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  • Oriana Fallachi

    Pour ceux qui n'ont toujours pas compris et qui veulent encore voter pour la gauche de François Hollande :

    La gauche est, comme les islamistes, profondément anti-occidentale et ceci explique leur connivence.

    La raison en est commentée, fort justement selon mon humble avis, par Oriana Fallachi à l'aide d'un passage de l'essai que le libéral Autrichien Friedrich Hayek écrivit dans les années trente au sujet de la Russie bolchévique et de l'Allemagne national-socialiste. Le voila !

    « Ici on n’abandonne pas seulement les principes d'Adam Smith et de Hume, de Locke et de Milton. Ici, on abandonne les caractéristiques les plus solides de la civilisation développée, par les Grecs et les Romains et le Christianisme, de la civilisation occidentale.

    Ici on ne renonce pas seulement au libéralisme du XVIIIe et XIXe siècles, au libéralisme qui a parachevé cette civilisation.

    Ici, on renonce à l'individualisme dont, grâce à Erasme De Rotterdam, à Montaigne, à Cicéron, à Tacite, à Périclès, à Thucydide, cette civilisation est l'héritière. A l'individualisme, aux idées de l'individualisme qui, à travers les enseignements que nous ont apportés les philosophes de l’antiquité classique et, après eux, le Christianisme, la Renaissance et les lumières, ont fait de nous ce que nous sommes.

    Le socialisme est basé sur le collectivisme. Et ceux qui rejettent l’individualisme rejettent la civilisation occidentale »

    Je répète souvent que « mémoire et identité c’est un peu la même chose, et que c’est cette mémoire que l’on veut nous faire oublier. Il y a une effroyable collusion entre la gauche, l’islam et les « mondialistes » du Siècle, pour nous conduire à cette perte de mémoire et cet enfermement. La « triplice » est en marche, à nous de ne pas nous laisser emporter par les idéologies à son  service qui livrent la France à l’Islam et à la marchandisation de nos corps et nos esprits.

    Commençons par bloquer François Hollande, ensuite nous verrons comment nous reprendrons le contrôle de nos destins.               

    Francis NERI

    28/02/12

    http://semanticien.blogspirit.com

     

  • Usage et pratique

    Le Monde, journal dit sérieux produit un article « nauséabond » à propos de l'émission sur France 2 qu’il intitule": Le choc des populismes"!

    Gérard Brazon en fait sur son blog une chronique comme d’habitude sans concessions :

    http://puteaux-libre.over-blog.com/article-le-journal-le-monde-ment-comme-d-autres-par-gerard-brazon-100120121.html

    Et il a 100 fois raison notre ami Gérard et son article marque un tournant dans notre prise de conscience du triste état de la presse française et plus généralement de l’ensemble des médias aux ordres qui ne savent plus que faire pour travestir la terrible réalité : il n’y a plus de médias LIBRES !

    Ils semblent d’autre part décidés à étouffer la prise de conscience du peuple.

    Ils travestissent tous la réalité et c’est immensément grave, car cela pose le problème de l’usage et de la pratique des outils mis à notre disposition.

    L’usage d’un outil d’information comme la presse est fonction du contexte, de l’époque, des variables : sociologiques, économiques, culturels etc.…mais il reste un invariant : l’obligation pour les journalistes de fournir des informations de bonne foi sur la base de faits exacts.  Ces informations doivent, en outre, être fiables et précises. 

    En pratique, il me semble que la plupart des médias usent de manipulation et de désinformation.

    Pour eux, seuls paraissent compter les intérêts et les positions de force. Bref aller à la soupe vers le plus fort et le plus riche !

    Pour bien comprendre à quel point il s’agit ici de désinformer et manipuler l’opinion dans le sens voulu par nos élites actuelles de droite comme de gauche, il faut dissocier les notions d’usage et de pratique.

    • on parle d’usage lorsque l’on met l’accent sur l’objet, car c’est lui qui offre des fonctions et des services qui permettent des usages.
    • on parle de pratique lorsque l’on met l’accent sur l’homme

    Et l’on peut alors, par exemple, réfléchir à l’usage de la Tour Eiffel à l’exposition universelle  (1889) et en 2012 ou encore l’islam au 15 eme siècle et de nos jours.

    Pour la Tour Eiffel les praticiens actuels mettent l’accent sur l’objet qui rapporte et les usagers sur le symbole.

    Pour ce qui concerne l’Islam les praticiens exigent des musulmans qu’ils fassent usage d’un objet mortel : la Charia !

    Nous assistons bien à une inversion des valeurs !

    Alors les « praticiens » des médias que font-ils de l’outil ? Et nous usagers que faisons-nous pour échapper à leur diabolique emprise qui n’est rien d’autre que la « marchandisation » de l’homme dans son corps, sa pensée, sa liberté ?  

    Heureusement qu’il existe internet et les réseaux sociaux. Finalement c’est le seul véritable média permettant encore une expression libre qui révèle notre insouciance coupable d’usager et de praticien, qui s’exprime par la dette, le dérèglement climatique, la démographie d’un monde plein comme un œuf, l’immigration et le péril islamiste, qui ne sont que la conséquence de nos inconséquences.

    Alors battons nous pour que demeure notre liberté de penser, de débattre et de contester. Restons lucides et « manoeuvrants », c’est la condition de notre survie en tant qu’individu et en tant que peuple.

    Francis NERI

    http://semanticien.blogspirit.com

    26/02/12

     

  • Les 500 signatures de Marine

    Cher Monsieur,

    Je parcours régulièrement vos écrits dont je ne partage pas toujours intégralement les idées, mais j'apprécie votre pensée. Si je me permets de vous écrire aujourd'hui, c'est que j'ai apprécié votre idée d'écrire aux maires de nos communes, ce que je fais dans la mienne (tenue depuis des lustres par les socialistes...).

    Et puis aussi pour vous communiquer un texte que j'ai rédigé en me proposant de le diffuser. S'il retient votre attention, vous pourriez le joindre aux écrits des diverses personnes qui, parfois, vous communiquent elles aussi des textes.

    Que l'on soit pour, indifférent, ou même contre le Front National, il m'apparaît parfaitement scandaleux de voir qu'un courant de pensée représentant grosso-modo entre un cinquième et un quart de l'électorat français puisse ne pas participer à la campagne et au scrutin à cause des fameuses « 500 signatures ».

    D'abord, je ne pense pas que les signatures en question aient été exigées pour que les partis qui depuis soixante ans se passent et repassent le pouvoir, puissent empêcher les autres courants politiques de participer aux débats. C'est d'abord pour empêcher des candidatures "farfelues" (mais par rapport à quel critère peuvent-elles être jugées telles ?), comme Maurice BARBU, DUCONNAUD (ca ne s'invente pas) et Ferdinand LOP - qui tous les deux exigeaient la prolongation du boulevard Saint-Michel jusqu'à la mer pour permettre aux étudiants d'aller prendre des bains de mer - ou bien encore celle de COLUCHE.

    Tout cela est bien subjectif, et il est sans doute moins dangereux de voir se présenter des candidats aussi sympathiques qui mettent une ambiance bon enfant dans la politique plutôt que de la réserver aux seuls pisse-froid. (Georges CLEMENCEAU ne disait-il pas de la guerre "qu'elle était trop grave pour la laisser faire par des militaires" !).

    La politique ne mérite-t-elle pas les mêmes précautions ? Quoi qu'il en soit, il est particulièrement spécieux de faire cohabiter un principe d'anonymat du vote avec la publication du nom des soutiens donnés à l'un ou l'autre des candidats. Les attendus du Conseil Constitutionnel sur cette question mériteront une analyse pointilleuse !

    En outre, le fait de donner une signature ne constitue pas nécessairement un soutien indéfectible à celui au bénéfice duquel elle est donnée ; c'est simplement montrer qu'on a pu rencontrer un certain nombre d'élus représentant 30 départements.

    Les partis au pouvoir eux, ont cru intelligent de verrouiller l'attribution de ces signatures au détriment de certains candidats, en exigeant le respect d'une discipline de parti ou en menaçant de réduire le débit des aides aux petites communes qui ne vivent que de celles-ci. Ce n'est pas très glorieux. N'était-ce pas VOLTAIRE qui disait "Je déteste ce que tu dis, mais je me ferais tuer pour que tu puisses toujours le dire"... On se réclame de la démocratie, de la liberté de pensée, et de tous ces grands principes que le bon peuple applaudit à tout rompre, mais on se garde bien de mettre ces préceptes en pratique ! Bref, on pourrait gloser longuement.

    Moi, simplement, je propose une action, simple, bête, simpliste et évidente : Nous avons tous, au moins dans notre entourage quelqu'un possédant une imprimante, une photocopieuse... Pour protester contre le scandale qui interdirait à un parti de pouvoir s'exprimer, éditons nos propres bulletins de vote au nom de Marine LE PEN, que nous glisserons le jour venu dans l'enveloppe et dans l'urne, qu'on soit pour les idées défendues par le Front National, ou seulement pour le respect de la liberté de pensée, pour exiger qu'on NOUS respecte, qu'on respecte la démocratie et la pluralité d'opinions.

    Bien sûr, ces votes seront nuls, mais les bas petits calculs des deux partis au pouvoir seront déjoués : toutes ces voix-là seront perdues pour eux !

    Bien mieux, leur assise électorale sera diminuée d'une part importante, et leur légitimité (déjà très discutable habituellement si l'on songe qu'on retire des décomptes les blancs et les nuls et qu'on ne tient pas compte des abstentionnistes non plus !) n'en sera encore que plus ténue ! Ils n’auront plus alors aucune légitimité ! Je ne suis pas persuadé que la démocratie y aura gagné, mais… qui donc l’aura cherché ? "

    Bien cordialement.

     

     Eric LEROY

     e.leroy.pro@wanadoo.fr