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mondialisation et islamisation - Page 2

  • La démocratie libérale

    Certains de mes amis, et non des moindre,  pensent que le libéralisme que nous vivons de nos jours, depuis une cinquantaine d’années en est toujours un.

    Son principe de base qui serait en quelque sorte l’auto-régulation étant toujours d’actualité, même si quelques « pervers » financiers nous démontrent qu’il n’en est rien.

    Il n’y a pas, vous dis je chers amis, de libéralisme sans démocratie et c’est quoi la démocratie libérale sinon une architecture complexe et dynamique dont l’objectif consiste à faire en sorte que les hommes se gouvernent eux même, et en particulier au delà de toute forme de religion. 

    En réalité un monde difficile à réguler et contrôler. Un monde ou les hommes seraient autonomes. Ce monde invente son histoire en avançant, une histoire à écrire à chaque instant.
    Pour les démocrates libéraux l’avenir est incertain et infigurable. Il n’est en rien déterminé et inscrit quelque part !

    C’est à eux à le penser, à le faire  et donc de se donner les moyens pour cela !

    C’est de cela dont il est question actuellement et c’est cela que veulent nous enlever à la fois un système politico-religieux de mort et un libéralisme qui n’est est plus un…

    Ne les laissons pas détruire en quelques années ce que nous avons construit avec du sang et des larmes en luttant encore et toujours contre toute forme de totalitarisme.

    Aux armes citoyens !

    Francis NERI
    21 03 16
       

  • Trois ans et toujours RIEN !

    Et si l’islam était le problème – par Robert Ménard
    jeudi 10 janvier 2013

    Comme beaucoup d’entre vous, je suppose, je reçois, chaque jour ou presque, des textes, des photos, des vidéos adressées par des amis ou des amis d’amis. Des documents parfois faux, souvent tirés de leur contexte, mal interprétés, bourrés de partis pris.
    Et puis, de temps en temps, arrive sur ma messagerie quelque chose qui me saisit, m’oblige à me poser certaines questions que, trop brutales, je m’évertue, parfois, à chasser de mon esprit.
    Ce fut le cas ce week-end avec la vidéo d’une émission diffusée sur France 24 et que je n’avais pas vue. Il s’agit d’un entretien mené le 25 juin dernier par le journaliste Gauthier Rybinski. Son invité : le père Henri Boulad, ancien directeur du Centre culturel jésuite d’Alexandrie. Autant dire quelqu’un qui sait de quoi il parle. Et qui ne mâche pas ses mots. Pour lui, pas de doute, les Frères musulmans ont un plan, « clair comme le jour » dit-il, de « conquête ou de reconquête du monde ». Un « fascisme vert » qui profite de la « naïveté monumentale »de l’Occident.
    Tout cela, je l’ai entendu mille fois. Non, la nouveauté — en tout cas, pour ce qui me concerne — c’est que le père Boulad ne met pas en cause certains musulmans, les plus extrémistes, les fondamentalistes, les salafistes, mais l’islam en tant que tel. Il y a, affirme-t-il, « incompatibilité totale entre islam et démocratie ». Et pour trois raisons, explique-t-il, qu’il me semble essentiel de comprendre et de retenir.
    La première : pour les musulmans, le Coran est incréé, c’est-à-dire qu’il est intouchable. La seconde : les versets médinois qui appellent à la guerre, à la violence et à l’intolérance remplacent, abrogent, selon les musulmans, les versets mecquois, mystiques, religieux, ouverts. La troisième : au Xe siècle, les musulmans ont décrété qu’il n’y avait plus lieu de réfléchir sur leur foi, c’est ce qu’on appelle la fermeture de la porte de l’interprétation, l’ijtihâd.
    Cerise sur le gâteau islamiste, si j’ose dire, le père Boulad rappelle le principe de la Taqiya qui fait du mensonge, de la duplicité, non seulement un droit mais un devoir pour tous les musulmans si c’est pour le bien de l’islam.

    Qu’ajouter ? Rien. Si ce n’est — et le père Boulad s’en charge — que« l’islamophobie » est le nouvel argument, « la nouvelle arme » des Frères Musulmans pour faire taire des Occidentaux pétris de mauvaise conscience. Et pendant ce temps, accuse notre jésuite, ils continuent leur« infiltration ». Troublant…
    Boulevard Voltaire

    Voilà qui pose "LE" problème et avec une certaine simplicité et objectivité. Mais une fois que nous avons pris conscience de la gravité de la situation, établi quelques relations, que faisons-nous ? Avec qui ? Comment ? Avec quels moyens ?
    Pour ma part, je suis persuadé qu'il serait vain de s'en prendre aux musulmans de base. Ce serait contre productif. Je constate chaque jour leur évolution et, la plupart se rallient à celui ou ceux qui leur semble détenir LE pouvoir et en particulier le pouvoir religieux, cette "certitude" pour laquelle Camus disait qu'elle ne "valait pas un cheveu de femme".
    L'évolution de ceux et de celles qui, il n'y a même pas un an, affichaient une certaine distance avec l'Islam semblent vouloir à présent respecter le dogme et les règles imposées avec une rigueur de plus en plus grande (voile, costume traditionnel etc.…)
    Nous n’avons aucune chance de les voir se retourner contre leurs « extrémistes » mais, ils le feront sans hésiter contre nous.
    Des quartiers jusqu'à présent "préservés" sont rapidement annexés par de nouveaux venus et la substitution de population est en marche avec la complicité des pouvoirs publics qui veulent imposer la "mixité sociale".
    Des isolats se constituent ici et là. Les "Gaulois" quittent les lieux devenus "sensibles" et se regroupent par appariement sélectif.
    Ceux qui le peuvent quittent la France et pas seulement pour des questions fiscales comme nos élites voudraient nous le faire croire, mais pour fuir un pays qu'ils ne reconnaissent plus comme le leur et au sein duquel les plus jeunes ne se voient aucun avenir.
    Le plus "comique" dans cette affaire c'est de voir nos politiciens, économistes et financiers qui nous ont vantés l'appartenance à l'Europe et à la mondialisation depuis au moins mai 68, s’indigner lorsque des personnes comme Depardieu, « formaté » par cette idéologie, les prennent au mot et s'en vont retrouver des cieux qu'ils pensent plus cléments.
    Et je ne citerai même pas tous leurs complices, chercheurs et philosophes patentés qui s’acharnaient à nier nos valeurs, la nation et nos identités, mais j’ai des sentiments très négatifs envers des personnes comme Sartre, Beauvoir, Bourdieu, Lacan, Dolto et j’en oublie volontairement !
    Lorsque nous réunissons ces éléments, que nous établissons les relations et les interactions, nous pouvons prendre peur et revenir à la question posée ci dessus : Que pouvons-nous faire pour changer le cours des choses qui semble à présent inéluctable ?

    Y a-t-il autre chose à faire que la voie élective, légaliste, républicaine, démocratique ?

    Francis NERI
    11 01 13

    Cher Monsieur NERI ,

    Vous avez raison ne perdons pas de temps a ressasser les horreurs fondées ou supposées , dont le monde musulman se rend coupable ou se fait complice.

    Mais pire que le monde musulman il y a ce monde occidental totalement inconscient des risques gravissimes auxquels il concourt à nous exposer avec la complicité politique à laquelle il se livre et, NOUS livre !
    Il n’y a pas si longtemps que j’ai entendu un homme d’apparence raisonnable, affirmer sans la moindre hésitation et comme une certitude absolue, que l’islam et la chrétienté c’était la même chose. Cette stupidité était assenée avec une conviction et une assurance telles , que l’ensemble de l’assemblée est apparue perplexe sinon convaincue.

    Pour ma part à l’époque ma connaissance encore plus instinctive que réelle, ne me permettait pas d’entrer dans un débat qui risquait de devenir négatif. Je me suis donc tu.

    Depuis, préoccupé par les conséquences sociologiques, culturelles et humaines d’une situation qui sous la poussée délirante de nos politiques, s’emballe telle un ras de marée,. j’ai découvert la redoutable réalité islamique. Redoutable parce que folle démente, et de ce fait incontrôlable par le raisonnement. De ce fait et de par les mœurs de ces gens qui sont autorisés par leur théologie, à mentir effrontément à toute personne non musulmane, et par conséquent, capables de dissimuler durant des générations afin d’êtres surs de l’emporter. Pour cela des générations entières sont éduquées à la conquête. Pour le Musulman, en dehors du Dar el Islam la terre ou l’islam est maître, il y a la terre a conquérir le dar el harb la maison de la guerre il s’agit de pays ou de régions dans lesquels l’Islam se considère assez fort pour en entreprendre la conquête. Dans ces pays, le jihad est à l’ordre du jour, proclamé ou pas. Enfin le Dar el Sulh la maison de la trêve. Dans ces régions les musulmans se savent trop faibles pour mettre en cause les lois en place et observent les lois des pouvoirs en place tout en s’efforçant de les affaiblir, en attendant de transformer la région en Dar El Harb c’est alors la guerre.
    Mème si ce raisonnement peut se voir apporter des nuances, il n’en demeure pas moins la structure fondamentale de l’action du monde musulman.

    Il faut faire comprendre à nos concitoyens du moins ceux qui ont gardé la notion d’appartenance à notre patrie, que le monde musulman par la force des choses c'est-à-dire leur croyance en la supériorité supposée de leur religion, et la finalité qu’ils lui attribuent, c'est-à-dire la domination du monde, il n’y a de place pour personne de libre.
    La vie de chaque personne étant fixée conformément à la loi coranique dont il est impossible de dévier. Pour le musulman moyen l’application des règles coraniques ne concède rien et leur application est totale. En dehors des musulmans les non musulmans qui sont appelés Dhimmis, ont des statuts de citoyens de seconde zone dont les droits comparés à ceux des musulmans sont drastiquement réduits.
    Les dhimmis sont des personnes n’ayant pas de statut officiel de citoyen, et ils ne bénéficient évidemment pas des mêmes droits que les musulmans. Ce statut indigne pour un européen s’oppose à la conception islamique qui voudrait en fait qu’en Dar El Islam (Pays musulman) il n’y ait que des musulmans.

    C’est sans doute là que se trouvent les causes d’un immobilisme technique et industriel qui fige le monde Arabe très en deçà du progrès humain universel.

    Les comportements des arabes dans nos hôpitaux donnent une idée redoutable de leur absurdité.
    Cela est d’autant plus abscons que certains musulmans de classes supérieures s’accordent à l’étranger, un certain nombre de libertés qui peuvent laisser penser que, s’il en est de même chez eux,.( Ce n’est pas le cas, ni en public) on devrait pouvoir adapter les lois coraniques. Ce n’est pas le cas car, et sans doute, là raison, de cette rigidité est, que ces règles coraniques sont la trique avec laquelle le peuple est maintenu sous la domination des Califes et autres autorités.

    Remettre cela en cause c’est causer l’effondrement de tout l’édifice. maintenu avec la cruauté que vous connaissez.

    Le problème auquel nous peuple Français nous nous trouvons confrontés est le complicité acquise par les musulmans des personnels politiques Français entre autres par le seul fait que ce monde musulman bénéficie d’immenses richesses minérales et naturelles dont l’occident a un besoin vital comme le pétrole.
    On peut imaginer que les arabes peuvent corrompre à des niveaux à peine concevables et qu’une grande partie de nos personnels politiques sont déjà entre leurs mains, prisonniers de leurs appétits mal contrôlés.

    Je n’ai pas plus de solution que la majorité d’entre nous. Car il faut déblayer le terrain, si vous me permettez cette expression, totalement miné à gauche comme à droite.
    En raison de la longue apathie des électeurs Français, et des flots migratoires gigantesques qui tendent à noyer l’Europe et, la France et, des complicités acquises, au sein même de notre population, inconsciente et irresponsable, la situation devient particulièrement délicate.
    Pour tenter quoi que ce soit, il faut acquérir la certitude de maîtriser l’utilisation des forces militaires et de la police. Le peuple doit être équipé et organisé pour une confrontation qui de toute façon est devenue inévitable. Il ne nous reste plus beaucoup de temps. .

    Notre dernière chance est peut être l’approche des prochaines élections municipales, puis la présidentielle et les législatives qui suivront. Là si nous n’obtenons pas un ras de marée des patriotes, et, un gouvernement digne de ce nom, je crains qu’il en soit fait de notre pays qui entrera dans la guerre civile.
    Il faut donc s’y préparer. Nos politiques y travaillent, mais pas dans le sens que certains s’imaginent. Il suffit de voir l’accélération de la construction des mosquées….

    Un autre danger danger dans ce cas, c’est l’intervention de l’OTAN au service des mondialistes qui se servent des arabes et des musulmans, et qui sont derrière tout cela.

    Cordiales Salutations.
    JD CATON
    13 01 13

  • Les années terribles !

    Nous sommes toujours en 1788 et la Terreur est de retour !

    Vous avez sans doute déjà vu ce genre de titres pour des articles ou vidéos, mais je veux vous proposer ma version courte:

    En 1788, les possédants dont le train de vie du roi ne tenait qu'aux prêts qu'ils lui accordaient ont décidé qu'il n'y avait aucune raison qu'ils ne prennent pas aussi le pouvoir sur lui.

    C'était des industriels, même si l'industrie était encore très loin de ce qu'elle est aujourd'hui, des riches commerçants ou propriétaires terriens.

    Ils décidèrent donc de renverser le roi afin d'assumer le pouvoir à sa place.
    Évidemment, il leur fallait une légitimité pour faire une telle chose, alors après avoir forcé le roi, via la dette, à abandonner sa prérogative de fixer le prix du grain, ils en firent s'envoler les cours.

    Le peuple, affamé par un pain désormais trop cher pour lui, se retourna contre son "chef", le roi.

    C'était la "Révolution Française", qui n'a jamais rien eu de populaire et n'a jamais eu la moindre envie de liberté, d'égalité ou encore mieux de fraternité.

    Aujourd'hui, les possédants de zéros sur des écrans, de l'autre bout de la planète et riches de planches à billets réelles ou fictives, ne voient pas de raison de ne pas prendre le pouvoir, puisqu'ils tiennent la dette.

    Ce ne sont pas des industriels, des commerçants ou des propriétaires terriens: Ils se moquent de dévaster des pays entiers car leur revenu ne provient ni de la terre ni du travail. Une France réduite à une flaque polluée ne les dérange pas. Ils nous démontrent quotidiennement qu'elle ne les émeut pas non plus...

    Ils décident donc, après avoir pris à nouveau l'aval par la dette, de faire monter les cours afin que les peuples, poussés par la misère, s'occupent de les mettre indirectement au pouvoir.

    Cette "nouvelle révolution", qui ne manque pas de se parer du discours "des lumières" et "du progrès" malgré ses pratiques abjectes, prédatrices, sa  décadence et le retour en arrière radical qu'elle promet, va vers ce qui promet d'être la pire dictature jamais imaginée tant elle fait fi de toute écologie, y compris humaine.

    Elle n'hésite pas à faire avancer l'islam radical ou à polluer les nappes phréatiques en "fraquant" [1]pour des gaz de vent boursier, à ruiner des industries et des peuples entiers pour une petit % de "rendement" en plus.

    L'histoire s'écrit. Elle n'attend pas qu'on choisisse d'avoir envie d'en faire partie ou pas.
    La question que nous devons tous nous poser, désormais, c'est celle du rôle que nous voulons jouer dans une telle page de l'histoire car nos petites décisions personnelles sont le seul rempart restant...

    Jean Luc Potier

    27 12 13



    [1] "le fracking", méthode utilisée pour les gaz de schistes.