des questions adolescentes du sexe et de la sexualité, questions traitées avec autant d'objectivité que le ferait une assemblée de bonobos MÂLES à la fois en rut et terrorisés par les femelles.

    Du coup, les sociétés musulmanes sont toutes en apparence et superficiellement très policées sur les passionnantes questions de coup de langue sur le clito et du sifflet dans la tirelire ainsi que sur de profonds dilemmes spirituels genre si on a le droit de péter durant la prière ou pas.

    Mais toutes ces sociétés infectées par l'islam, toutes, sans exception, sont immatures, ultra violentes, phallocrates, misogynes, autoritaristes voire dictatoriales, incroyablement inégalitaires, pauvrissimes sauf pour une élite qui se maintient au pouvoir par la force, suprématistes, improductives scientifiquement, technologiquement, philosophiquement, moralement et artistiquement.

    En observant les sociétés intellectuellement castrées que cette doctrine engendre, on prend conscience que l'islam est une idéologie de destruction de masse propageant le chaos et abolissant ce qui différencie l'homme de l'animal : la liberté d'aimer, de penser, de s'exprimer, de créer, de vivre et de mourir..

    Lumière au bout du tunnel : des musulmans et plus encore des musulmanes prennent conscience qu'ils sont les premières victimes de l'islam et quittent -parfois en secret même de leur famille- cette funeste idéologie ; hostile à tout progrès, l'islam ne résistera pas plus à l'invention d'internet que le christianisme n'a résisté à l'invention de l'imprimerie et dans 1 à 3 siècles, le coran sera rangé sur le rayon "MYTHOLOGIES - MONOLÂTRIES" des bibliothèques et ne sera plus parcouru que par le seul lectorat qu'il mérite : la vermine qui le réduira en poussière..

    "Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet."
    (Chateaubriand)

    P.S: : Pour le train de vie dans les pays musulmans : "C'est à cause de l'URSS ! C'est à cause des USA ! À cause ses Juifs ! À cause des Chinois ! Méchants racistes, vous avez de la haine pour tous les pôôôvres musulmans !" !
    Ça fait un moment qu'on ne prend plus ça au sérieux ! "Haineux " ; "Raciste" ; "Islamophobe" ne prennent plus avec nous."

    Xavier Catherine Penon-Campagna .

    05 07 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Effondrement

    Je ne fais pas le moins du monde confiance à mon intuition, au contraire je me méfie de mes biais cognitifs.

    La thèse et l'antithèse de l'effondrement relèvent de domaines techniques variés incluant la finance, le fonctionnement du système capitaliste dans son ensemble dépendant de la croissance, la climatologie, la pollution, la biocapacité, l'agronomie, la question des ressources, en particulier celle des pics de sources d'énergies fossiles.

    Trancher cette question est pour un individu lambda, un travail de nature épistémologique, généralement très au-delà de ses capacités cognitives, de son bagage scientifique de ses connaissances techniques, des dogmes qui régissent sa pensée, de sa pertinence analytique, de sa plasticité cérébrale, plus précisément il s'agit de se faire une idée en mesurant la validité des éléments de la thèse et celle de ceux de l'antithèse.

    Ce n'est pas à la portée de tout le monde mais quand bien même l'obstacle principal reste la dissonance cognitive, liée à l'incapacité d'imaginer la fin de quoi que ce soit, en particulier la sienne propre, a fortiori celle de son environnement, du système de la société à partir de données abstraites en contradiction avec ce que ses sens perçoivent et son quotidien, c'est-à-dire l'abondance, la consommation, "le Progrès"...

    Les personnes qui ont contracté un crédit, celles qui se projettent dans une carrière professionnelle celles qui ont des enfants a fortiori en bas âge, ne peuvent-être blâmées si elles sont dans l'incapacité d'imaginer l'effondrement.

    Il va de soi que cette incapacité à se projeter dans un avenir incertain, difficile, voire apocalyptique, en chevauche une autre, souvent appelée le grand remplacement.

     

    François Amsallem ·

    04 07 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Civilisation

    Une  nébuleuse de planètes idéologiques.

    Une civilisation avance et se maintient selon une dynamique de renouvellement, sinon elle stagne, se sclérose et dans un environnement en évolution, elle devient tributaire, parasite ou se condamne à disparaître à terme.
    Le renouvellement est un double processus à la fois cyclique et concomitant, pour partie réversible, pour partie irréversible, de destruction-construction, pour partie planifié intelligemment pour partie totalement hasardeux, arbitraire et erroné!
    Il faut supposer qu'il existe une fourchette de ratios maximaux et minimaux de (auto-)destruction et construction à l'intérieur de laquelle une civilisation évolue dans la continuité et se maintient. L'histoire occidentale a laissé la trace de ruptures voire de révolution, mais un certain nombre de continuitéS l'ont accompagnée jusqu'à il y a peu.

    La plus grande, la plus évidente, de ces continuité est biologique, le peuplement européen est un bassin génétique très stable au moins depuis l'aube de la civilisation, jusqu'aux premiers flux migratoires au début des années cinquante du vingtième siècle avec l'arrivée massive d'antillais en Angleterre.
    Sur ce point et sur une toute une série d'autres, il semble que les ratios de destruction et de construction ait quitté la fourchette. Il semble par exemple que l'immigration de masse un projet de construction d'une société nouvelle multiethnique, multiculturelle, construise trop, trop vite, trop différent et évidemment détruise trop pour s'intégrer dans la civilisation occidentale européenne (il faudrait inclure les États Unis et le Canada), sans la désintégrer.

    Il semble qu'on pourrait également dire la même chose de l'idéologie d'accompagnement de ce phénomène et de beaucoup d'autres composant la nébuleuse de planètes idéologiques, postmodernes, politiquement correct, antiraciste, anti spéciste, islamo-compatible, théorie du genre etc., gravitant autour du trou noir intellectuel, le relativisme absolu, avec son rayonnement gamma l'opinion-isme.
    On peut observer bien d'autres domaines, dans lesquels il semble que la civilisation occidentale (européenne) ait enclenché le processus de sa propre auto destruction. Je ne saurais à ce propos dire s'il s'agit d'un syndrome d'auto satisfaction destructrice, phénomène qu'on décrit quelques fois avec un mot désuet, la "décadence", que certains historiens ont cru avoir déjà observé et que certains vont même jusqu'à y voir un déterminisme condamnant à terme toute entreprise de civilisation.

    Peut-être péchant par excès d'optimisme suis-je victime d'un biais cognitif, toujours est-il que je suis sceptique sur ces deux derniers points.
    Les exemples ne manqueraient pas en dehors du Grand Remplacement, si l'on voulait illustrer la thèse de la fin de l'Occident et des valeurs sur lesquelles reposait sa Civilisation, tellement brillante qu'en à peine deux siècles elle avait réussi à éclipser définitivement toutes les autres haut la main, dans TOUS les domaines.

    On pourrait parler des chaînes de solidarité brisée en tenaille, par le haut avec l'hyper richesse défiscalisée et par le bas avec les cohortes de parasites en provenance du monde entier s'agglutinant et s'ajoutant aux éléments locaux, sans compter par le milieu avec les parasites du milieu, les fonctionnaires inutiles du public et leurs équivalents du privé, bref la liste est longue mais passons au plus grave l'environnement.

    Il n'y a rien dire à des gens qui ne veulent pas voir ce qui a été perdu, chacun prendra la mesure de l'auto destruction et se demandera à quoi et dans quelle mesure il a lui même collaboré à la destruction de son monde.

    François Amsallem

    28 05 19