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Marine présidente en 2017 - Page 52

  • Où va le FN ?

    " Je reste persuadé que l'immigration massive n'est pas la cause de tous les problèmes de la France. Elle s'inscrit simplement dans la suite logique de ce qu'est le libéralisme avec son ouverture totale des frontières." 

    Flavien Suck

    Ben voyons le FN va résoudre le problème de l'immigration massive en supprimant le libéralisme ...je crois rêver ...et en fermant les frontières en plus ...

    Nous devenons fous au FN ou quoi ?

    Le problème numéro 1 de la FRANCE « ici et maintenant » c'est l'immigration massive à la fois Maghrébine ET d'Afrique Subsaharienne. Le "reste" ne sont que des conséquences.

    Et cette immigration massive est VOULUE par ce fameux libéralisme.
    Le raisonnement « cause à effet » ne tient que si l'on identifie clairement l'ORIGINE de la cause et çà c'est mathématiquement IMPOSSIBLE car l'effet RETROAGIT toujours sur la cause ! 

    Il faut retourner à l'école et revisiter la notion de COMPLEXITE !

    Francis NERI

    05 11 14

  • Eduquer, socialiser, assimiler.

    Le premier devoir des Educateurs et des Formateurs est de s'affermir et de s'affirmer par eux mêmes, car ils sont le recours du pays et ils ne doivent rien attendre de l'Institution actuelle.

    Devant les périls qui montent, nous constatons que la Nation est dépourvue des moyens culturels de se défendre et que le régime actuellement en place est incapable de les lui donner.

    C'est ce que nous devrions faire !

    La France est soumise à système libéral extrémiste qui la détruit volontairement. Le corps et l’âme de la nation sont menacés à la fois. Ce qui est grave, c’est cette plaie sociale qui n’en fini plus de ne pas guérir.
    L’unité profonde de la nation ne dépend pas seulement de la « justice sociale » Elle est aussi le fruit de la valeur morale des citoyens. L’éducation, la socialisation, l’assimilation revêtent une importance primordiale.
    Sans nul doute, c’est aux familles qu’appartiennent le devoir et la responsabilité d’éduquer nos jeunes gens et nos jeunes filles. Mais il faut les y aider ; en particulier ceux des parents qui, venant d’autres pays et d’autres cultures, seraient eux aussi à éduquer, socialiser et A-culturer !
    C’était à l’Etat et aux collectivités publiques d’assurer cette mission et de former des éducateurs spécialisés.
    Nous avons besoin d’enseignants capables d’intervenir au sein des trois pôles de l’Education : l’école, la famille, les institutions et les associations du temps libres afin de ne pas laisser la « rue » et les communautarismes, éduquer et socialiser nos enfants.

    Rien n’a été fait, volontairement très probablement. L’on voit en conséquence des adultes qui refusent tout enseignement qui ne soit de leur communauté d’origine et leurs enfants ne savent même plus à quelle culture ils appartiennent.

    Notre responsabilité de citoyens Français, d’origine ou pas, est de remettre en cause les lois sur l’enseignement dans l’école publique qui doit retrouver son rôle d’éducation et de formation à NOS pratiques, NOS codes sociaux, NOS règles, NOS valeurs et mettent en lumière les aspects positifs de notre histoire plutôt que d’en valoriser les seuls aspects négatifs.
    La liberté d’enseignement doit s’y retrouver. L’intérêt public également et les écoles libres doivent avoir toute leur place et recevoir de justes ressources. En amenant les Français de bonne foi à s’accorder sur une éducation ainsi aidée, nous pourrons enfin servir l’unité nationale, la France et les Français.
    C’est un axe essentiel du projet de Marine Le Pen, il s’inscrit dans une organisation : Le Collectif Racine.
    Il est souhaitable que vienne rapidement le temps où nous pourrions le voir s’inscrire comme incontournable dans le paysage éducatif et socialisant de la France.

    Francis NERI
    Président de l’Institut Européen de Socialisation et d’Education (IESE)
    Membre du Collectif Racine

  • Halal

    Il y a une quinzaine d’années, le halal comme le casher étaient totalement marginaux.

    Le halal s’est développé avec la complaisance des pouvoirs publics au point que dans certains abattoirs cette forme d’abattage s’est généralisé pour éviter les coûts de l’endormissement de l’animal.

    Cette pratique s’est développée sous couvert de mensonges éhontés : la bête ne souffrirait pas et la viande serait meilleure alors qu’elle est égorgée à vif, sans anesthésie. Les bovins mettent très longtemps à mourir, alors on commence déjà à les sortir avant leur fin, à leur trancher les pattes et à les dépecer vivants.
    Comment un telle viande pourrait être meilleure ne serait ce que par les toxines produites ?


    Le halal qui s’oppose à l’étourdissement électrique règne aujourd’hui en maître sur nos abattoirs. La viande consommée en région parisienne est en quasi-totalité halal et nous payons à chaque fois une dîme entre 10 et 15 centimes le kilo aux autorités musulmanes…nous pouvons imaginer sans peine où va cet argent.

    Il y a de quoi devenir islamophobe à jamais !

    Il faut imaginer « cette marée de bovins, les yeux exorbités, les pattes tremblantes dans la merde répandues au sol par leurs intestins relâchés par la peur et crevant dans la douleur » nous dit avec colère Franz-Olivier Giesberg.


    Je partage cette colère et cette indignation envers cette pratique et j’espère bien qu’une fois Marine Le Pen au pouvoir elle sera, elle aussi éradiquée, y compris celle du casher par la même occasion s’il s’avère qu’elle est réalisée dans les mêmes conditions.

    Francis NERI

    25 10 14