Naturalisation
Toute tentative d'examiner le bien-fondé de naturalisations ou de demandes de permis de séjour au moyen de formulaires est vouée à l'échec, car ce qui pose problème est l'habitus des populations importées, et cet habitus ne peut être apprécié par quelque formulaire administratif que ce soit.
C'est là une affaire d'hommes, devant laquelle la bureaucratie est impuissante puisqu'elle n'a pas les outils permettant d'y faire face.
Elle ne peut se régler qu’à posteriori. C’est pourquoi une période probatoire de vingt ans, voire davantage, serait nécessaire avant d’accorder quelque nationalité que ce soit.. Un enfant né d’une famille enracinée depuis vingt, trente ou quarante ans dans un pays a nécessairement acquis avec le temps un habitus compatible avec celui de la population dominante autour de lui. C’est de la part de la bureaucratie un crime contre la nation que de laisser se créer des quartiers où règnent de façon majoritaire les comportements inappropriés et de laisser ceux-ci faire obstacle à l’éducation civique et morale de la population. D’autant que ces gens ont de plus tendance à vouloir se comporter chez nous comme en pays conquis.
Il reviendra à la population de faire respecter ses droits à coups de fourche et de gourdin si l’État n’assure pas ses fonctions régaliennes. Cela se nomme le principe de subsidiarité.
25 02 17