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Liberté d'expression - Page 14

  •  Soutenir Eric Zemmour

    Afin de le soutenir, il ne faut nullement s'inquiéter des sondages qui lui semblent défavorables et sont publiés pour influencer l'opinion. Le score d'Eric Zemmour est sous-estimé pour au moins 4 raisons :

    - Son électorat est fidélisé : ceux qui disent vouloir voter pour lui le feront en très grande majorité, contrairement aux votes pour Macron ou Pécresse, beaucoup plus volatils. Il faudrait d'ailleurs statistiquement pondérer les résultats bruts des sondages par ce coefficient de volatilité.

    - Une partie des sondés cache encore sa préférence pour Zemmour, car la propagande médiatique à son encontre incite à être prudent. Le secret de l'isoloir révélera cette partie cachée.

    - Les analyses indépendantes faites par des instituts hors de France, à base d'IA et d'analyse sémantique sur les réseaux sociaux lui prédisent un score beaucoup plus haut. Ces mêmes instituts avaient prédit la victoire de Trump, tandis que les instituts classiques donnaient H. Clinton victorieuse avec parfois une avance à deux chiffres.

    - La campagne d'Eric Zemmour n'a pas encore battu son plein : il est soutenu par un grand entrepreneur, Vincent Bolloré, et les comptes de sa campagne sont impeccables et largement positifs. Cette force de frappe financière jouera dans les dernières semaines, tandis que le RN est en quasi banqueroute. Savoir tenir ses comptes fait partie des pré-requis indispensables pour briguer la magistrature suprême.

    Marc Rameaux

    28 01 22

  • Zemmour Un programme fort.

    1 417 sympathisants LR expliquent pourquoi ils ont choisi Zemmour

    Dans une tribune publiée jeudi 13 janvier par L’Opinion, ces élus, cadres ou simples sympathisants disent ne pas se retrouver dans le programme « tiède » de Valérie Pécresse.

    Par valeursactuelles.com

    Publié le 13 janvier 2022

    L’arrivée de Guillaume Peltier dans l’équipe d’Eric Zemmour a acté l’attrait de ses propositions pour une partie de l’électorat Les Républicains. Dans une tribune publiée jeudi 13 janvier par L’Opinion, 804 adhérents et 613 sympathisants LR affirment apporter leur soutien à Eric Zemmour et expliquent ce choix. Ils évoquent notamment leur déception quant à l’issue de la primaire des Républicains, jugeant que Valérie Pécresse ne représente pas leurs idées.
    Candidat de l’union ?

    Se revendiquant pour la majorité d’entre eux anciens soutiens d’Eric Ciotti lors de cette précampagne, les signataires jugent dans L’Opinion que « la ligne centriste portée par Valérie Pécresse ne répond pas aux aspirations réelles du peuple de droite ». Face à cette « tiédeur », ils préfèrent « le discours franc et volontaire d’Eric Zemmour ». « Là où Eric Zemmour propose un programme fort et concret pour redresser notre pays, Valérie Pécresse ne propose que l’argument d’un “vote utile” », tancent-ils. Ils présentent leur champion comme le seul capable de l’emporter face à Emmanuel Macron et de « sauver la France ».

    Les sondages placent régulièrement Eric Zemmour, Marine Le Pen et Valérie Pécresse comme en mesure d’accéder au second tour face au président sortant. Après un « effet primaire », l’avance de Valérie Pécresse s’est tassée. Eric Zemmour rappelle régulièrement que, contrairement à Marine Le Pen, il attire une réelle part des sympathisants LR, se présentant ainsi comme le seul capable de réunir les droites.

    Cygne Noir

    http://semanticien.blogspirit.com/

    16 01 22

  • Campagne d’Emmanuel Macron 

    Blitzkrieg ou politique de la terre brûlée ?
    Selon son entourage, et d’après ses récentes déclarations au Parisien, le président de la République aurait « très envie de se représenter ». Cette déclaration laisse peu de suspense sur ses intentions, sur lesquelles on en apprend un peu plus.

    Selon France Info, un membre du bureau exécutif de LREM a indiqué que le candidat supposé donnerait à sa campagne la forme d’un « blitzkrieg », d’une « guerre éclair ». Blitzkrieg, le mot est lâché. Rappelons-en l’origine : pour les Allemands, la phase initiale du blitzkrieg est la coupure rapide du système défensif ennemi en un point précis, obtenue par la concentration des forces en un même lieu. C’est grâce à cette stratégie que l’Allemagne nazie prit rapidement le contrôle de presque toute l’Europe.

    En 2019, Nathalie Loiseau, tête de liste de LREM aux élections européennes, avait déjà évoqué cette expression pour relancer sa campagne. Elle avait même parlé de « blitzkrieg positif ». On avait vu le résultat…

    Pourtant, ce mot n’est pas finalement si éloigné de la réalité fantasmée d’Emmanuel Macron. Il s’est rêvé en chef de guerre. Depuis le début. Toute la panoplie a été déployée : le couvre-feu, l’état d’urgence, les Conseils de défense, les déclarations de guerre. Depuis le début de la pandémie, tout a été pensé en ces termes.

    Le chef de l’État a cru que la pandémie de Covid lui permettrait de revêtir l’armure du guerrier, prêt à fondre sur l’ennemi invisible pour le terrasser.

    Le terme « blitzkrieg » utilisé à propos de la future campagne s’inscrit dans la même logique. Il place le futur candidat Macron dans l’axe de sa politique vaccinale : divide et impera
    (« diviser pour mieux régner »).

    Car ne nous trompons pas sur l’ennemi. Ses récentes déclarations ont donné le ton. La campagne sera centrée sur la pandémie, certes, mais non pas pour s’enorgueillir de ses victoires (il n’y en a pas), plutôt pour en désigner les responsables : les citoyens récalcitrants. Tel sera l’axe annoncé du blitzkrieg : les non-vax. Ceux qu’il juge « irresponsables », qui à ses yeux ne sont plus dignes de la citoyenneté et qu’il n’hésite plus à jeter à la vindicte populaire.

    Passons la forme, les discours, les déclarations d’intention : que reste-t-il, concrètement ?

    Une population fracturée, des citoyens rejetés par tous moyens possibles hors de la sphère sociale, citoyens qui paient pourtant leurs impôts et cotisations sociales mais sont privés d’une partie de leurs droits fondamentaux et que l’on soigne parce qu’on le veut bien.

    Aujourd’hui, et malgré le fiasco de plus en plus évident d’une politique du tout vaccination, de la prise en otage des libertés individuelles, Emmanuel Macron continue sur sa logique jusqu’au-boutiste. Et cela ressemble à une stratégie de la terre brûlée.

    Sabine Faivre

    https://www.bvoltaire.fr/campagne-demmanuel-macron-blitzkrieg-ou-politique-de-la-terre-brulee/