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Régulation, contrôle, sanction - Page 17

  • L’appel de Marion Maréchal pour sauver l’agriculture française

    Marion Maréchal appelle au sursaut pour « défendre l’exception agricole française ».
    Dans une tribune, parue sur le site Internet de Valeurs actuelles, la vice-présidente de Reconquête dénonce le sabordage de ce secteur stratégique de l’économie française.
    L’ancienne élue ne mâche pas ses mots. Dans le viseur de ses critiques, les écologistes extrêmes, le gouvernement et l’Union européenne. Car pour Marion Maréchal, ce combat en faveur de l’agriculture est d’abord une question de souveraineté et d’indépendance sur la scène internationale.
    Comme elle le rappelle, « l’autonomie alimentaire n’est pas moins essentielle que l’indépendance énergétique ».
    C
    hiffres à l'appui elle alerte sur le déclassement du secteur agricole français : « disparition de cent mille exploitations agricoles entre 2010 et 2020 » ; « deuxième exportateur mondial en 1999, la France a dégringolé à la 5e place » ; « l’importation de viande de bœuf a augmenté de 15 % sur un an alors que l’élevage français vient de perdre 837 000 vaches en six ans ».
    Marion Maréchal cible l’instrumentalisation du monde agricole par les écologistes, estimant notamment qu’il « faut que les décisions politiques en la matière soient indépendantes d’un lobby “écolo” déconnecté des réalités du terrain ».
    Pour permettre à notre agriculture de se relever, elle convoque le combat politique. « Porter une grande vision agricole, c’est sortir d’une approche caricaturale qui consisterait à enfermer la France dans un modèle hyperproductiviste ou au contraire à la transformer en jardin bio ».
    Mais pour cela, ce secteur d’importance de l’économie française doit se préparer à la rivalité commerciale à venir avec les pays du Mercosur et aux normes européennes toujours plus pesantes.
    Parmi ses pistes de réflexion, elle propose « une agriculture bio très qualitative, propre mais plus chère et peu productive, puis, pour l’essentiel, une agriculture de proximité, peu massifiée, adaptée au terroir et aux circuits courts (cantines scolaires) jouant un grand rôle dans l’aménagement des territoires. »
    P
    our Marion Maréchal, l’heure n’est plus aux gesticulations politiques mais à un tournant de l’histoire où « l’agriculture a besoin d’évoluer ». Car le temps est compté.
    Mais encore faudrait-il que la France ait tiré des leçons. Cela, Marion Maréchal en doute et le déplore : « Si nous voulons concilier tous ces impératifs, productivité, rentabilité, respect de l’environnement et de l’animal, alors il faut protéger ce marché stratégique et rétablir une justice commerciale par l’application de la réciprocité.

    Valeurs Actuelles
    27/02/23

  • A écarter

    L'UE a dépassé "les bornes des limites" () et nous devons absolument écarter Mr Macron le plus rapidement possible. Pour ce faire, nous ne devons pas attendre après les députés et sénateurs : ces derniers sont trop motivés par leurs propres indemnités parlementaires...

    Nous devons faire pression sur l'armée !!!

    Nicole Held

    C'est une des pressions qui s'exerce effectivement. Plusieurs généraux s'y sont attelés ; mais beaucoup, y compris dans la police, qui pourraient s'engager, parler, agir, ne le feront pas et laisseront faire ?

    Parce qu’ils ont peur pour leur carrière, qu'ils ne veulent pas se faire traiter de nazi, ou de fachos, de conservateur rétrograde, de se faire détruire sur les réseaux sociaux et qu'on exerce des pressions sur eux et leur famille.

    Il en faudrait du courage

    Tant que le peuple de France n'osera pas descendre dans la rue et à y rester Tant qu’il se rassemblera sur la "droite" ou sur la "gauche" mais pas sur ses intérêts premiers, sur ses valeurs, ses codes, son histoire, l'armée et la police, ne bougeront pas ; au contraire

    Il y a deux grandes erreurs à ne pas commettre pour nos "politiciens" et en particulier pour Eric Zemmour ; c'est d'une part de tout axer sur la "communication numérique" et d'autre part de penser pouvoir rassembler la droite...c'est la France qu'il faut rassembler et savoir REPONDRE à ses attentes et donc de l'écouter et de l'entendre !

    Francis-claude Neri

    05 03 23

  • Pourquoi ?

    Pourquoi la population reste-t-elle indifférente devant la violation de ses droits, l’écologie punitive l’insécurité permanente, les délires wokistes ?

    L’aspect sécuritaire :   l’État ne s’oppose pas aux provocations, il apparaît faible. Les délits restent sans réponse et sont suivis par d’autres, souvent plus violents. L’impunité affichée des terroristes leur octroie une aura de force, déclenche la peur et permet aussi le recrutement de nouveaux adeptes, sincères ou opportunistes.

    Les citoyens n’ont plus confiance en l’État, ni en ses défenseurs comme la police. Chacun se sent isolé et sans défense et « ne se soucie plus que de ses intérêts privés. Désormais, on « refuse de s’engager et de s’exposer… Ainsi, l’indifférence et l’apathie apparentes cachent une décision bien arrêtée de non-engagement ».

    Cette attitude se développe d’autant plus que les partis politiques d’opposition sont aussi victimes du politiquement correct afin de conserver leurs « places » et leur relative influence.

    Privé de tout recours fiable, en particulier contre les terroristes, le peuple ressent une peur qu’il n’ose exprimer. La peur isole les personnes, phénomène exceptionnel et… caractéristique. La conduite individuelle est dominée par l’évitement de toute manifestation personnelle et de toute initiative, par la peur de se faire remarquer.

    L’apathie des populations occidentales est flagrante. Mais comment s’en étonner ? Elles subissent en continu l’action des subversifs et propagandistes gauchistes, islamistes ou écologiste ?

    L’État n’est plus seulement impuissant, il est complice.