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islamisme - Page 3

  • La triplice : nazisme, communisme, islamisme

    Le regretté écrivain philosophe Jean-François Revel faisant le premier en France à mon humble connaissance le lien entre nazisme, communisme, islamisme l'avait prophétisé : les idéologies totalitaires s'avancent toujours masquées en se faisant passer pour des victimes, mais exigent le moment venu quand le rapport de force leur est favorable que les gogos se plient à toutes leurs vues.

    Lorsqu'on se demande par conséquent si devenu majoritaire dans certaines parties du territoire français, l'islam (politique ou pas) respecterait la laïcité, et surtout les libertés, pour ses soutiens et ses idiots utiles, il ne s'agit pas de les respecter mais bien de les établir à l'aune de leur idéologie globalisatrice mortifère pour mieux les détruire.

    Tous ceux qui dénoncent cette marche vers le totalitarisme islamique sont priés de quitter leur pays, n'étant plus chez eux, logique folle imparable !
    Mauvais présage pour la France qui prend tout droit le chemin tragique des pays où des hommes et des femmes de bonne volonté sur tous les continents avaient fait le pari d'un islam progressiste, tolérant, respectueux.

    Francis Ponsonnaille

    21 10 19

    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/


  • Les guerres religieuses

    L’étude des facteurs économiques et sociaux sont à l’arrière fond de presque tous les conflits religieux.
    Au début des années 1560 la poussée protestante s’accompagne d’une vague de refus des dîmes qui dépasse largement les adeptes de la nouvelle religion et qui prennent les armes pour la cause protestante.
    Sans prétendre identifier affrontements religieux et lutte des classes, il va de soi que les rapports sociaux ont pesé à tous les stades des conflits allumés sous des bannières religieuses.
    Bien entendu, la religion à partout introduit une passion qu’on n’eût pas trouvée si les enjeux eussent été seulement politiques.

    De nos jours, quels que soient les facteurs économiques, sociaux, démographiques, racistes, ethniques etc.,  ce sont bien des « guerriers de Dieu » qui s’affrontent aux frontières de l’Europe et en son sein.

    L’Islam est le grand adversaire depuis des siècles. A l’ouest il a été refoulé d’Espagne par la Reconquista qui s’achève en 1492, avec la prise de Grenade ; mais la Méditerranée occidentale est infectée de pirates musulmans basés sur les côtes du Maghreb, qui ne cessent de faire des incursions sur les rivages de l’Europe pour y prélever des esclaves et du butin.
    A l’est, la Chrétienté subit les assauts du Turc ottoman. Après la chute de Constantinople en 1453, la poussée est double : en Méditerranée, où les Turcs s’emparent de Rhodes en 1522, obligeant les chevaliers de Saint Jean de Jérusalem à se replier sur Malte ; et sur le Danube, où Belgrade tombe en 1521, après quoi la défaite de Mohács, en 1526 entraine la chute de presque toute la Hongrie ; en 1529 les Turcs seront devant Vienne.

    Les juifs, depuis des siècles présents parmi les chrétiens sont considérés comme « ennemis » car héritiers de ceux qui ont mis à mort le Christ. Ils sont l’objet d’une violente hostilité populaire attisée par des prédicateurs, aussi bien du coté chrétien que Musulman.

    Rien de changé de nos jours ? Il faut croire que non, l’actualité le prouve quotidiennement en Irak, Syrie, Afghanistan Lybie etc., sans oublier l’Europe avec ses Balkans, ses cités communautarisées et islamisées.

    A nouveau, le religieux s’imbrique avec d’autres facteurs nationaux, linguistiques, économiques, démographiques pour produire ensemble une idéologie et une pensée politique de combat.
    Aucune civilisation, aucun courant de pensée ne peut être épargné par des dérives religieuses de ce type, cela conduit toujours à l’intolérance et au fanatisme.

    Je dis ici mon pessimisme…On tue si facilement au nom de Dieu !

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

    12 10 19

     

     

     

  • Définir la menace, c’est désigner l’ennemi.

    La menace islamiste n’est pas seulement incarnée par ses organisations terroristes qui ont déclaré la guerre à ses ennemis mécréants, apostats ou mauvais musulmans.
    La menace totalitaire est également du fait d’Etats « amis » reconnus, dotés d’armes régulières, fournies principalement par les occidentaux, de moyens financiers considérables et même de l’arme nucléaire.

    Cette menace est relayée, cautionnée, financée, appuyée, par des associations, des médias, des organisations partout dans le monde par CES Etats.

    Si, elles évaluaient le péril islamiste dans sa globalité, les démocraties occidentales se retrouveraient face à leurs contradictions.
    Ils ont affaire à une menace idéologique et géopolitique (salafisme, wahhabisme) appuyée, soutenue et diffusée par des alliances stratégiques et économiques qui remontent à la fin de la dernière guerre mondiale et déterminée par la politique économique, financière, stratégique américaine pour endiguer (en vain) l’expansion de l’ex-union soviétique.

    L’Amérique, une fois encore jouant aux apprentis sorciers, est incapable, jusqu’à présent, de remettre en question cette politique et cette stratégie.

    Et si l’espoir renait d’une cohérence d’action entre Poutine et Trump, rien encore ne se confirme du fait d’une forte opposition de la part des partisans d’Obama et de Clinton.

    Les américains  savent pourtant que ces étranges alliés nous combattent aussi profondément que les terroristes, ils poursuivent les mêmes objectifs que les djihadistes les plus violents, à savoir la conquête pour l’islamisation du monde, en particulier du ventre mou européen.
    Quand à L’UE, gagnée par l’utopie multiculturaliste des démocrates chrétiens comme Schumann, Monet et autres acolytes pro américains et mondialistes, elle est la  meilleure arme des islamistes… comme la plus sure voie de pénétration.

    Comme le disait Karl Popper, le pire risque de dissolution des sociétés pluralistes, consiste à tolérer sur leur sol l’intolérance au nom de la tolérance.

    Vous comprendrez alors que NOUS Français devons soutenir sans réserve  la résistance italienne, polonaise, autrichienne, hongroise, allemande et plus généralement la FIN de cette UE qui n’est pas NOTRE.

    J’incite mes ami(e)s à le faire en se regroupant localement pour le moment venu …car il viendra …être prêt pour la « Reconquête » de nos valeurs, de nos territoires, de nos identités ETC…

    Pensez y !

    Francis-claude Neri
    12 07 18