Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Le systémicien - Page 175

  • Libéralisme

    Marie-pierre Blanchet Gaignault Être un affreux gauchisse c’est vouloir construire une société parfaite quitte à voler Pierre pour donner à Paul tout en mettant des bâtons dans les roues des deux personnages de manière à leur rendre la vie extrêmement difficile. À coup de normes, de réglementations, de lois, d’interdictions, de taxes, d’impôts, d’amendes etc.
    Être gauchiste c’est vouloir que l’état fourre son nez dans l’économie, là où il n’a strictement rien à faire.

    Marc Chapleau Tu ne sais pas, mais alors pas du tout, de quoi tu parles. Tu dépeints là une scène stéréotypée que les libertariens aiment imaginer pour justifier leur monde qui se résume à la loi de la jungle.

    Allaric Mephusteg Les libéraux ne veulent pas d’état pour les contraindre mais veulent l’état pour contraindre les autres à leur bon vouloir.
    Les libéraux ne veulent pas d’Etat sauf quand il s’agit de leur accorder des privilèges, de les aider quand ils en ont besoin et de faire donner la troupe contre la population quand elle réclame de meilleurs conditions de travail. Le 19ème siècle était dominé par les libéraux et jamais l’Europe n’a connu autant de miséreux qu’à cette époque.
    Le 20ème siècle a connu une gauche de revendications qui a amélioré le sort de millions de travailleurs. Mais les gauchistes d’aujourd’hui sont des libertaires, ils n’ont plus rien à voir avec ces revendications légitimes, les libertaires sont devenus les valets des libéraux, leurs idiots utiles.
    Être une gauchiasse aujourd’hui, c’est être l’idiot utile du système libéral, défendre tout ce que défendent les libéraux tout en se plaignant des conséquences sociales.

    Camille Becquet Allaric Mephusteg Vous confondez les libéraux et les macronistes.

    Allaric Mephusteg Camille Becquet ah ? Parce que Macron n’est pas un libéral ?
    Je me souviens surtout de conversations avec de vrais libéraux et j’ai pu voir toute leur hypocrisie.

    Camille Becquet Allaric Mephusteg Macron est tout sauf un libéral, c'est au contraire un jacobin et un centralisateur de première. Un rocardien, un socialiste réformateur mais pas un libéral.

    Le libéralisme, c'est un État à sa place, qui fait son boulot et rien d'autre, des dépenses publiques raisonnables et raisonnées, de la liberté pour les citoyens (tous les citoyens, les riches comme les pauvres) et l'absence de clientélisme.

    Macron réduit-il les dépenses publiques ? Non. Le nombre de fonctionnaires (qui a augmenté de 534% entre 1946 et 2016 alors que la population française n'a augmenté que de 63% dans le même laps de temps) ? Non plus. Cesse-t-il de subventionner les syndicats (de gauche comme de droite, CGT comme Medef) ? Encore non. Etc. etc.

    La France est ultra-étatisée et loin, très loin d'être libérale. Aucun homme politique français n'est libéral, même Fillon ne l'était pas complètement.

    Allaric Mephusteg Camille Becquet le libéralisme tel que vous le concevez n’a jamais existé et n’existera sûrement jamais.
    Macron est là pour détricoter la France.
    Vous me dites que Macron n’est pas libéral parce que le nombre de fonctionnaires a augmenté depuis 1946. Quel rapport avec Macron ?
    Où Macron réduit les dépenses publiques en détruisant tous les services publics, vous devriez être satisfaite.
    Il ne va pas cesser de subventionner les syndicats alors qu’ils vont dans son sens.
    Oui, la France est étatisée et cela lui a réussi pendant longtemps. Mais aujourd’hui, les libéraux au pouvoir détruisent tout cela.

    Camille Becquet Il ne réduit pas les dépenses publiques, Allaric Mephusteg. L'État français a déjà claqué 5 milliards de plus et va emprunter 195 milliards d'euros en 2018 pour financer notre modèle social qui part en sucette complète.

    Macron est un Hollande bis. Il a supprimé l'ISF mobilier pour faire illusion (5 milliards dans un budget de 2000 milliards, c'est peanuts) mais pour le reste, rien ne change.

    Et en plus, il nous rajoute des normes, des usines à gaz, des inspecteurs du travail par milliers, du vivre-ensemblisme et de l'immigration à fond la caisse. C'est Hollande en pire.

    Marc Chapleau https://youtu.be/EM5ONVzhzUY

    Asselineau Dit Tout à Natacha Polony, Six Mois Après la Course…

    youtube.com

    Allaric Mephusteg Camille Becquet vous êtes pour le libéralisme et vous vous plaignez des conséquences qu’il apporte.
    Vous êtes opposés à l’immigration ? Il est voulu par le libéralisme, avec toutes les conséquences négatives que cela entraîne.
    Vous vous plaignez du clientélisme alors qu’il est intrinsèque au libéralisme.

    En fait, vous rêvez d’un libéralisme utopique qui n’existe pas.

    Camille Becquet Je ne suis pas libertaire mais libéral, Allaric Mephusteg. Un État régalien qui fait son travail et rien de plus (donc pas de clientélisme comme c'est le cas en France), un État qui ne nous dicte pas notre façon de vivre mais fait respecter le droit, gère correctement les finances publiques, n'endette pas les citoyens et garantit la propriété privée.

    Vous confondez libéralisme et capitalisme de connivence.

    Allaric Mephusteg Camille Becquet j’ai bien compris que vous étiez libérale. Je retrouve tout le discours des libéraux avec qui j’ai discuté auparavant.

    Je défends moi aussi la propriété privé, à condition bien sur que cette propriété ne soit pas issue du vol ou de la spoliation d’autrui.
    Je sais bien que les libéraux ne prônent pas le « capitalisme de connivence » mais c’est là où commence l’hypocrisie, car le capitalisme de connivence est intrinsèque au libéralisme. L’histoire a montré que toujours les plus riches tentent de subordonner l’Etat à leur volonté. Et c’est bien ce qu’il se passe aujourd’hui.
    Et là où l’hypocrisie continue, c’est quand vous voulez un état qui ne s’occupe que des fonctions régaliennes, ce qui signifie en réalité que les libéraux veulent être protégés par l’Etat mais sans devoir quoique ce soit. Et plus encore les libéraux veulent que l’Etat sanctionne les mouvements sociaux, les grèves, etc... c’est encore une fois l’Histoire qui nous le montre. Vous voulez l’Etat mais un état qui ne réglemente pas l’activité économique.
    Durant la période des trente glorieuses, l’Etat français avait réussi à trouver un bon équilibre. Ensuite, sous la pression du patronat français, l’Etat a organisé l’immigration que nous subissons encore aujourd’hui. Puis, il s’est mis à désagréger le système social par des mesures ruineuses sous couvert de socialisme et toujours de plus en plus à l’avantage des immigrés. Et maintenant sous la volonté du libéralisme économique, du libre échange, l’état dérèglemente de plus en plus et le pays part en lambeaux.

    Camille Becquet Macron ne déréglemente rien du tout, c'est du flan, de la poudre aux yeux. Égratigner un Code du travail soviétisant n'est pas déréglementer, il faut arrêter avec les mélenchoneries.

    Facebook

    François Amsallem
    11 03 18

     

  • Non axiomes

    Le tour de LA question. La parole est au peuple !

    1) Qu’avons-nous gagnés comme petit peuple avec l'UE ?
    Passer les frontières sans contrôles ? Bien avant ça on passait déjà comme une lettre à la poste, c'est tout juste si on nous regardait au passage des frontières.
    Avoir une monnaie unique, ouais pour cette une fois par an que les gens allaient en vacances ça ne faisait pas le poids de devoir changer son argent dans l'argent du pays visité.
    Par contre le passage à la monnaie unique a provoqué une flambée des prix qui n'est pas encore terminée.
    Cette monnaie unique était bonne à quoi? Pour les industries ? Ces gens là ne paient pas cash en plus c'était en dollars. Ça nous a surtout rapporté la bande de profiteurs qui siègent au parlement européens (enfin, qui pointent et repartent) et la dictature du conseil européen, les 24 FDP qui décident du sort de 500 millions de gens sans les consulter, c'est la démocratie que l'UE nous a apportée.

    2) "Gouverner c'est prévoir" (Émile de Girardin) nous avons des gouts de première classe, ils n'ont pas prévus du tout les suites de cette immigration effrénée.
    Donc en conclusion, ils ne sont pas capables de gouverner. Vivement d'autres et des meilleurs (s’il en existe)

    3) Si c'est facho de vouloir préserver: notre civilisation, notre religion, notre mode de vie, l'avenir de nos petits enfants contre une invasion de sauvages illettrés, agressifs et criminels .......je suis 100% facho dans ce cas.

    4) À MÉDITER
    Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l'une ni l'autre, et finit par perdre les deux."
    (Benjamin Franklin)

    5) C'est comique au fond que tous ces dirigeants européens se croient maîtres dans leurs pays......quelle illusion (stupidité ou mensonge) ?
    L'exemple le plus frappant est hélas la France quand on voit tout ce que leurs présidents successifs ont concédés aux muzz en peu d'années ; c'est effrayant : abattage halal, repas cantines scolaires halal, prières de rues, agressions des forces de l'ordre impunies, prêches radicaux dans les mosquées sans suites, mansuétude plus que scandaleuse envers les criminels coupables des méfaits les plus divers allant du vol au viol en passant par le meurtre, suppression des signes religieux, etc, etc, etc.
    Donc, ce ridicule fantoche de Macron n'est absolument plus maître dans VOTRE pays malgré ses airs de fanfaron bravache, il courbe l'échine devant le N.O.M et ses sponsors c-à-d les banques et les multinationales qui l'ont élu (et non les français ) et qui nous imposent cette immigration débridée.

    Et la Belgique est engagée dans la même voie.

    Alex Alex Rozsa
    09 03 18


     

  • La vision systémique

    La systémique est une façon de penser le monde et les relations entre les différents éléments qui le composent.

    L'homme vit dans un système complexe, anthropologique. Ce système est composé de sous-systèmes : démographique, politique, économique, social, culturel, scientifique, technologique, « naturel » et environnemental...

    C'est donc d'abord, cet ensemble complexe que l'on cherche à appréhender (comprendre), afin d'en anticiper les évolutions… (prospective).

    Il n'y a pas un futur, mais des futurs possibles. La question alors est de savoir pourquoi et comment l'infléchir.
    Surtout si des futurs possibles semblent nous conduire au désastre.

    Le rapport Meadow : « Halte à la croissance » de 1970 fut le premier essai - en France -  sur  la nécessité de penser le monde futur et de l’emménager.

    Le rapport conclut  à l'épuisement des ressources de la planète en l'espace d'un siècle.
    Ce travail, au demeurant très controversé en raison du mécanicisme des projections, a eu cependant un impact fort et a contribué à mettre en débat les aspects environnementaux.
    Furent exclues des conséquences pourtant explicites concernant l’économie, la finance, l’impact démographique etc.

    À la description doit succéder le questionnement pour l'action pour faire face à une configuration qui apparaît de plus en plus comme une transition entre deux États du monde plutôt qu'à une situation de crise classique.
    Se donner les outils pour passer d’un monde (d’un cycle évolutif) à un autre n’est pas une mince  affaire et suscite de formidables oppositions.

    La disparition d'un monde bipolaire, loin de simplifier la situation, la complique.
    La montée des incertitudes, la mondialisation, la démographie galopante, l’islamisation, l’immigration, la déculturation, la perte des identités, le fiasco Européen, rendent à la fois plus nécessaire et plus difficile l'anticipation et  l'évolution du rôle de l'État, sa légitimité, son autorité, sa souveraineté.

    Tout est fondu dans une UE impuissante, incapable de faire respecter ses frontières, de protéger son industrie, de s’organiser sous spéciation fédérale avec une organisation « fractale » et « subsidiaire » démontrant ainsi l’impuissance stratégique de l’Europe et de l’Occident.

    Un Occident vainqueur du nazisme puis du communisme qui fixait ses valeurs et ses lois au monde entier et qui ne cesse à présent de s’effriter et de s’effondrer.  

    La nature a horreur du vide. Les problèmes auxquels nous devons faire face créent l'obligation de combler la vacance.
    "L’espérance, comme le disait Georges Bernanos, est une détermination héroïque de l’âme et sa plus haute forme est le désespoir surmonté ».

    C'est probablement la raison pour laquelle nous  assistons  à une relance d’une approche systémique globale comme celle de Marion Maréchal, et de quelques autres, à partir de nos intérêts particuliers mis en ligne avec les intérêts de la « globalité ».

    Nous souhaitons à ces individus – jeunes pour la plupart – un plein succès et nous leur apportons, nous les anciens, notre total soutien.

    Francis-claude Neri

    08 03 18