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Régulation, contrôle, sanction - Page 17

  • Une vue unitaire du monde occidental

    Quand il y a invasion et submersion d’une civilisation par une autre, on appelle cela une colonisation.
    L’Afrique et en particulier le monde arabo-musulman vont-ils « coloniser » le monde occidental et pour ce qui nous concerne, la France en particulier ?
    Pourquoi et comment y résister ?
    Pour et par un recours spirituel et identitaire de l’Europe. En redonnant du sens !
    Si les églises se vident, ce n’est pas parce que l’homme a perdu le sens du sacré, c’est parce que l’Européen se sent mal à l’aise vis-à-vis de ces religions qui ne répondent plus à leurs sensibilités multiples et ne lui donnent plus sens.
    Plus les populations sont évoluées, plus on constate leur rejet de l’approche monothéiste avec un Dieu responsable de ce qui est bon, mais jamais du mal et de la souffrance et devant qui il convient de se prosterner.
    Alors une identité, une culture, une mémoire gréco-romaine, judéo-chrétienne, matinée des lumières peut-elle redonner du sens aux européens face à une masse islamiste « remplaciste » dans une « Reconquista » comme on l’a dit de l’Espagne lors du reflux des Arabes ?
    Il ne s’agirait pas d’une guerre des religions, les Européens doivent simplement dépasser ce qui leur a été imposé et qui leur est étranger. Nous aurons à réunifier ce qui est « sacré et profane » à réaffirmer que l’Homme est un tout dans un tout que, de ce fait il peut être maître de son destin.
    L’enjeu est de taille !
    Je travaille depuis deux ans sur cette approche et l’écriture d’un nouveau livre.
    Je sais que d’autres plus « illustres » la rejoignent : De Villiers, Zemmour, Alain De Benoist, Michel Onfray …
    Affaire à suivre
    06 05 23

  • Le souverainisme est un humanisme

    Comme le montra magistralement Claude Levi-Strauss, une confusion existe depuis des siècles entre confrontation des civilisations entre elles et appartenance ethnique. Les souverainistes sont les seuls à être parfaitement clairs quant à cet amalgame : il faut affirmer fortement les leçons de l’histoire quant aux conflits de civilisation et rejeter tout aussi implacablement leurs explications ethniques.
    C’est en cela que le Souverainisme est un humanisme : l’universalité de l’homme n’est pas contredite par l’attachement à la nation. La nation est la réalisation concrète de valeurs universelles, leur inscription dans l’histoire réelle selon le génie et l’épopée particulière d’un peuple, d’une lignée à laquelle on sait appartenir. Elle renvoie ainsi dos-à-dos les universalistes abstraits comme les communautaristes tribaux.
    Rien de tout cela n’affleure dans l’idéologie Woke. Ses tenants se considèrent comme d’implacables justiciers investis d’une mission, sans l’ombre d’une remise en question personnelle.
    Un universalisme abstrait n’est pas la bonne réponse à leur apporter et ceux qui l’emploient – parfois de bonne volonté – sont leurs meilleurs idiots utiles.

    Marc Rameaux
    29 04 23
    Cygne Noir
     

  • Les meilleures idées du monde

    J’ai la prétention d’avoir les meilleures idées du monde puisque ce sont celles que je me suis construites, vous aussi, mais manque de chance ce ne sont pas les mêmes : Nous ne sommes pas d'accord entre nous, c'est une réalité et c'est même grâce à ces désaccords que le monde avance.
    La démocratie consiste à savoir gérer intelligemment les conflits, donc puisque nous sommes d’accord sur rien, trouvons-nous au moins une façon de gérer ces désaccords sans que l’idée des uns annihile celles des autres.
    Chacun ne voit le monde qu’en fonction de sa petite expérience personnelle, mais aucun ne peut prétendre décider pour les autres, tout au plus proposer son point de vue, pour que peut-être à plusieurs, en combinant nos idées réussir à nous organiser un quotidien un peu moins problématique.
    Cette piste est un processus constituant conduisant à définir des règles de dialogue entre nous, il passe par l’acception d’un doute parmi ceux qui ont des dogmes ou des certitudes.

    Je rêve de rassembler dans une salle des individus totalement différents qui acceptent de risquer de remettre en cause ce qu’ils pensent pour, à l’écoute des autres, nous trouver une méthode de travail pour inventer enfin un monde ne gaspillant plus toute son énergie dans des combats stériles où la bonne idée de l’un est cassée par la bonne idée de l’autre.
     
    Alain Persat
    25 04 23