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Le systémicien - Page 217

  • Attentats suicides

    N’oublions pas ! Pendant  que nous épiloguons pour savoir quel sera notre meilleur Président …si toutefois nous ayons la possibilité de choisir, les islamistes ne ralentissent pas leurs petits meurtres quotidiens sur notre sol !

    « Ces tueurs qui se font exploser ne commettent pas des «attentats suicide» tels qu'on les nomme trop souvent car ils ne sont pas suicidaires. Ces jouisseurs de mort n'ont pas le désespoir au cœur mais la jubilation de tuer en mourant. Qualifier leur geste de suicide c'est déjà entrer dans la stratégie qu'ils nous imposent car ils cherchent simultanément à culpabiliser leurs victimes en se faisant exploser. Qu'avons nous commis pour qu'ils nous haïssent tant, pensent de belles âmes? Serions nous aussi responsables de la haine qu'ils nous portent?
    Ainsi l'explication psychologisante ou sociologisante expliquant par la relégation sociale leur désespoir suicidaire donne un alibi au geste terroriste.
    C'est aussi le message que les «marcheurs pour la dignité» ont voulu faire passer: le néocolonialisme, le racisme dont ces indigènes de la République seraient les victimes donnent de bonnes raisons à ces supposés désespérés. Toutes ces arguties fonctionnent et il y a en France des sots ou des malveillants pour les partager. »


    Débarrassons nous des sots et des malveillants et ne faisons pas l’erreur funeste de choisir pour dirigeants des remplaçants aussi sots et aussi malveillants que leurs prédécesseurs.
    Un avertissement à ceux et celles qui voudraient nous faire croire que l’islamisation de la France n’est pas le problème, numéro un pour la plupart d’entre nous ; c’est à dire ceux qui y sont confrontés.  

    Francis claude Neri
    02 12 16   

  • Alerte communication

    En France, à l'école, les journalistes ne sont pas formés. Ils sont formatés.
    C'est pour ça qu'on retrouve le même raisonnement, le même comportement, la même idéologie sur tous les médias subventionnés.

    Le journaliste du système, considéré comme non facho, lisse est comme un pet inutile : il ne fait pas de bruit, il est sans odeur et sans saveur.

    Existe-t-il encore des journalistes qui font leur boulot et qui font partie de la presse subventionnée ?
    Autant chercher une aiguille dans une motte de foin !

    Pour s'informer et se positionner correctement sur le plan politique, économique, social,  il faut vraiment aller sur les médias alternatifs non subventionnés, les soutenir, interagir, échanger, partager et faire circuler une information fiable sur les réseaux sociaux

    Francis Claude Neri
    29 11 16  

  • Frexit d’abord dette ensuite !

    En fait, la «monnaie unique » est une appellation bien trompeuse pour nommer le Deutschemark, et nul doute que la localisation de la BCE à Francfort, ne fut point décidée par hasard. Les statistiques économiques de « l’eurozone » affichent des valeurs globales à la limite de la déflation, alors qu’elles masquent, en fait, une inflation proportionnelle à la disparité des changes qui existait entre le deutschemark et les autres monnaies nationales avant la création de l’euro. En effet, il suffit de voyager en Europe pour constater que les prix sont élevés par rapport aux salaires, à l’exception notable de l’Allemagne. Et il n’y a rien d’étonnant à ce que des frontaliers français, choisissent de franchir le Rhin pour faire leurs courses ! Tout comme il n’y a rien d’étonnant à constater que les loyers (et les prix de vente immobilier) à Berlin – pourtant grande capitale européenne – sont nettement inférieurs à ceux pratiqués à Paris ou à Rome ! Une sortie de l’euro n’aurait pour conséquence que d’afficher la véritable inflation pays par pays. Je rejoins les économistes souverainistes qui envisagent une inflation de 6 à 7% dans ce cas pour la France. Diantre, les sept plaies d’Egypte vont déferler sur nous ! Sûrement comme en 1975, quand notre inflation s’élevait à 14%...
    Alors, dites-donc cher Monsieur, c’est bien beau tout ça, mais en cas de défaut ?
    Tout dépend du paradigme économique mon capitaine !
    Comme disait Thomas Jefferson « Celui qui contrôle l’argent de la nation, contrôle la nation ». A avoir confié la création monétaire aux marchés financiers en 1973, nous avons creusé notre propre tombe dans le cimetière de l’endettement perpétuel, et aidé de nos propres produits financiers souscrits auprès de nos chers banquiers ou assureurs, nous nous sommes suicidés. Reprenons la maitrise de notre destin économique (et politique) en élaborant notre budget, en créant notre masse monétaire, et en finançant nos projets souverains.
    Alors, dans cette logique implacable du – Bénéfice / Risque- , l’important pour un pays comme la France, consiste à ne pas dévoiler ses cartes trop vite. Un moratoire sur le remboursement de la dette motivé par les opérations de sortie de l’euro, puis son rééchelonnement, et enfin un défaut commun de tous membres de la zone euro, à l’exception notable de l’Allemagne qui retrouvera sa monnaie d’origine, parce qu’il serait illusoire de penser que l’UE et l’euro pourraient survivre à un Frexit !

    Patrick Escudie

    24 11 16