Le premier devoir des Educateurs et des Formateurs est de s'affermir et de s'affirmer par eux mêmes, car ils sont le recours du pays et ils ne doivent rien attendre de l'Institution actuelle.
Devant les périls qui montent, nous constatons que la Nation est dépourvue des moyens culturels de se défendre et que le régime actuellement en place est incapable de les lui donner.
C'est ce que nous devrions faire !
La France est soumise à système libéral extrémiste qui la détruit volontairement. Le corps et l’âme de la nation sont menacés à la fois. Ce qui est grave, c’est cette plaie sociale qui n’en fini plus de ne pas guérir.
L’unité profonde de la nation ne dépend pas seulement de la « justice sociale » Elle est aussi le fruit de la valeur morale des citoyens. L’éducation, la socialisation, l’assimilation revêtent une importance primordiale.
Sans nul doute, c’est aux familles qu’appartiennent le devoir et la responsabilité d’éduquer nos jeunes gens et nos jeunes filles. Mais il faut les y aider ; en particulier ceux des parents qui, venant d’autres pays et d’autres cultures, seraient eux aussi à éduquer, socialiser et A-culturer !
C’était à l’Etat et aux collectivités publiques d’assurer cette mission et de former des éducateurs spécialisés.
Nous avons besoin d’enseignants capables d’intervenir au sein des trois pôles de l’Education : l’école, la famille, les institutions et les associations du temps libres afin de ne pas laisser la « rue » et les communautarismes, éduquer et socialiser nos enfants.
Rien n’a été fait, volontairement très probablement. L’on voit en conséquence des adultes qui refusent tout enseignement qui ne soit de leur communauté d’origine et leurs enfants ne savent même plus à quelle culture ils appartiennent.
Notre responsabilité de citoyens Français, d’origine ou pas, est de remettre en cause les lois sur l’enseignement dans l’école publique qui doit retrouver son rôle d’éducation et de formation à NOS pratiques, NOS codes sociaux, NOS règles, NOS valeurs et mettent en lumière les aspects positifs de notre histoire plutôt que d’en valoriser les seuls aspects négatifs.
La liberté d’enseignement doit s’y retrouver. L’intérêt public également et les écoles libres doivent avoir toute leur place et recevoir de justes ressources. En amenant les Français de bonne foi à s’accorder sur une éducation ainsi aidée, nous pourrons enfin servir l’unité nationale, la France et les Français.
C’est un axe essentiel du projet de Marine Le Pen, il s’inscrit dans une organisation : Le Collectif Racine.
Il est souhaitable que vienne rapidement le temps où nous pourrions le voir s’inscrire comme incontournable dans le paysage éducatif et socialisant de la France.
Francis NERI
Président de l’Institut Européen de Socialisation et d’Education (IESE)
Membre du Collectif Racine