Heureusement que tous les bobos, les indignés et autres bienpensants de l’Espagne à l’Allemagne en traversant la France, ont oublié de faire les affichettes : « JE SUIS A 320 ».
Nous avons connu des cas extrêmes où la classe (pas si classe que ça) politique a su se montrer digne.
Mais là, malgré l’horreur du crash de l’A320, les politiques français au plus haut niveau de l’État ont vite fait le choix du mensonge et de l’entourloupe. Ils veulent bien être les cocus de l’Europe mais pas être faits cocus par les Français, surtout que le peuple leur a déjà démontré, dimanche dernier, qu’ils entendent bien les foutre à la rue !
Les décisions sont vite prises par nos dirigeants, Hollande en tête. Nous les appellerons « on »
Dans un premier temps, on lance un appel de détresse aux pays voisins impliqués :
« Mayday mayday mayday! En France, nous sommes dans l’entre-deux tours, amis Allemands et Espagnols, fermez vos gueules, sinon le peuple pourrait remporter cette victoire et ba-bye votre Europe et son euro. Fini, aussi, pour vous, parce que vous n’êtes pas mieux lotis que nous. Et la soupe populaire nous guette. Le peuple sonne la Révolution.»
Alors, a commencé la longue liste des hoax qu’ils nous ont distillés tout au long de cette longue, trop longue, semaine. On a bouffé du A320, non-stop, jusqu’à l’intoxication,sans jamais avoir la même version.
Dès mardi, on apprend :
1/ Le décrochage : une dépressurisation soudaine dans l’appareil et un appel de détresse du pilote.
Cette éventualité est vite contredite par les experts en aviation interrogés. Impossible. Le pilote aurait effectué un virage à 90° à droite ou à gauche pour ne pas occasionner d’accident à d’autres appareils sur zone.
De plus, les débris de l’appareil sont éparpillés sur environ quatre hectares, il ne s’agit pas d’une explosion en vol.
2/ Le site est inaccessible : Le personnel de secours ne pourra pas se rendre facilement sur le site. Il faudra plusieurs semaines avant de trouver les fameuses boîtes noires qui nous expliqueront tout.
3/ La coalition : Armée – Gendarmerie – Pompiers avouent, en fin de soirée, que des hommes ont été, déjà, hélitreuillés et qu’ils le resteront pour sécuriser la zone. Des fois que des voleurs…
4/ Le procureur de Marseille, interrogé par les media, confirme qu’il est saisi de l’affaire, que toute la lumière sera faite. Il est très disert, il s’exprime en magistrat sûr de lui, sans aucune hésitation. La Justice a parlé fermement !
5/ Les premières images : Pas de point d’impact sur la montagne. On se serait attendu à voir un énorme cratère, vu la vitesse à laquelle il l’aurait percutée, évaluée à 800 km/h environ.
Pas de carlingue calcinée, non plus. L’avion n’aurait pas pris feu ?
Désintégré, c’est le mot qui revient. Mais désintégré par quoi ? Par le choc ?
Ou, peut-être, par une explosion, au dernier moment, juste avant l’impact ? Cela expliquerait plus logiquement les menus morceaux qui recouvraient les quelque 400 hectares estimés de la zone du crash.
6/ Une première boite noire est retrouvée !
7/ Le patron du BEA : fait le canard. Il nous faudra des semaines pour interroger la boîte. A l’heure où je vous parle, nous n’en savons pas plus.
8/ Première fuite. Ne riez pas, elle nous vient d’outre atlantique, dévoilée par le New-York Times. Ils ont déjà tout entendu de ce qui s’est passé à l’intérieur du cockpit. Conversation entre les deux pilotes. C’est le commandant de bord qui est sorti, le copilote commet l’action que l’on connait. Mais tout cela, ils l’ont appris avant que le patron du BEA ne vienne mentir en direct, sur nos antennes.
Pour ces raisons, le syndicat des pilotes de ligne veut porter plainte pour violation du secret de l’instruction.
9/ Re-procureur : Là, le proc’ est prié d’informer. À lui, le sale boulot. Il s’exprime lors d’une conférence de presse mais, outre qu’il nous donne trop de détails, avez-vous observé son comportement ? Il n’est plus le magistrat de la veille, sûr de son fait, un rien arrogant. Au contraire, il ne cesse de passer sa main sur son visage, son crâne. Il éprouve le besoin de répéter deux fois les phrases comme s’il faisait une dictée aux journalistes. Il ne connait pas son texte par cœur, il lit… ce qu’on lui a demandé de dire. Et répond par la négative à pratiquement toutes les questions des journalistes. Entre autres, il ne sait même pas quel est le pilote qui est resté seul dans la cabine. Il n’en sait pas plus. Même pas le nom des pilotes. Alors que, quelques instants plus tard, toujours en conférence, il donnera, aux journalistes, les nom et prénom du copilote, qu’il ne connaissait pas (!) puisque c’est lui qui est resté, seul, dans la cabine de pilotage. Ca fait désordre, n’est-ce pas ?
Si, autour de toute cette mascarade, nous n’avons pas compris qu’on nous cache l’essentiel, c’est que nous sommes des demeurés.
D’abord, et surtout, quand ils nous annoncent qu’un Mirage 2000 a décollé de la base d’Istres dans les secondes qui ont suivi la perte radar de l’appareil. Procédure normale ? En tout cas, nous ne connaissons pas de précédent.
10/ Haro sur le copilote : Il était en grande dépression.Ah !
Sur les photos qui sont publiés, on voit, pourtant, un beau jeune homme sportif et en compétition ou souriant à l’objectif. Ce n’est pas l’apparence que l’on a quand on est hyper dépressif ? Ils interrogent ses connaissances qui le décrivent comme quelqu’un d’affable, tranquille, très convivial.
Merde, alors ! Ça peut pas coller, tout ça.
Alors, on nous dégotte une ancienne compagne avec laquelle il aurait volé pendant 6 mois et qui le raconte très angoissé, qui criait très fort contre elle, parfois. Mais… en fin d’article, elle reconnait qu’il était doux et attentionné avec elle.
Bizarre. Vous avez dit Bizarre… Comme c’est bizarre !
Aurions-nous eu affaire à un docteur Jekill et mister Hyde ?
Quant à la Lufthansa, elle est sacrément dans la mouise. Qu’est devenu son pilote, en formation dans les Amériques, pendant les six mois où il s’est fait porter pâle, ne reprenant son stage que bien plus tard ? Il faisait une formation particulière avec les adeptes du Oussama, peut-être ? Mouais ! Que de zones d’ombres pour un copilote banal, à qui on confie quelques centaines de vies humaines !
Et si on lui avait imposé la thèse de la « dépression » ?
Ça expliquerait pourquoi elle s’est empressée de dire qu’elle n’était pas responsable, dans ce cas-là, que, donc, la faute revenait à l’organisme chargé de vérifier les bonnes conditions physiques et psychiques de leurs employés.
Néanmoins, nous apprenions, ces derniers jours, d’une autre source, que tous les voyageurs, personnels de bord et la Lufthansa seront indemnisés.
Ca va faire un paquet de pognon, tout ça. Qui va payer ? Les assureurs, si c’est vrai ou l’Europe, si on nous ment ? Ils ne nous l’ont pas spécifié.
Toujours est-il que ce crash est entouré de bien de mystères. Comme pour celui d’Air Algérie au Mali, ou celui, encore de la Malaisia Air Lines.
Dormez tranquilles, braves gens, les ennemis de l’Occident ont de beaux jours devant eux. Ils pourront vous tuer impunément puisqu’ils sont couverts par le secret d’État.
Aux familles des malheureux voyageurs de l’A320 et au personnel sain d’esprit qui ont perdu la vie, nous présentons nos sincères condoléances.
Quant au copilote terroriste ou allumé, qu’il brûle en enfer !
Nobeline