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  • Angela Merkel

    Elle est le sujet de ces derniers temps. Et elle est devenue sujet d'interrogation pour ceux que séduisaient sa rigueur, son style de gouvernance. Ou de réprobation pour qui s'inquiétait de son impérialisme européen. Ou encore, à l'inverse, sujet de reproches lorsqu'on la trouve totalement inféodée à la politique américaine. Comme si ce n'était pas une constante de la politique extérieure allemande, y compris au temps de De Gaulle, Adenauer et du traité de l'Elysée, y compris encore vingt-cinq ans après l'extinction de la menace soviétique qui pouvait alors justifier l'Alliance Atlantique mais ne la justifie plus ...  Il y a encore ceux - ils pourraient bien avoir raison - qui sont d'avis qu'Angela Merkel n'est pas vraiment le grand dirigeant que l'on a cru, qui pensent qu'on l'a créditée de trop de qualités, qu'elle est trop soumise à l'émotion, qu'elle varie au rythme des fluctuations de l'opinion, qu'elle est pétrie d'idéologie. Que grosso modo, elle se situe dans la même médiocrité moyenne que ses homologues dits occidentaux. Son comportement assez irresponsable à l'origine de l'invasion migratoire en cours tend à accréditer ces derniers points de vue. D'où l'intérêt de la brillante analyse que fait ici Eric Zemmour. Qu'il a publiée dans la dernière livraison du Figaro magazine. 

    LFAR 

    Analyse d’ Eric Zemmour

    « Jusqu'à l'été, les réfugiés étaient reconnaissants d'être chez nous. Ils demandaient où était la police, où était le centre d'enregistrement, où ils devaient aller. Aujourd'hui, ils quittent les .centres d'accueil, ils commandent un taxi et disposent étonnamment de l'argent nécessaire pour parcourir des centaines de kilomètres à travers l'Allemagne. Ils font la grève parce que leur logement ne leur convient pas, ils font des histoires car ils n'aiment pas la nourriture. » 

    Thomas de Maizière est le ministre de l'Intérieur allemand. Il a d'abord approuvé la politique des bras ouverts décidée par Angela Merkel. Depuis, la chancelière lui a ôté la gestion de ce dossier. Dans les camps, des réfugiés musulmans agressent les chrétiens. Les services secrets allemands, affolés, alertent leurs autorités au sujet de la présence de nombreux agents dormants de l'Etat islamique parmi les « réfugiés » accueillis avec des fleurs par la population. Le ministre-président de la Bavière, pourtant allié CSU de la chrétienne-démocrate Merkel, a reçu triomphalement Viktor Orbàn à Munich, alors même que le Premier ministre hongrois est le premier opposant à la politique allemande de répartition des « migrants » dans l'Union européenne. Les militants du mouvement anti-islam Pegida retrouvent de la voix à Dresde. Affichent le portrait d'Angela Merkel en Mère Teresa qui a fait la une du Spiegel avec cette légende : « Mutter (mère) Terrorresia », tandis que certains manifestants rappellent avec une rare cruauté qu'« Angela Merkel n'a pas d'enfants ». Après elle, le déluge. La chancelière allemande n'en a cure. Elle continue de répéter en boucle : « Nous y arriverons. » Il y a cinq ans, elle affirmait, tout aussi péremptoire : « Le multi-culturalisme, ça ne marche pas. »

    Une majorité d'Allemands est désormais inquiète ; la cote de popularité de la chancelière s'affaisse. La population allemande se réveille de son rêve pour reprendre pied avec la réalité. Comme si, par un étonnant retournement historique, la rationalité était devenue l'apanage du peuple, tandis que les élites restaient confinées dans l'univers de l'émotion, alliant, en Allemagne, le calcul économique du patronat, avide de main-d'œuvre pas chère, et le tourment de la culpabilité du nazisme.

    Les immigrants venus de Syrie, d'Irak, mais aussi d'Afghanistan ou d'Erythrée, et tous ceux, du Maghreb ou du Kosovo, qui profitent de l'aubaine pour se fondre dans leur flot, ne tarit pas : 800 000, I million, 1,5 million sont successivement annoncés. Deux millions attendent dans les camps turcs. Merkel se précipite à Ankara chez Erdogan pour qu'il n'ouvre pas les vannes en grand. Angela Merkel a paru enivrée des acclamations universelles qu'a suscitées son choix généreux ; le temps est venu de la gueule de bois.  

    Eric Zemmour

  • Macias et la dette

    Les Français s’occupent de savoir pourquoi et comment Enrico Macias veut se tirer en Israël, soit disant pour échapper au FN, alors que c’est pour faire comme d’autres contribuables et directions de grandes entreprises qui se délocalisent à tour de bras vers Londres, Bruxelles …et Tel Aviv : échapper à l’impôt et à François Hollande qui décidément n’aime pas les riches. Il est vrai aussi qu’il est impliqué dans une affaire de dette de pas moins de 30 millions d'euros.

    Et pendant ce temps là notre dette publique qui a franchi le cap vertigineux des 2000 milliards continue à galoper : elle a augmenté de 100 milliards supplémentaires en un an pour représenter plus de 30 000 euros par Français.
    Et comme les taux d’intérêt sont bas, tout le monde s’en moque et continue de tirer sur la corde. On peut quand on gouverne un pays au cœur bouillant de « multiculturalisme » préférer la paix sociale à la vérité afin d'assurer sa survie en restant au pouvoir.

    Et la paix sociale, c’est du pain et des jeux pour le bon peuple de France, et ses envahisseurs par la même occasion,  quitte à endetter le pays...à mort !

    Croyez moi, çà ne durera pas, les taux vont remonter  et le jour où ils remonteront Macias et ses amis seront bien planqués quelque part dans leurs paradis fiscaux…enfin leur argent,  et Marine Le Pen n’y sera pour rien …mais NOUS allons trinquer. 

    Nous n’aurons peut être même plus de pain et encore moins de jeu

    Qu’on se le dise et surtout qu’on cherche d’ore et déjà des réponses.

    Et quoi que l’on peut penser du FN, faisons en sorte qu’il parvienne au pouvoir…nous n’avons rien d’autre comme alternative crédible.

    Francis NERI
    20 10 15
      

  • François Hollande le discours.

    Je n'ai pas écouté François Hollande, je commence à vomir dés l’apparition de son visage bouffi d’idiot du village qu’il fait semblant d’être.
    Mais à lire les comptes rendu, par exemple du figaro, aucune question ne semble avoir été posée sur le problème des migrants. C'est pour le moins surprenant. Je trouve qu'il y a actuellement en France et plus largement en Europe une volonté délibérée de faire profil très bas sur ce problème considérable.

    Pire, j'étais un fervent défenseur de l'Allemagne et de Mme Merkel mais je trouve qu'elle n'est plus dans son rôle et dérape complètement. Je lis qu'elle est d'accord pour ouvrir un nouveau chapitre de l'adhésion de la Turquie à l'UE. C'est inadmissible.

    Comment la chancelière peut-elle s'autoriser à déclarer cela ? Est-elle mandatée par les 27 autres membres de l'UE? Se considère-t-elle comme la présidente non élue de l'UE ?

    Cette question des migrants est bien trop grave pour être laissée aux politiques. Ce n'est ni Mme Merkel, ni M. Hollande, ni aucun autre chef d'Etat européen qui doit déterminer la stratégie à suivre avec la Turquie. Ce sont les peuples par referendum.

    La Turquie est un pays qui s'est fortement islamisé depuis quelques décennies et ce sont les peuples qui doivent décider de l'entrée ou non de 78 millions de musulmans dans l'UE et non pas des politiques qui trop souvent considèrent, pour des raisons économiques évidentes, que la Turquie, c'est seulement Istanbul.
    Les Français comme les Allemands sont face à un choix historique : mettre tout en œuvre ensemble et unis pour mettre fin à leur réciproque gouvernance mondialiste au service des intérêts des multinationales apatrides.
    Si l’Europe peut être sauvée ce sera par un retour aux souverainetés nationales, aux identités respectées et à un enrichissement de nos différences dans un cadre Occidental.
    Nous n’avons rien à faire des peuples en provenance des pays Arabes et de l’Afrique de l’ouest.
    Nous n’avons rien à faire de la main d’œuvre de barbares à la « culture fellah » issue du moyen âge.
    Nous n’avons rien à faire de leur progéniture trop nombreuse que cette culture de toute façon rend dangereuse pour nos enfants à venir.
    Les peuples Allemand et Français doivent s’unir autour de leurs valeurs et de leurs cultures, ce sont les mêmes, et les leaders criminels du passé ne sont plus là pour nous affirmer le contraire et nous dresser les uns contre les autres. Ne laissons pas faire leurs successeurs.
    Les peuples Allemand et Français doivent s’unir et montrer la voie aux autres peuples Européens dont l’Histoire EST Gréco-latine, Judéo-chrétienne et issue des lumières. Cette triple influence à crée une civilisation inégalée dont nous acceptons de corriger les erreurs et les pratiques mafieuses de certains de ses dirigeants, mais en aucun cas nous n’accepterions d’y renoncer pour l’essentiel.
    Nous nous battrons pour cela …qu’on se le dise !

    Madame Merkel, Monsieur Hollande ceci est un avertissement sans frais !

    Francis NERI
    19 10 15