Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Marine présidente en 2017 - Page 54

  • Crise de régime

    Oui la gente médiatique courtisane et bêlante appelle ce livre un « torchon » = la courtisane sans statut, mais pas sans cœur ni cervelle se venge d'avoir été répudiée comme une hétaïre de la cour du Sultan de Turquie. « Elle affaiblit la fonction présidentielle », se plaignent d'une seule voix les hypocrites bramant en cœur, mais qui ne voient pas que le Roi est Nu. Hollande, obligé - c'est un comble quand on pense à la noblesse prestigieuse du Connétable - d'intervenir sur ce sujet intime depuis le sommet de l’OTAN,  l'a rappelé lui-même : il « faut respecter la charge ». Comme si le profond mépris exprimé à l'égard d'une femme mise en scène lors du scrutin de 2012, propulsée sous les feux de l'actualité présidentielle, traînée dans certains voyages officiels, puis ensuite rejetée comme un mouchoir usé, n'avait aucune importance, ni pour elle ni pour le statut des femmes dont la classe au pouvoir ne cesse de se gargariser, ni enfin pour la fonction.  Comme si le fait de se balader en scooter la nuit pour aller voir sa « copine » n'avait pas d'incidence sur la majesté présidentielle que Monsieur le « président normal » voudrait préserver.  On pensera ce qu'on veut de Valérie : qu'elle fut très chiante, qu'elle ne savait pas rester à sa place, qu'elle s'est vengée, qu'elle a trahi,  qu'elle manque de dignité, qu'elle est gouvernée par son égoïsme. Mais de grâce ne confondons pas l'effet et la cause. La fonction présidentielle est gravement affaiblie par le comportement décalé et irresponsable  de ceux qui sont propulsés à ces hauteurs glacés par une constitution « héroïque », multiplicatrice des égos, dont on voit bien qu'elle n'est plus adaptée au temps, aux hommes et aux vicissitudes médiatico-démagogiques du 21ième siècle. La raison essentielle en est que les tripatouillages de notre Loi Fondamentale par la longue succession des "magouilles" politiques depuis les trois cohabitations, jusqu'à la réduction du mandat présidentiel à 5 ans pour supprimer la perspective inconfortable d'une dichotomie entre les majorité présidentielle et législative, ont détruit l'essence même de la 5ième république aujourd'hui vidée de sa vertu primordiale : une relation particulière et directe du Président, clé de voute de l'exécutif, avec le peuple et par-dessus les partis.

    Au-delà des tribulations de Valérie, c'est cela qui est en cause. Certes une popularité gravement défaillante dans les sondages n'oblige pas le président à démissionner, mais dans l'esprit de la 5ième, elle doit conduire à s'interroger sur l'aptitude d'un homme à mettre en œuvre les réformes nécessaires avec une aussi faible adhésion populaire. Enfin la jurisprudence gaullienne imposerait à l'hôte de l'Elysée à au moins vérifier par référendum la force du lien qui le rattache au peuple par dessus les Partis.

    Lors de son discours du 24 mai 1968, Charles de Gaulle avait lancé une phrase que l’actuel président ferait bien de méditer s’il veut continuer à gouverner vêtu du costume trop grand pour lui de la constitution de la 5ième République : « J'ai besoin que le peuple français dise qu'il le veut ». On ne saurait mieux dire. Et plus loin : « Françaises, Français, au mois de juin, vous vous prononcerez par un vote. Au cas où votre réponse serait "non", il va de soi que je n'assumerais pas plus longtemps ma fonction ; si, par un "oui" massif, vous m'exprimez votre confiance, j'entreprendrai, avec les pouvoirs publics et, je l'espère, le concours de tous ceux qui veulent servir l'intérêt commun, de faire changer, partout où il le faut, des structures étroites et périmées, et ouvrir plus largement la route au sang nouveau de la France ».

    Nous y sommes. Comme plus aucun homme politique moderne ne serait capable d’un tel rétablissement populaire, ni d’ailleurs de tirer les conséquences d’un désaveu comme l’avait fait De Gaulle en 1969, non pas que les « héros » auraient disparu et qu’il n’y aurait plus de patriotes ayant du caractère, mais tout simplement parce que les temps ont changé la nature de la relation entre le pouvoir et les peuples devenus, à la faveur des nouvelles technologies de l’information, plus sceptiques, plus rebelles, plus angoissés aussi, peut-être plus responsables et plus conscients, il faut se rendre à l’évidence : nous sommes en crise de régime. 

    ROGER

  • Souveraineté populaire et démocratie

    Etymologiquement, "démocratie" signifie "le pouvoir au peuple", autrement dit la participation de tous les citoyens aux décisions sur les sujets d'intérêt collectif. L'origine grecque du mot s'explique par l'importance historique de l'exemple donné par la démocratie athénienne dans l'Antiquité. Tous les citoyens d'Athènes étaient amenés à se réunir pour décider de la gestion des affaires communes.

    Les notions de "démocratie" et de "souveraineté populaire" sont pratiquement synonymes, à condition de ne pas assimiler la souveraineté populaire au seul principe du suffrage universel, qui ne suffit pas à garantir un mode démocratique de gouvernement, du fait, par exemple, que les candidats à la gouvernance ont depuis longtemps pris conscience qu’il suffisait de désinformer et de "déséduquer" un peuple pour le priver de sa souveraineté et de faire une fois au pouvoir l’inverse de ce sur quoi ils se sont engagés.

    Le Président Hollande en est le dernier et le parfait exemple.

    Cela conduit à souligner l'importance de la nature de l'information transmise par le système éducatif et par les médias aux citoyens et aux futurs électeurs.

    Cela pose aussi la question de la place des minorités, et de leur importance compte tenu, au mieux de leur faible poids électoral, au pire, de leur absence totale de participation à la vie politique.

    L’exemple de l’absence totale d’influence politique du Front National sur le « système » est éloquente.

    Enfin, le droit de vote des étrangers par exemple, reste une menace sur la souveraineté nationale. Agitée périodiquement par les tenants du multiculturalisme et du mondialisme qui, en cela, souhaitent « diluer » la souveraineté populaire et nationale pour mieux la manipuler et « transformer » le peuple de France.

    Celle-ci doit rester assimilée à la souveraineté nationale si l’on veut conserver l’essence même de l’identité et de la « qualité intrinsèque » d’un peuple.

    Cela pose aussi la question du « retour » de l’information (rétroaction) qui dépend de la « qualité » de celle-ci et non pas de sa quantité.

    La manipulation de l’information, de l’éducation, de la réalité historique, ont atteint un tel niveau de désinformation que nous pouvons considérer que c’en est fini de la démocratie et du peuple souverain.

    En conclusion, nous pouvons affirmer, avec force et conviction, qu’il nous appartient, après avoir libéré la France de ses oligarques, de libérer les médias et l’éducation nationale.

    Notre premier devoir serait d’apprendre au peuple à DISTINGUER, à porter sur les choses, les gens, les événements SON regard et ensuite SA main !

    Je rappellerai donc, une nouvelle fois, un des « NON AXIOME » du Systémicien : « S’élever pour mieux voir, relier pour mieux comprendre, distinguer pour mieux agir »

    Francis NERI
    28 08 14

     

     

  • Cultures

    Le fossé culturel se creuse entre les cultures au lieu de se combler comme faisaient semblant d’y croire la gauche multiculturaliste et les prédateurs du N.O.M. qui voudraient un univers culturel homogène et compatible avec leur grande distribution.

    Ça n’a pas l’air de fonctionner comme ils l’espéraient, si l’on excepte la « grande distribution » d’armes en tout genre qui permet en tous temps de « faire bouillir la marmite ».

    Ce qui apparaît évident à (presque) tous, c’est le gap culturel entre les Musulmans et pratiquement le reste du monde. Cela produit bien évidemment les conséquences d’incompatibilité auxquelles nous assistons, parfaitement orchestrées par les parties en présence.
    Comme chacun sait, la créature échappe aux apprentis sorciers et fini par les détruire, et quelques « innocents » avec lui.

    Pas si innocents que çà ! Après tout çà nous arrange bien et nous avons les « sorciers » que nous méritons.
    Allons voir un peu plus loin et creusons cette histoire de culture. Le gap est il seulement entre les Musulmans (l’Orient compliqué) et nous, purs produits Occidentaux ?
    Pas vraiment ! En Europe, peut être plus qu’ailleurs, le choc des cultures est manifestement le point d’ancrage de nos problèmes.
    Prenons l’emploi par exemple et deux pays proches, semble t-il, sur le plan culturel : la France et l’Allemagne.
    L’emploi fut en crise dans les deux pays et pratiquement au même moment. C’est un fait ! Mais un fait est une chose, la lecture que vous en faites en est une autre.
    La question qui se posait après la « crise » était la suivante : On crée des emplois ou on développe des ventes ? La plupart des entreprises allemandes firent pression sur l’emploi pour, disaient elles, ne pas délocaliser. Une méthode de négociation allemande qui se répandit, en Angleterre par exemple.
    Mais pas en France où on s’est contenté de négocier des emplois, dans l’industrie et le commerce, et d’en multiplier dans la fonction publique.
    En Allemagne, on négocie des coûts, donc des ventes. La logique n’est pas la même : vendre d’abord, partager les profits ensuite pour les Allemands.
    Comment concilier ces deux cultures ? Je pense que c’est impossible. Le fossé culturel va se creuser, encore et encore, surtout avec l’afflux journalier en France, de nouveaux migrants culturellement si éloignés et qui eux refusent en bloc tout ce qui n’est pas de leur culture.

    Mais j’ai une réponse !!

    Pour commencer, prendre le pouvoir en France, rétablir l’autorité de l’Etat et se débarrasser de tous ces parasites de la politique, de l’administration, de l’éducation, des médias, de ses assistants multiculturels de la « paix sociale ».

    Ensuite, sortir de l’UE et vite avant que la France multiculturelle face à nouveau la guerre à l’Allemagne !
    Une fois les frontières rétablies, notre souveraineté et notre identité retrouvées, nos islamistes expulsées nous pourrons nous remettre au travail

    En 1958, la France était à genoux Un Homme l’a remise sur pieds en un an ! Pourquoi pas une femme ?
    Marine le PEN est au point de rencontre de l’Histoire et c’est la seule, dans l'opposition, qui possède l’énergie, la compétence et les moyens …y compris culturels de le faire. 

    Donnons-lui le statut et rejoignons le groupe culturel gagnant. Donnons nous UNE chance. Il nous en reste si peu et ILS sont si puissants ! 

    Nous pourrons alors et avec l’Allemagne, reconstruire un groupe restreint et solide de nations Européennes, pour faire naître un jour l’Europe des peuples.

     Celles des marchands EST morte !

     

    Francis NERI

    23 08 14