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socialisation - Page 2

  • Eduquer, socialiser, assimiler.

    Une éducation ET une socialisation qui elle aussi ne devait pas être laissée à l’initiative de l'individu à éduquer et socialiser...

    La gauche depuis mai 68 nous dit que c'est à l'individu à aller vers l'éducation et la socialisation et nous interdit de les lui TRANSMETTRE et encore moins de les leur prescrire voire IMPOSER ...comme bien évidemment il eu fallu faire aux musulmans migrants et surtout leurs enfants imprégnés d'une culture antagoniste à la notre

    Tout notre drame actuel tient en cela !

    Et à vrai dire si le concept éducation, socialisation et assimilation semblait encore possible dans les années 80 et 90, en raison de l’idéologie multiculturaliste de la gauche et les intérêts flagrants des « libéraux » du mondialisme, nous constatons, dans la réalité, que ce n’est plus réalisable.

    Le grand remplacement ne se négocie pas, il se combat avec toutes les armes à notre disposition…C’est aujourd’hui la nature de l’enjeu n° 1 et il passe devant tous les autres.

    Francis NERI
    17 06 16    

  • Souveraineté populaire et démocratie

    Etymologiquement, "démocratie" signifie "le pouvoir au peuple", autrement dit la participation de tous les citoyens aux décisions sur les sujets d'intérêt collectif. L'origine grecque du mot s'explique par l'importance historique de l'exemple donné par la démocratie athénienne dans l'Antiquité. Tous les citoyens d'Athènes étaient amenés à se réunir pour décider de la gestion des affaires communes.

    Les notions de "démocratie" et de "souveraineté populaire" sont pratiquement synonymes, à condition de ne pas assimiler la souveraineté populaire au seul principe du suffrage universel, qui ne suffit pas à garantir un mode démocratique de gouvernement, du fait, par exemple, que les candidats à la gouvernance ont depuis longtemps pris conscience qu’il suffisait de désinformer et de "déséduquer" un peuple pour le priver de sa souveraineté et de faire une fois au pouvoir l’inverse de ce sur quoi ils se sont engagés.

    Le Président Hollande en est le dernier et le parfait exemple.

    Cela conduit à souligner l'importance de la nature de l'information transmise par le système éducatif et par les médias aux citoyens et aux futurs électeurs.

    Cela pose aussi la question de la place des minorités, et de leur importance compte tenu, au mieux de leur faible poids électoral, au pire, de leur absence totale de participation à la vie politique.

    L’exemple de l’absence totale d’influence politique du Front National sur le « système » est éloquente.

    Enfin, le droit de vote des étrangers par exemple, reste une menace sur la souveraineté nationale. Agitée périodiquement par les tenants du multiculturalisme et du mondialisme qui, en cela, souhaitent « diluer » la souveraineté populaire et nationale pour mieux la manipuler et « transformer » le peuple de France.

    Celle-ci doit rester assimilée à la souveraineté nationale si l’on veut conserver l’essence même de l’identité et de la « qualité intrinsèque » d’un peuple.

    Cela pose aussi la question du « retour » de l’information (rétroaction) qui dépend de la « qualité » de celle-ci et non pas de sa quantité.

    La manipulation de l’information, de l’éducation, de la réalité historique, ont atteint un tel niveau de désinformation que nous pouvons considérer que c’en est fini de la démocratie et du peuple souverain.

    En conclusion, nous pouvons affirmer, avec force et conviction, qu’il nous appartient, après avoir libéré la France de ses oligarques, de libérer les médias et l’éducation nationale.

    Notre premier devoir serait d’apprendre au peuple à DISTINGUER, à porter sur les choses, les gens, les événements SON regard et ensuite SA main !

    Je rappellerai donc, une nouvelle fois, un des « NON AXIOME » du Systémicien : « S’élever pour mieux voir, relier pour mieux comprendre, distinguer pour mieux agir »

    Francis NERI
    28 08 14

     

     

  • La France à conquérir

     Bonjour,

    Pour ceux que cela peut intéresser, mon nouveau bouquin avance à grands pas. Par contre pour de nouvelles chroniques j'avoue que j'ai l'esprit ailleurs. Pourtant les évènements se précipitent semble t-il ! L'histoire accélère et Manfred est sur la brèche...lui !

    Je vous envoie sa dernière note. A lire avec attention et à conserver. Il a du lire mes "Chemins de l'avenir"

    La France à conquérir.

    On sait que les statistiques dites ethniques sont interdites en France. Ces jours-ci on a tout de même pu apprendre deux choses intéressantes. Dix pour cent de la population alsacienne (la
    population compte environ 1,6 million d'habitants) sont nés dans un autre pays. Et la partie de ces 10% qui se reproduit le plus sont les Turcs. Et on sait par ailleurs que plus de 90% des Turcs nés en France vont chercher un époux en Turquie. Un jour une élue membre d'une commission sociale attribuant des aides m'a dit : eh bien, oui, un jour ils sont là et il faut bien qu'on les aide. Les nouveaux arrivés par mariage arrangés sont aidés financièrement. On pourrait donc dire que des Turcs nés en France vont s'acheter un époux ou une épouse en Turquie avec l'argent des contribuables français. Les Turcs achètent aussi beaucoup d'immeubles en Alsace. En Allemagne aussi, et même des Turcs vivant de l'assistance sociale achètent des immeubles dans le centre de certaines villes allemandes. Comment font-ils ?

    Et ce soir la chaîne France 2 a diffusé un petit reportage sur les Chinois à Paris. La plus grande communauté chinoise en Europe. Ils sont 500 000. Le XIIIe arrondissement est pratiquement chinois. Et en expansion. Je me souviens d'avoir fait une petite étude sur les résultats comparés du concours général où l'académie de Paris sort toujours première. Seulement voilà, l'académie de Paris intra muros ne compte, si ma mémoire est bonne, que 2 millions d'habitants. Et les bonnes écoles de Paris, loin de respecter la fameuse carte scolaire, sucent les meilleurs éléments non seulement des académies voisines, mais encore puisent dans le reste de la France[1]. Un tabac sur deux à Paris appartient à un Chinois. Et pratiquement tous les restaurants ....japonais. Les Chinois sont en expansion. Comment font-ils ? Il y a certainement un plan, un projet, une méthode.

    Pour commencer, si les Chinois à Paris sont 500 000 et la population intra muros de Paris est de 2 millions, les Chinois font déjà un quart de la population. Un quart qui vit à Paris et n'a pas besoin de passer plusieurs heures dans le métro, voire dans un TGV pour se rendre à son
    travail. Un beau résultat. Pour des gens dont beaucoup sont arrivés un jour sans papiers. Mais comme les Chinois se conduisent bien, ils passent pour bien s'intégrer. Il y en aura cependant probablement, comme aux Etats Unis, un grand nombre qui ne jugeront plus absolument nécessaire d'apprendre le français.

    Selon mes observations, complétées par des déductions dans un fauteuil, les Turcs et les Chinois s'entraident. Comme les juifs. Au lieu de mettre leur épargne dans une banque française, les Turcs et les Chinois se le prêtent entre eux. Et investissent dans des objets qui leur permettent d'en vivre. Alors que les banques françaises investissent l'épargne des Français en Chine ou en Amérique du Sud, ou ailleurs qu'en France non pas temps pour payer un petit intérêt aux épargnants français, mais pour que leurs dirigeants puissent se payer se payer des salaires et des primes pharamineux.

    La manière des Turcs et des Chinois d'utiliser leur épargne leur permet de nourrir une population croissante à long terme, alors que la manière française, ou occidentale pourrait-on dire, permet à quelques uns de se faire des revenus énormes à court terme en menant leur communauté nationale non seulement à la faillite, mais à sa disparition. Sous l'oeil de dirigeants politiques qui s'agitent tous les jours pour la télévision, mais ne savent plus ce qu'est un destin national. Le mot le plus chinois pour la classe politique française est le mot politique.

    Nietzsche avait souhaité qu'il y eût un jour une philosophie de la médecine. Quand on a vu la campagne pour la fausse pandémie de grippe porcine, avec la participation de spécialistes réputés, on a pu constater qu'il y a moins de philosophie de la médecine qu'il n'y en a probablement jamais eu. Il en est de même pour ce que devrait être une philosophie de la politique. Et probablement d'une philosophie de la philosophie. C'est là sans doute que se trouve la vraie cause du naufrage de la civilisation occidentale constatée par Albert

    Schweitzer dans sa "Philosophie de la culture" de 1923.

    Tout cela sont des hypothèses. La partie la plus difficile d'une étude. Des études qu'un individu seul ne peut évidemment pas effectuer.

    Manfred Stricker



    [1] Si on rassemble l'académie de Paris et les deux académies voisines en une seule unité, qu'on donne un poids aux 12 degrés de ce concours et calcule un taux par rapport à la population, l'unité parisienne reconstituée se classe environ 6e ou 7e, celle de Strasbourg est première. Mais de toute manière de concours créé par Louis XV est saboté, car, on l'aura compris, il est élitiste. Les établissements privés à Strasbourg ne rapportent sauf exception, plus aucun prix. Et ne présentent probablement plus de candidats. Ce n'est pas chic de vouloir être bon. Ou alors il faut le cacher.