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  • Triplice, nazisme et islamisme

    Churchil avait comme ennemi le nazisme…pour ce qui nous concerne nous en avons trois qui agissent en cohérence et sont encore plus formidables ensembles.
    Il s’agit de l’oligarchie mondialiste en particulier financière, de la gauche mondiale multi- culturalisée et tiers-mondiste et bien entendu les islamistes.
    Quelle que soit la tête de la « triplice » que nous avons en vue et ennemie, il faudra couper les trois dans un seul élan, sinon elles repousseront encore et encore.
    C’est donc une approche systémique, globale de la problématique qu’il faut avoir et c’est exactement ce que fait Marine, c’est la raison pour laquelle je la suis !
    Francis-claude Neri

    Winston Churchil a son époque a fait preuve d'un grand courage et il n'est pas question ici de le contester , mais le danger qui nous menace n'est en rien comparable, l'idéologie Nazie était certes terrible , mais n'avait pas pour ambition de nous faire disparaître, de faire disparaître nos racines et notre culture , or le projet des Islamistes n'est rien d'autre que cela , dominer le monde en faisant disparaître tout ce qui n'est pas Islamique , qu'il s'agisse des hommes et de toutes les splendeurs qu'ils ont créé , là où l'Islam passe , il ne reste que des ruines et des cimetières !

    Robert Alépée

    Je pense comme vous que la menace islamiste est de loin mille fois pire que le nazisme. Et si l' Occident persiste à vouloir l'utiliser comme bras armé dans le but d'installer une gouvernance mondiale au profit de la finance elle en paiera un prix auquel elle ne s'attend pas, ce prix sera celui de son propre anéantissement par ce mortel ennemi de toute vie qu' est l'Islam

    Martina Braga

     

  • La sharia

    Savoir ou se faire avoir, Sami Aldeeb

    "Cour européenne des droits de l’homme: “La loi islamique est incompatible avec la démocratie et les droits de l’homme”

     Droits de l'homme, Sharia  Add comments

    Jan 182011

    Nous produisons ci-après des extraits d’un arrêt de la Cour européenne des droits de l’homme du 31 juillet 2001 (texte intégral) dans lequel elle affirme que la loi islamique est incompatible avec la démocratie et les droits de l’homme. Cet arrêt a été confirmé par la grande chambre de cette cours le 13 février 2003 (texte intégral) (nouveau lien).

    Extraits de l’arrêt du 31 juillet 2001

    la Cour européenne des droits de l’homme a estimé que la Charia est incompatible avec la Convention européenne des droits de l’homme de 1950. Il s’agissait à cette occasion pour la Cour de juger si le gouvernement turc avait le droit de dissoudre un parti islamique turc, le Refah, en raison des valeurs prônées par ce parti (la Charia notamment). La Cour a validé la dissolution du Refah. Du jugement final, on citera essentiellement les extraits suivants :

    • La Cour constitutionnelle a rappelé qu’un tel système (la charia), qui avait ses origines dans l’histoire de l’Islam en tant que régime politique, s’opposait au sentiment d’appartenance à une nation ayant une unité législative et judiciaire.
    • Pour la Cour constitutionnelle, la Charia serait l’antithèse de la démocratie, dans la mesure où elle se fonde sur des valeurs dogmatiques et est le contraire de la suprématie de la raison, des conceptions de la liberté, de l’indépendance, ou de l’idéal de l’humanité développé à la lumière de la science.
    • La Cour reconnaît que la Charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictées par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
    • La Cour relève que (…) les références explicites à l’instauration de la Charia sont difficilement compatibles avec les principes fondamentaux de la démocratie, tels qu’ils résultent de la Convention, comprise comme un tout.
    • Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la Charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.
    • La Cour constitutionnelle (fait également référence) à la notion de djihad, qui se définit, dans son sens premier, comme la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société.
    • La Cour constate également que les propos tenus par Xxxxx, le député d’Ankara, (…) traduisaient une haine profonde envers ceux qu’il considérait comme des opposants au régime islamiste. La Cour estime à cet égard que lorsque le comportement incriminé atteint un niveau élevé d’insulte et se rapproche d’une négation de la liberté de religion d’autrui, il perd pour lui-même le droit d’être toléré par la société.”

    Extraits de l’arrêt du 13 février 2003

    • La Cour rappelle que la liberté de pensée, de conscience et de religion représente l’une des assises d’une « société démocratique » au sens de la Convention. Cette liberté figure, dans sa dimension religieuse, parmi les éléments les plus essentiels de l’identité des croyants et de leur conception de la vie, mais elle est aussi un bien précieux pour les athées, les agnostiques, les sceptiques ou les indifférents.
    • Il y va du pluralisme – chèrement conquis au cours des siècles – qui ne saurait être dissocié de pareille société. Cette liberté implique, notamment, celle d’adhérer ou non à une religion et celle de la pratiquer ou de ne pas la pratiquer.
    • Par ailleurs, dans une société démocratique, où plusieurs religions coexistent au sein d’une même population, il peut se révéler nécessaire d’assortir la liberté en question de limitations propres à concilier les intérêts des divers groupes et à assurer le respect des convictions de chacun
    • Selon la Cour, dans une société démocratique, l’Etat peut limiter la liberté de manifester une religion, par exemple le port du foulard islamique, si l’usage de cette liberté nuit à l’objectif visé de protection des droits et libertés d’autrui, de l’ordre et de la sécurité publique
    • la Cour estime (…) qu’un parti politique dont les responsables incitent à recourir à la violence ou proposent un projet politique qui ne respecte pas la démocratie ou qui vise la destruction de celle-ci ainsi que la méconnaissance des droits et libertés qu’elle reconnaît, ne peut se prévaloir de la protection de la Convention contre les sanctions infligées pour ces motifs.
    • Nul ne doit être autorisé à se prévaloir des dispositions de la Convention pour affaiblir ou détruire les idéaux et valeurs d’une société démocratique.
    • Dans ce contexte, la Cour considère qu’il n’est pas du tout improbable que des mouvements totalitaires, organisés sous la forme de partis politiques, mettent fin à la démocratie, après avoir prospéré sous le régime démocratique. L’histoire européenne contemporaine en connaît des exemples.
    • la Cour partage l’analyse effectuée par la chambre quant à l’incompatibilité de la charia avec les principes fondamentaux de la démocratie,
    • A l’instar de la Cour constitutionnelle, la Cour reconnaît que la charia, reflétant fidèlement les dogmes et les règles divines édictés par la religion, présente un caractère stable et invariable. Lui sont étrangers des principes tels que le pluralisme dans la participation politique ou l’évolution incessante des libertés publiques.
    • La Cour relève que (…) l’instauration de la charia est difficilement compatible avec les principes fondamentaux de la démocratie
    • Il est difficile à la fois de se déclarer respectueux de la démocratie et des droits de l’homme et de soutenir un régime fondé sur la charia, qui se démarque nettement des valeurs de la Convention, notamment eu égard à ses règles de droit pénal et de procédure pénale, à la place qu’il réserve aux femmes dans l’ordre juridique et à son intervention dans tous les domaines de la vie privée et publique conformément aux normes religieuses.
    • La Cour considère que, quelle que soit l’acception que l’on donne à la notion de djihad (dont le premier sens est la guerre sainte et la lutte à mener jusqu’à la domination totale de la religion musulmane dans la société), invoquée dans la plupart des discours mentionnés ci-dessus, une ambiguïté régnait dans la terminologie utilisée quant à la méthode à employer pour accéder au pouvoir politique.

    Philippe Boehler
    27 03 17

     

  • Appliquer l’article 16

    En 2005, j’avais échangé quelques mots avec mon père, ancien combattant d’Algérie, au sujet des émeutes. Je n’admettais pas que l’on n’envoie pas l’armée pour rétablir l’ordre, mais j’avoue qu’il su un peu me convaincre, à l’époque, en me rétorquant « qu’il y allait avoir des morts, et que c’est le cas quand on mobilise la troupe contre des civils, t’avais qu’à voir en Algérie… »

    Oui très cher père, c’est vrai, la « troupe » postée rue d’Isly ne réprima pas les « mauvais » en effet. Mais quand les « fellouzes » fussent-ils des gamins endoctrinés par leurs parents ou grands-parents, détruisent la métropole alors il faut frapper, et frapper fort, et même si notre armée n’a pas toujours épousé la cause du peuple français, je reviens à mon idée initiale ; il fallait terroriser cette fange résiduelle du FLN.

    Ils ont 12 ans de plus aujourd’hui, et certains sont même en responsabilité, mais rien, jamais rien ne les départira de cette haine recuite à l’infini, de n’avoir jamais eu des ancêtres capables de développer leur pays.

    Nous avons été « les chances » de toutes nos colonies, les architectes de leur émancipation, et l’avenir a démontré ce qu’ils ont fait des infrastructures que nous leur avons léguées. La haine de la France se recuit dans l’ignorance et l’outrance dans de trop nombreux appartements de cités, et maintenant que « Alger la blanche » n’est plus à défendre, il est urgent de ne plus retenir nos coups.

    Patrick Escudie

    23 03 17