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Liberté d'expression - Page 11

  • Campagne d’Emmanuel Macron 

    Blitzkrieg ou politique de la terre brûlée ?
    Selon son entourage, et d’après ses récentes déclarations au Parisien, le président de la République aurait « très envie de se représenter ». Cette déclaration laisse peu de suspense sur ses intentions, sur lesquelles on en apprend un peu plus.

    Selon France Info, un membre du bureau exécutif de LREM a indiqué que le candidat supposé donnerait à sa campagne la forme d’un « blitzkrieg », d’une « guerre éclair ». Blitzkrieg, le mot est lâché. Rappelons-en l’origine : pour les Allemands, la phase initiale du blitzkrieg est la coupure rapide du système défensif ennemi en un point précis, obtenue par la concentration des forces en un même lieu. C’est grâce à cette stratégie que l’Allemagne nazie prit rapidement le contrôle de presque toute l’Europe.

    En 2019, Nathalie Loiseau, tête de liste de LREM aux élections européennes, avait déjà évoqué cette expression pour relancer sa campagne. Elle avait même parlé de « blitzkrieg positif ». On avait vu le résultat…

    Pourtant, ce mot n’est pas finalement si éloigné de la réalité fantasmée d’Emmanuel Macron. Il s’est rêvé en chef de guerre. Depuis le début. Toute la panoplie a été déployée : le couvre-feu, l’état d’urgence, les Conseils de défense, les déclarations de guerre. Depuis le début de la pandémie, tout a été pensé en ces termes.

    Le chef de l’État a cru que la pandémie de Covid lui permettrait de revêtir l’armure du guerrier, prêt à fondre sur l’ennemi invisible pour le terrasser.

    Le terme « blitzkrieg » utilisé à propos de la future campagne s’inscrit dans la même logique. Il place le futur candidat Macron dans l’axe de sa politique vaccinale : divide et impera
    (« diviser pour mieux régner »).

    Car ne nous trompons pas sur l’ennemi. Ses récentes déclarations ont donné le ton. La campagne sera centrée sur la pandémie, certes, mais non pas pour s’enorgueillir de ses victoires (il n’y en a pas), plutôt pour en désigner les responsables : les citoyens récalcitrants. Tel sera l’axe annoncé du blitzkrieg : les non-vax. Ceux qu’il juge « irresponsables », qui à ses yeux ne sont plus dignes de la citoyenneté et qu’il n’hésite plus à jeter à la vindicte populaire.

    Passons la forme, les discours, les déclarations d’intention : que reste-t-il, concrètement ?

    Une population fracturée, des citoyens rejetés par tous moyens possibles hors de la sphère sociale, citoyens qui paient pourtant leurs impôts et cotisations sociales mais sont privés d’une partie de leurs droits fondamentaux et que l’on soigne parce qu’on le veut bien.

    Aujourd’hui, et malgré le fiasco de plus en plus évident d’une politique du tout vaccination, de la prise en otage des libertés individuelles, Emmanuel Macron continue sur sa logique jusqu’au-boutiste. Et cela ressemble à une stratégie de la terre brûlée.

    Sabine Faivre

    https://www.bvoltaire.fr/campagne-demmanuel-macron-blitzkrieg-ou-politique-de-la-terre-brulee/

     

  • Un média libre ?

    Chère Madame, cher Monsieur,
    On ne compte plus les fois où les chiens de garde du politiquement correct se déchaînent sur leur proie !
    Lynchage sur les réseaux sociaux, dénonciations systématiques au CSA, poursuites judiciaires à répétition…
    Il est devenu impossible de critiquer l'immigration massive sans risquer un procès.

    Comme celui qui vient d'être orchestré contre Éric Zemmour, sous prétexte de dénonciation insuffisamment nuancée des méfaits commis par des immigrés mineurs isolés.
    Quelques mois plus tôt, la jeune militante Thaïs d'Escufon était jugée, elle aussi, pour ses propos sur l'immigration : condamnée à deux mois de prison avec sursis, elle se retrouvera derrière les barreaux en cas de "récidive" !
    Au bout d'une longue procédure, malgré tout, les victimes de cet acharnement judiciaire peuvent obtenir gain de cause : déjà dix relaxes pour Éric Zemmour, dont quatre définitives.

    Mais pour tous ceux qui voudraient s'écarter du discours politiquement correct, le message est clair : c'est l'autocensure ou le risque d'un harcèlement permanent.

    L'objectif ?
    Contrôler l'information donnée aux Français, bien sûr.
    Mais surtout, éradiquer tout esprit critique, toute réflexion des citoyens sur les sujets essentiels.
    C'est grave, surtout à l'approche d'une élection présidentielle décisive !!

    C'est pourquoi l'action de Boulevard Voltaire est si importante.
    Aujourd'hui, seul un média libre et indépendant, tel que le nôtre, porté par la force de conviction de ses lecteurs, peut résister à la doxa médiatique qui contamine notre société.

    Aussi, nous espérons de tout cœur que vous soutiendrez notre Appel urgent pour la liberté d'expression en France !
    Car, au-delà de la liberté d'expression et d'opinion chaque jour un peu plus réduite, les "grands" médias privent les Français d'informations et d'analyses pertinentes sur les problèmes auxquels notre pays est confronté.

    Soumises au diktat du politiquement correct, la plupart des rédactions vous livrent une information insipide, passée au rouleau compresseur de la censure...

    ... quand elles ne se livrent pas à un véritable matraquage idéologique !

    Voyez leur indignation sélective :

    Emmanuel Macron apparaît grimé sous les traits d'un dictateur nazi ? Les "grands" médias orchestrent un concert d'indignations.

    Mais quand une "humoriste" de France Inter affuble Éric Zemmour d'une moustache hitlérienne, personne ou presque ne crie au scandale...

    Regardez le consensus médiatique – qu'avec votre aide nous nous efforçons de briser – sur des sujets qui devraient faire l'objet d'un débat à la hauteur des enjeux :

    Crise sanitaire

    La quasi-totalité des médias ont entériné le premier confinement sans aucune discussion. Et depuis, ils ont soutenu chaque restriction de nos libertés en cherchant sans cesse à étouffer le débat, jusqu'à l'adoption du passe sanitaire :
    Opposants caricaturés, manifestations minimisées, risque d'une surveillance permanente totalement éludé...

    Théorie du genre

    La plupart des médias ont beau répéter que la théorie du genre n'existe pas, ils la promeuvent allègrement... au point de la faire appliquer à des enfants.

    On ne compte plus les chaînes qui cherchent à vous convaincre qu'il est tout à fait normal de changer de sexe à sept ou huit ans !

    Féminisme, antiracisme, écologisme...

    Invasion du langage prétendument inclusif ("celles-et-ceux"), usage délibéré du vocabulaire du clan Traoré ("personnes racisées"), du lobby LGBT ("personnes menstruées"), des extrémistes féministes ("féminicide") et écologistes ("catastrophes climatiques" au lieu de "catastrophes naturelles")...

    Les médias bien-pensants imposent un matraquage idéologique à grand renfort de novlangue !
    Voilà comment les gardiens du politiquement correct et les médias subventionnés empêchent tout débat de fond sur les sujets importants pour l'avenir du pays.

    C'est pour ça qu'à Boulevard Voltaire, avec votre aide, nous devons, plus que jamais, décupler l'audience de notre média libre et indépendant.

    Nous devons réussir à diffuser encore plus largement nos articles et nos analyses qui sont la seule alternative à la récitation docile que servent aux Français les "grands" médias.


    C'est la seule façon de relancer un vrai débat démocratique pour la mise en œuvre de mesures efficaces contre les problèmes qui gangrènent notre pays.

    Alors, oui ! Nous avons un défi titanesque à relever ! Mais avec vous à nos côtés, nous pouvons y arriver !
    C'est pourquoi nous vous demandons de soutenir notre Appel urgent pour la liberté d'expression en France en faisant un don à Boulevard Voltaire.

    Vous savez à quel point l'accès à une information pertinente et non censurée est essentiel.

    Parce que ce n'est que bien informés, en étant capables de confronter ses idées à des points de vue différents que l'on peut forger une réflexion intelligente et objective, et répondre aux problèmes de notre société.
    S'il vous plaît, aidez-nous à ouvrir les yeux des Français avant qu'il soit trop tard.

    Car en défendant, ensemble, aujourd'hui, la liberté d'expression, c'est l'avenir de notre pays qui est en jeu.

    Nous comptons sur vous !

    Et nous vous remercions très sincèrement de l'aide la plus généreuse possible que vous pourrez nous apporter.

    Bien cordialement,
    L'équipe de Boulevard Voltaire

     

  • Peut-on sauver l’UE ?

    Je ne puis que penser que certains ont essayé….il y eut la Gréce, puis l’Italie. En fait ils voulaient la sauver de ces atermoiements sur deux aspects : la crise économique et la crise migratoire. C’est un fiasco total. Et depuis la crise sanitaire, c’est confirmé l’UE doit céder la place à une nouvelle Europe des Nations libres et souveraines.
    Et pourtant l’Italie a faillit réussir. Mais voilà, ils ont eu la peau de Salvini et tout à continué comme si de rien n’était.
    Le patron de la ligue avait pourtant le sens de la formule qui fait mouche. Ce n’est pas un hasard s’il avait choisi le poste de ministre de l’intérieur laissant à ses alliés du mouvement M5S les ministères sociaux. A ce poste on pouvait encore montrer qu’un Etat déterminé a les moyens d’agir. Encore faut il qu’il le soit !

    Le Président de la République Italienne et les milieux « Européens » de Bruxelles avaient sous la pression de la rue, renoncés à empêcher une majorité « populiste » de gouverner. C’est comme si en France nous avions portés au pouvoir MLP !
    C’était à Salvini de jouer. D’abord parce que comme Eric Zemmour aujourd’hui en France, l’immigration fut le thème qui le porta au pouvoir. Ensuite parce qu’il dut montrer qu’il pouvait expulser massivement les clandestins (il avait promis 500 000 renvois) et arrêter la déferlante migratoire sur les côtes italiennes.
    Salvini s’en pris donc aux ONG qui, sous couvert d’humanisme, sont les complices des passeurs.  Il voulut utiliser la marine italienne non pour sauver des migrants, mais pour les arrêter, voir détruire leurs barques. Il dut enfin tenir tête aux juges européens qui ne manquèrent pas de dénoncer des pratiques contraires aux « droits de l’homme »
    Il essaya bien de faire pression sur les pays de l’autre coté de la Méditerranée, - Tunisie, Maroc, Algérie et au delà les autres pays d’Afrique pour qu’ils reprennent leurs ressortissants ; en vain.
    Au temps de Ben Ali en Tunisie et de Kadhafi en Lybie, ces pays bloquaient leurs migrants pour qu’ils ne se déversent pas sur l’Europe - preuve que c’est possible aujourd’hui encore puisque la Turquie le fait moyennant finance.
    Nous croyons Toujours en France que l’immigration est un phénomène que l’on ne peut maitriser, une sorte de fatalité que l’on doit subir, c’est faux ! Les mouvements migratoires sont une guerre qu’on veut gagner ou qu’on accepte de perdre.
    Macron et les dirigeants actuels de l’Europe de Bruxelles répètent que chacun nation ne peut rien faire seule et que la question migratoire ne pourra être résolue qu’ensemble C’est exactement l’inverse.

    Ensemble les Européens de Bruxelles ont prouvé qu’ils ne font rien. Et c’est bien la raison pour laquelle ils ont remplacé Salvini une fois ce dernier isolé, ostracisé et remercié par les complices italiens de l’UE.
    Notre ami Eric Zemmour va axer sa candidature sur trois grands projets et l’immigration est le projet n°1.
    Ne faisons pas en sorte qu’il subisse le sort de Salvini.  

    01 09 21

    Francis-claude Neri

    Cygne Noir

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