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socialisation - Page 2

  • Strasbourg résultats FN

    Andréa DIDELOT (FN)

    6,34%

    Julia ABRAHAM (FN)

    9,07%

    Diana GARNIER-LANG (FN)

    8,95% 

    Dans Strasbourg 1, le FN est sixième avec 6,34% des voix. La France insoumise est troisième (13,49%) et Elsa Schalck (LR) est quatrième 12,91% et les écologistes cinquièmes avec 7,15% des voix.

    Il faut noter que le candidat (Andréa Didelot) est un « gamin » arrogant et méprisant, parachuté d’on ne sait d’où par on ne sait qui…un « étudiant » en pharmacie qui a « remplacé » un de mes amis car la circonscription était « gagnable » pour le FN.
    Mon ami avait fait 18 % aux départementales !
    Les autres partis comme les autres candidats ne font bien entendu pas mieux et les candidats du sieur Macron ramassent la mise.
    Qui peut encore voter pour de tels partis et de tels candidats ?
    Qui peut s’étonner que l’abstention dépasse les 50 % ?
    Compte tenu de l’âge du Président et du fantastique soutien dont il dispose, nous voilà avec lui pour au moins 10 ans.
    Que faire ?

    Encore une semaine et les citoyens auront compris que c’en est fini du FN, du nom « Le PEN », du PS, de LR et de toute la clique. Il va falloir passer à autre chose !

    Cet autre chose, nous en avons déjà parlé et nous avons les uns et les autres compris que c’est sur le terrain des territoires perdus de nos valeurs, de l’identité, de la culture, de l’éducation, de la socialisation qu’il allait falloir élaborer les bases de la reconstruction et de la reconquête et cela en utilisant bien entendu la « gouvernance » qui va se mettre en place dans une semaine !

    Toute autre forme d’action  autre que civique ou civile sera bien entendu réprimée avec une extrême rigueur par le pouvoir en place. Encore une semaine de patience !

    Francis NERI
    13 06 17

    http://semanticien.blogspirit.com/

    Objectifs :

    Un des objectifs essentiels de l’IESE est de réintroduire dans la société européenne et de culture occidentale des outils sociaux conviviaux que l’on substitue à des outils industriels, économiques, financiers dépassés, inefficaces et dangereux.

    Cet objectif peut être atteint non pas par une « révolution » mais par une évolution de l’éducation et de la socialisation à partir d’attitudes, de comportements et de pratiques sociales conformes à nos valeurs et cultures qui depuis plus de 2000 ans structurent notre réalité quotidienne.

    Toute culture est basée sur des valeurs. Les nôtres ont prétention à l’universalité :

    • la liberté de disposer de son énergie personnelle et de la contrôler,
    • l’égalité des droits et des devoirs entre citoyens responsables et conscients de la nécessité d’un consensus social basée sur la justice sociale,
    • la fraternité entre ces mêmes citoyens qui reconnaissent leur interdépendance,
    • la laïcité qui permet à chacun d’exprimer ses choix personnels, en particulier cultuels, dans l’intimité de la sphère privée et celle des institutions communautaires,
    • la sécurité des personnes et des biens sans laquelle il n’est pas de société possible.      

    Soit cinq pôles qui sont appréhendés par l’approche systémique.

    Le projet : « De l’école au projet et du projet à la réalisation »

    Un projet éducatif et socialisant à mettre en œuvre sur le terrain et qui veut donner sens à un ensemble intégré : social, familial et scolaire. Les trois pôles représentatifs de l’éducation et de la socialisation.

    Les acteurs de ces pôles devront faire en sorte que notre jeunesse soit structurée par des valeurs d’autant plus respectées qu’ils sauront eux-mêmes les assumer et les mettre en œuvre pour leur propre compte, avec exemplarité. 

    Les moyens :

    Le projet IESE est axé sur le long terme car il parie sur la modification par l’éducation et la socialisation des attitudes et des comportements sociaux. Ce qui n’est pas une mince affaire dans l’état actuel de déliquescence de l’école, de la famille et de la société

    C’est un projet de plateforme qui veut donner sens et réalité structurante à un ensemble social, familial et scolaire : Les trois pôles de l’éducation et de la socialisation.

    L'idée est de développer une culture commune de l’éducation et de la socialisation chez les participants, de mutualiser nos ressources également, surtout en ces temps de rigueur.
    Ce qu'une structure ne pourra obtenir par elle-même, elle s'entendra donc avec une organisation soeur pour le partager: ici, un spécialiste de l’orient, de l’écologie, de la mondialisation libérale, de la démographie, des neurosciences, des nanotechnologies, là un expert en informatique ou encore un groupe spécialisé dans l’organisation de manifestations… etc.
    Plus personne ne bricolera dans son coin. Cette plateforme de formation aux pratiques sociales actives va démultiplier nos capacités, en favorisant, à terme, les passerelles entre organismes, y compris les services d’état, police, justice, éducation.

    L’IESE est entrée en résistance contre tout « formatage » idéologique, culturel ou cultuel qui serait en contradiction avec notre culture millénaire qu’il nous appartient de faire évoluer si nécessaire.

    Sa plateforme de formation pour l’acculturation, l’éducation et la socialisation est opérationnelle. Rejoignez nous, il est grand temps de rendre à la France ce qu’elle ne cesse de nous donner généreusement depuis de si nombreuses années.

    http://semanticien.blogspirit.com/ 

  • Eduquer, socialiser, assimiler.

    Une éducation ET une socialisation qui elle aussi ne devait pas être laissée à l’initiative de l'individu à éduquer et socialiser...

    La gauche depuis mai 68 nous dit que c'est à l'individu à aller vers l'éducation et la socialisation et nous interdit de les lui TRANSMETTRE et encore moins de les leur prescrire voire IMPOSER ...comme bien évidemment il eu fallu faire aux musulmans migrants et surtout leurs enfants imprégnés d'une culture antagoniste à la notre

    Tout notre drame actuel tient en cela !

    Et à vrai dire si le concept éducation, socialisation et assimilation semblait encore possible dans les années 80 et 90, en raison de l’idéologie multiculturaliste de la gauche et les intérêts flagrants des « libéraux » du mondialisme, nous constatons, dans la réalité, que ce n’est plus réalisable.

    Le grand remplacement ne se négocie pas, il se combat avec toutes les armes à notre disposition…C’est aujourd’hui la nature de l’enjeu n° 1 et il passe devant tous les autres.

    Francis NERI
    17 06 16    

  • Souveraineté populaire et démocratie

    Etymologiquement, "démocratie" signifie "le pouvoir au peuple", autrement dit la participation de tous les citoyens aux décisions sur les sujets d'intérêt collectif. L'origine grecque du mot s'explique par l'importance historique de l'exemple donné par la démocratie athénienne dans l'Antiquité. Tous les citoyens d'Athènes étaient amenés à se réunir pour décider de la gestion des affaires communes.

    Les notions de "démocratie" et de "souveraineté populaire" sont pratiquement synonymes, à condition de ne pas assimiler la souveraineté populaire au seul principe du suffrage universel, qui ne suffit pas à garantir un mode démocratique de gouvernement, du fait, par exemple, que les candidats à la gouvernance ont depuis longtemps pris conscience qu’il suffisait de désinformer et de "déséduquer" un peuple pour le priver de sa souveraineté et de faire une fois au pouvoir l’inverse de ce sur quoi ils se sont engagés.

    Le Président Hollande en est le dernier et le parfait exemple.

    Cela conduit à souligner l'importance de la nature de l'information transmise par le système éducatif et par les médias aux citoyens et aux futurs électeurs.

    Cela pose aussi la question de la place des minorités, et de leur importance compte tenu, au mieux de leur faible poids électoral, au pire, de leur absence totale de participation à la vie politique.

    L’exemple de l’absence totale d’influence politique du Front National sur le « système » est éloquente.

    Enfin, le droit de vote des étrangers par exemple, reste une menace sur la souveraineté nationale. Agitée périodiquement par les tenants du multiculturalisme et du mondialisme qui, en cela, souhaitent « diluer » la souveraineté populaire et nationale pour mieux la manipuler et « transformer » le peuple de France.

    Celle-ci doit rester assimilée à la souveraineté nationale si l’on veut conserver l’essence même de l’identité et de la « qualité intrinsèque » d’un peuple.

    Cela pose aussi la question du « retour » de l’information (rétroaction) qui dépend de la « qualité » de celle-ci et non pas de sa quantité.

    La manipulation de l’information, de l’éducation, de la réalité historique, ont atteint un tel niveau de désinformation que nous pouvons considérer que c’en est fini de la démocratie et du peuple souverain.

    En conclusion, nous pouvons affirmer, avec force et conviction, qu’il nous appartient, après avoir libéré la France de ses oligarques, de libérer les médias et l’éducation nationale.

    Notre premier devoir serait d’apprendre au peuple à DISTINGUER, à porter sur les choses, les gens, les événements SON regard et ensuite SA main !

    Je rappellerai donc, une nouvelle fois, un des « NON AXIOME » du Systémicien : « S’élever pour mieux voir, relier pour mieux comprendre, distinguer pour mieux agir »

    Francis NERI
    28 08 14