Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Instruire Eduquer Socialiser - Page 5

  • SOS cohésion sociale

    La plateforme I.E.S.E (Institut Européen de Socialisation et d’Education), avec d’autres acteurs associatifs, envisage de lancer une campagne « SOS cohésion sociale » pour convaincre les leaders Français et Européens que le principe de développement de nos sociétés ne se résume pas uniquement à une superposition de mesures sociales, économiques et environnementale, mais dans la cohérence de ces mesures et dans la participation de citoyens éduqués, formés et socialisés à partir de valeurs sociétales communes et de conduites régulées.

    L’IESE a pour objectifs et ambition de promouvoir l’éducation, la socialisation aux pratiques sociales, culturelles occidentales. Le contrôle et la régulation des pratiques non occidentales, la cohérence du lien social dans l’espace de la ville.
     
    Nous envisageons la création d’un groupe Facebook à cet effet. Que les ami(e)s intéressé(e)s se manifestent

    Bien amicalement
    Francis-claude Neri

  • Une personnalité intégrée

    La personnalité idéale est la personnalité bien intégrée car elle associe la vie intérieure avec le milieu humain et social.
    La réserve et la distanciation affective sont des caractéristiques désirables. Elles permettent de mener une vie plus riche en parvenant à l’intégration qui rend capable de résister à des situations extrêmes. 
    Et, compte tenu du contexte actuel de désintégration sociale, économique, culturelle etc. cela s’avère plus que nécessaire.
    L’analyse systémique devrait permettre de faire émerger en tout individu une personnalité « bien intégrée ». Elle analyse à la fois les expériences de vie qui paraissent destructrices et celles qui seraient constructives.
    La psychanalyse ne peut nous aider car elle est loin d’être le bon instrument pour comprendre l’homme dans sa totalité. L’analyse systémique par contre participe à la création d’un environnement « total » conçu pour favoriser des changements profonds dans les attitudes et les comportements des individus.
    Le çà, le moi et le surmoi ne sont pas l’homme et, le problème n’est pas de savoir si l’un et l’autre de ces aspects existe, mais de savoir lequel domine en nous et comment les combiner pour survivre le plus agréablement possible en s’adaptant à notre environnement (à commencer par le proche) et en le modifiant à notre niveau de « possibles ».
    Pour un analyste systémicien, la psychanalyse n’est pas le moyen le plus efficace pour changer les attitudes et les comportements d’un individu ou d’un groupe, car il convient pour cela de modifier leur environnement.
    C’est-à-dire de modifier la représentation qu’ils ont de cet environnement (la carte n’est pas le territoire) si de plus il n’est pas possible de modifier cet environnement. Nous ne pouvons, par exemple, modifier le fait que Mr Macron soit de nouveau au pouvoir et qu’Éric Zemmour ou Marine Le Pen en soit absents.
    Dans le cas des crises multiples actuelles se renforçant l’une et l’autre, et le danger global que représente la guerre en Ukraine, la porte est ouverte à la fois pour un changement d’attitudes et de comportements (adaptation) et pour un changement radical de l’environnement économique, social, politique etc.

    L’Italie nous montre le chemin ; la question est : est-ce le bon pour nous Français ?

    La France est malade c’est incontestable et incontesté, mais de quoi ? Quel est le cadre de référence de sa maladie, le contexte ? Qui faut-il guérir, la France ou les français ? Comment faut-il le faire ? Qui peut le faire, avec quels moyens ?
    A quel niveau de communication faut-il se placer : Pédagogique ? Organisationnel ? Thérapeutique ? Une combinaison des trois ?

    Il n’y a pas de réponse automatique à ces questionnements et les réactions individuelles resteront sans effets globaux. Il n’y a pas, en effet, de comportements bons ou mauvais, idéal, bien intégrés car chacun de nous crée le monde qu’il habite et il doit prendre conscience que ce monde est unique, car c’est lui qui l’a créé !
    Après, il lui faudra interagir avec énormément d’autres mondes aussi uniques que le sien et qu’il devra y faire sa place, se faire reconnaitre dans cette « globalité » pour agir local tout en pensant global.
    Il lui faudra renoncer à la sécurité puisée dans la répétition de l’identique pour une sécurité incertaine dans un monde en évolution constante.

    La société a une influence certaine sur les attitudes et les comportements (personnalité) d’un individu et les moyens « manipulateurs » sont considérables. Il faut donc l’en protéger par l’éducation, la socialisation, l’intégration, l’assimilation contre ses effets potentiellement destructeurs. Il faut qu’il soit équipé pour modifier la société de façon à ce qu’elle ne soit pas un obstacle à son développement mais un cadre qui le facilite et l’encourage.

    Ce que l’école à apporté par l’éducation et la socialisation à l’édification d’attitudes et de comportements dans un environnement et un contexte social relativement stable doit aujourd’hui être réalisé pour une « personnalité » ET un « contexte » économique, social, culturel etc. tous deux en interaction et en évolution constante.

    La question se pose pour l’immigration massive, en particulier musulmane. Certaines des valeurs, des attitudes, des comportements de certains musulmans ne sont pas efficaces et appropriés à l’environnement occidental. Leur influence va en grandissant et bloque l’intégration et l’évolution du plus grand nombre d’entre eux.
    Il n’y a pratiquement pas d’interactions « constructives » entre la personnalité islamique qui puissent aboutir à une intégration et encore moins à une assimilation réussie.
    A défaut d’intégration et d’assimilation aux codes, valeurs, rôles, contraintes de la société d’accueil, les migrants recréent dés qu’ils en ont la possibilité et les moyens leurs propres codes, valeurs, pratiques, contraintes et tentent de les imposer à la société d’accueil.

    C’est à ce moment-là que la destruction de l’ensemble peut commencer avec la guerre de tous contre tous. Guerre sociale, culturelle, cultuelle, et raciale aggravée par une conjonction de crises en particulier économiques et financières d’une extrême férocité qui rend impossible l’ouverture d’une boucle de rétroaction négative pouvant apporter une solution de continuité par la « redistribution » aux plus atteints d’entre nous :  c’est-à-dire l’espoir d’un travail, d’un toit, la sécurité et un avenir pour ses enfants.

    Devant ce tableau très sombre nous pourrions désespérer. Un environnement extrême à pour effet de bloquer toute initiative (résister ou modifier l’environnement) et toute réaction personnelle puis collective à une action imposée par le pouvoir.
    Cette situation aboutit à l’effacement des réponses puis à l’effacement de la perception ; les stimuli n’atteignent plus les cerveaux sous une forme suffisamment claire pour provoquer l’action.
    Nous perdons notre capacité d’observer correctement et d’en déduire des conclusions exactes. Toute réaction émotionnelle est proscrite car considérée comme dangereuse pour sa sécurité.

    Nous sommes entrés dans cette phase. La question est de comment en sortir pour provoquer l’action, et si l’on renonce à observer, à réagir, à entreprendre une action, on cesse de vivre sa propre vie.

    Et c’est exactement ce que cherche le pouvoir actuel ! J’espère que nous saurons lui répondre !

    Francis Claude Neri
    Président de l’IESE
    Institut Européen de Socialisation et d’Education
      

  • Folie LGBT éducation, socialisation etc

    Les Européens, avec leur folie LGBT ; leur concept contre-nature de frontières ouvertes ; leur affirmation que l’immigration depuis les pays du tiers monde est une bénédiction ; leur théorie du genre qui nie les deux seuls sexes : homme et femme ; la banalisation de l’homosexualité dans les médias, la pub et le cinéma ; la promotion du changement de sexe comme une chose simple, normale, acceptable, voire bénéfique à certains enfants ; la discrimination positive ; la mansuétude de la justice envers les délinquants, considérés comme victimes de la société ; leur diabolisation de la religion chrétienne et leur déférence respectueuse envers la religion mahométane ; la fumeuse théorie que l’homme est responsable du réchauffement climatique, et celle encore plus fumeuse qu’il peut faire baisser la température (et pourquoi pas changer le plomb en or tant qu’ils y sont ?) ; leur insistance à tenir l’homme blanc pour le grand coupable des maux de l’humanité, oui, les Européens tentent agressivement d’imposer leur mode de vie aux autres pays et de les « soumettre à leur volonté ».

     

    D’autre part, nos concitoyens à l’image de nos voisins européens, délaissent les grands mythes de la fin du XXe siècle : ils ne croient plus à une France délayées dans l’Europe, au multiculturalisme, à la mondialisation heureuse.

    Le problème est d’autant plus aigu que l’institution censée transmettre la connaissance de son passé aux futurs citoyens français d’où qu’ils viennent, ne le fait plus : l’école a renoncé au récit national, qui fut enseigné par des générations d’instituteurs  à des générations d’élèves jusqu'au début des années 60.

    Depuis 30 ans l’IESE  (Institut Européen d’Education et de Socialisation) association « d’éducation populaire » tente de combattre cette dérive en faisant interagir l’Ecole, la Famille, La Cité …autour des concepts suivants : Promouvoir l’Education, la socialisation, l’assimilation aux valeurs, pratiques sociales et culturelles Occidentales. La régulation et le contrôle des pratiques non Occidentale. La cohérence du lien social dans l ‘espace de la ville.
    Mais l’agrément lui fut très rapidement retiré, à la demande d’autres associations (de gauche) comme les Francas : association Complémentaire de l'Enseignement Public et agréée par le ministère de l'éducation nationale, de la jeunesse et de la vie associative.

    On peut facilement en comprendre la raison !

    Mais depuis la venue du nouveau ministre de l’Education Nationale le danger qui menace nos enfants nous incite à agir en urgence.
    Il semble qu’en cohérence avec nos incessantes sollicitations, Reconquête à l’initiative d’Eric Zemmour a mis l’Éducation et la Socialisation au premier rang de ses préoccupations.

    Nous en sommes heureux et décidés à lui offrir nos services !

    Dans cette attente !

    Francis Claude NERI
    Président de l’IESE

    24 09 22