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Régulation, contrôle, sanction - Page 17

  • Notre cerveau collectif

    Une organisation quel que soit son type (entreprise, école, syndicat etc ) est étroitement reliée à son environnement Une entreprise par exemple qui ne respecte pas le biotope ou le contexte socioculturel risque de s'attirer des ennuis.

    Mais le plus difficile dans le contexte actuel est d’empêcher les communautés de se fragmenter et les réseaux sociaux de se dissoudre.

    Il va falloir faire appel nos défense mentales, physiques, émotionnelles. Ce n'est plus le moment de rabâcher les faits dans la solitude de l'entre-soi. L'heure est venue de se colleter avec le réel, sur le terrain.

    A l'heure ou les analyses nous montrent que nos sociétés se divisent justement en plusieurs segments sociaux qui s'éloignent de plus en plus les uns des autres, le souci de la collectivité doit devenir un impératif pour tous les groupes sociaux.

    Cet impératif de nature éducative et culturelle est d'autant plus nécessaire que c'est l'éducation et la culture et non l'économie qui NOUS définit.

    A nos sociétés et à nos organisations à ne pas l'oublier.

    FCN

     

  • Guerre civile ?

    A moyen terme, la victoire du Rassemblement National et des Nupes au dernier scrutin devrait déclencher deux "évènements" majeurs non maîtrisables dans la société française : la lutte des classes et la lutte raciale
     
    Bref la lutte "électoraliste" ayant échouée, devons nous préparer à la guerre civile ?
     
    Notons également que partout où les islamistes atteignent une masse critique minimale avec des effectifs équivalent à 4 ou 5 % de militants, ils exercent une influence qui dépasse de beaucoup le poids de leur représentation et peut aller jusqu'à conditionner la vie d'un pays.
    Il existe donc une "dynamique" islamiste
    C'est à dire que la vigueur de l'action leur confère une productivité politique et combattante supérieure à leur importance numérique

    Il faudrait en tenir compte.
    FCN

  • Entrer en résistance

    Ma survie personnelle passe par la prise de conscience qu’il me faut m’organiser pour résister à un processus individuel de désintégration. Processus en particulier affectif. Bref il me faut combiner le cœur et la raison, le cortex et le thalamus.

    Un processus qui rejoint celui du collectif ! Le triple échec d’Éric Zemmour a profondément affecté ses soutiens, et la confiance dans un avenir possible avec lui à leur tête est largement remise en question.

    Devant le danger actuel de l’adaptation rapide et passive des « citoyens » au nouveau totalitarisme « social » et « sociétal » développé par le pouvoir actuel, il faut apprendre à lutter contre un enchaînement de faits dans le temps aboutissant à un mouvement collectif de désintégration sociale, culturelle, économique etc.
    Il nous faut, entre autres, dire comment s’en défendre, se protéger, comment passer à l’action, avec qui et quels moyens.

    Face aux empiètements croissants de l’Etat, et des pouvoirs qui lui sont inféodés, sur notre autonomie, à la mise en « fiches » de plus en plus générale et à la considérable diminution de la liberté d’action et de pensée, il y a possibilité et urgence à réagir.

    D’abord comprendre. Il ne s’agit pas de se faire tuer en descendant dans la rue au nom de la liberté – çà c’est l’élan du cœur – il faut que chacun de nous analyse, réfléchisse à la façon dont le mécanisme fonctionne et décide de partager ses convictions pour les inscrire ensuite dans l’action conjointe.

    Dans une société de masse à intégration poussée, dont le principal danger est l’adaptation des individus aux demandes d’un pouvoir central de plus en plus fort, et de mieux en mieux armé pour nous gérer, nous surveiller, nous contrôler et nous les imposer, il nous faut en retour, individuellement et collectivement, nous organiser pour résister. Ne pas laisser l’Etat cloisonner les individus et affaiblir la solidarité collective.
    Pour cela, il nous faut renforcer nos liens de solidarité, d’amitié entre les individus, retrouver et redonner sens aux valeurs, aux codes sociaux qui sont nôtres et qui renforcent la mémoire de ce que nous sommes, de nos identités.
    Il nous faut prendre collectivement conscience de la réalité des dangers et employer les mesures encore possibles pour organiser la défense et la survie dispersée de chacun.
    Nous devons nous méfier de « l’autisme de groupe », rester ouverts, ne plus jamais dissocier le cœur et la raison.

    Ne pas oublier de maintenir en soi ce que Bruno Bettelheim considérait comme la plus grande liberté de l’homme : « choisir son attitude et son comportement face aux circonstances ».

    Je vous invite à y réfléchir et si vous le voulez bien y adhérer !

    « Plus est en nous »

    Francis-Claude Néri
    Président de l’IESE