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  • Faut-il abattre la « Triplice »

    Mardi 16 juillet 2013 2 16 /07 /Juil /2013 06:30

    Empêcher que le mariage homo ne finisse dans le sang d’une nouvelle nuit des longs couteaux, par Pascal Olivier

    Cet article n'engage que son auteur et non Résistance républicaine qui n'a pas pris de position sur le mariage unisexe  

    Le fascisme est un syncrétisme entre la gauche et la droite duquel la composante de gauche a été liquidée. Nous devons cette définition originale et pertinente du fascisme à l’historien anarcho-marxien Daniel Guérin qui s’était posé la question des similitudes entre deux fascismes fort différents, l’italien universaliste et l’allemand raciste.

    Notre ami Jacques Philarcheïn, philosophe marxien, à travers son non moins pertinent concept de Triplice de l’horreur ou encore de «capitalislamogauchisme» a vulgarisé l’idée d’une alliance Capital-Islam-Gauchisme.

    L’islam est le glaive réorganisateur de la mondialisation libérale. Le gauchisme culturel (qui est à l’orthodoxie marxienne ce que sont les Témoins de Jéhovah au concile de Chalcédoine) est le prescripteur spirituel (inverseur des valeurs vertueuses) de cet attelage ; alliance contre-nature du sabre islamique et du goupillon sans dieu (cléricature gaucho-libéralo-anomiste). Ce dernier a même sa langue liturgique. Il use et abuse de certains épithètes comme «festif» ou «ludique», il a aussi ses mantras, le «vivre ensemble» en est un qui tourne en boucle comme pour mieux conjurer le sort.

    Lorsque dames Barjot, Bourges et Boutin vont en croisade contre le mariage homo, elles font de l’anticléricalisme sans le savoir !  «Le cléricalisme voilà l’ennemi !» pourraient-elles s’écrier si elles prenaient conscience de la vraie nature de leur combat. Combat néanmoins parcellaire parce qu’elles n’ont pas compris que le bras armée du «capitalislamogauchisme» est l’islam conquérant. Elles ne l’ont pas compris parce qu’en apparence il y a en effet contradiction. Qu’y a-t-il de plus droitier, de plus rétrograde, de plus gauchicide que l’islam ? Rien. Il est en revanche plus étonnant que les troupes de Jean-Luc Mélenchon s’obstinent et s’échinent à réitérer l’expérience tragique du Parti Toudeh.

    Si en France la liquidation de la «gauche» par le droitier islam est loin d’être achevée comme en Iran, elle a cependant  bel et bien commencé malgré la complicité de façade et la soumission de ce goupillon sans dieu au glaive islamique. La première expression spectaculaire de ce processus est apparue pendant les manifestations anti-CPE de l’année 2006 attaquées par des «jeunes», mot euphémique qui désigne des voyous mahométans (islamo-racailles en terminologie marxienne) aussi sûrement que «classe moyenne» désigne les autochtones «blancs» des classes populaires. Le dernier épisode en date est la mairie de «gauche» d’Argenteuil attaquée par des mahométans et le commissaire de police frappé contraint de se réfugier dans la mairie en question.

    Avec la Manif pour tous, pour la première fois depuis longtemps, a été rompue par des Français bien élevés, la suprématie des islamos-racailles et l’on n’a pas vu ces derniers s’attaquer à ce type de manifestation. En revanche la cléricature de «gauche» a utilisé la puissance publique pour la réprimer comme elle n’a jamais osé le faire dans les places de sûreté islamiques. On a même vu des Lacombe Lucien «bien de chez nous» attaquer la Manif pour tous au nom de l’anti-fascisme. Depuis la guerre d’Espagne c’est au nom de l’anti-fascisme que l’on réprime les peuples (lire ou relire Hommage à la Catalogne de George Orwell), François Mitterrand l’avait bien compris et mis en pratique, et depuis le choc pétrolier c’est au nom de l’anti-racisme que l’on réprime les patriotes.

    Il y a eu également quelques mahométans «bien élevés» qui ont participé à la Manif pour tous. Mais comme le rapporte notre ami Bernard Dick leur banderole tranchait singulièrement. Il ne s’agissait pas d’un bon enfant «François ta loi on en veut pas» mais d’un inquiétant « Les musulmans de France n’accepteront jamais cela » qui plus est écrit en arabe.

    Curieux paradoxe que cette cléricature de «gauche» qui prône un hédonisme de marché qu’elle présente comme le nec le plus ultra du progressisme, fait réprimer les vertueux qui s’y opposent et se soumet le plus docilement du monde au glaive islamique. Il faudra à l’avenir écrire sur cette question à la manière de la précieuse somme très documentée de l’historien Simon Epstein : Un paradoxe français, antiracistes dans la Collaboration, antisémites dans la Résistance.

    Dans les territoires perdus de la République que sont les places de sûreté islamiques s’exerce une ultra violence envers les homos, des couples de même sexe ont dû fuir ou se faire exfiltrer par la police. S’il est vrai que la violence contre les homos a augmenté à l’occasion de la discussion de la loi dite abusivement du «mariage pour tous», il s’avère après coup que l’agression de Nice comme celle du XIXe à Paris ne viennent  pas de cette partie de la population que Gabrielle Cluzel a appelé «la France bien élevée».

     Renaud Camus à propos de la violence homophobe suscitée par la loi Taubira :

    « Elle prospère à l’occasion d’un projet absurde, qui n’a strictement rien à voir avec l’esprit et avec les plus vives traditions de l’homosexualité et les ridiculise. Ce projet s’appuie sur une conception totalement absconse et mécanique de l’égalité, la même qui a déjà détruit l’école et la vie culturelle. »

     Comme Renaud Camus, Daniel Guérin ne faisait pas mystère de son homosexualité. Il avait eu en outre le bon goût d’épouser une femme et de ne jamais s’en séparer. Il avait compris dès la fin des années 70 le danger que représentait la réification de la question homosexuelle.

    Extrait d’un article d’Alexandre Marchant : « Néanmoins, la fin des années 1970 et le début des années 1980 marquent pour Guérin une étape de déception vis-à-vis du mouvement homosexuel. En effet, il critique, comme Guy Hocquenghem au même moment dans La dérive homosexuelle (1977), la « ghettoïsation » du monde homosexuel sur lequel des frontières symboliques, héritières de la retombée de la politisation, se sont maintenant abattues en lui donnant une forme communautaire. L’homosexualité, définie comme une identité subversive et comme moyen de transformer une société, est devenue, par l’action des multiples mouvements militants qui s’en revendiquaient, une fin en-soi. Le discours homosexuel militant a réifié l’homosexualité en en faisant un objet de débats et de revendications sur la place publique. Guérin fustige également les débuts de la « commercialisation » du monde gay. Prolongeant ses réflexions sur la nature et le fondement de l’homosexualité, notamment dans Homosexualité et Révolution (1983), Guérin se réfugie dans ses souvenirs des années 1920 et 1930 où, selon lui, les identités homosexuelles et hétérosexuelles étaient loin d’être essentielles, exclusives et réifiées :« Il n’y a aucun doute que la discrimination est maintenant plus forte qu’à l’époque de ma jeunesse. Cette soi-disant révolution sexuelle n’a pas du tout été dans le sens que nous pouvions souhaiter »

    Point n’est besoin de remonter jusqu’à Juvénal pour savoir que cette affaire de mariage homo peut très mal finir. Il suffit de lire les plus grands zélateurs de l’homosexualité qui pour certains font preuve d’une grande lucidité pour s’en rendre compte. La cléricature de «gauche» qui promeut «le mariage pour tous» tout en étant soumise au glaive islamique emmène les homos à l’abattoir.

     En dédaignant le micro lobby communautariste LGBT, en marquant leur refus de l’aventure du basculement anthropologique inédit que serait le mariage homo et surtout le chamboulement de la filiation, les très peu bigots et néanmoins vertueux Jean-Pierre Chevènement et Nicolas Dupont-Aignan ont fait preuve de résistance républicaine.

    Pascal Olivier

    co-fondateur de Résistance républicaine.

    http://blog.pascalolivier.fr 

     §

    Bravo Pascal excellente analyse qui « s ‘élève pour mieux voir » et « relie pour mieux comprendre » ! Il faut à présent aller plus loin. « Situer » l’adversaire pour « mieux agir » : c’est à dire comment combattre la "triplice" avec nos "petits poings" sans être dévorés par l'ogre au moindre mouvement de notre part qui lui semblerait  pouvoir mettre en danger ses pratiques et sa dominance ?

    Ce colossal ensemble aux pieds d’argile enfin identifié et, la « cause des causes » une fois correctement appréhendée (Insuffisance de régulation et de contrôle à mon avis) nous constatons que seule l’approche systémique, globale est en mesure de fournir l’outil nécessaire et suffisant pour changer nos pratiques.

    Nous observons en effet que depuis au moins la Rome de Jules César l’histoire connue bégaie, se répète et que nos élites dirigeantes se comportent de la même manière, en prédateurs et ils finissent toujours par s’en sortir, alors que la « plèbe » et ses leaders payent chèrement leur désir d’égalité et de liberté.   

    Comme dans la Rome encore républicaine du 1er  siècle avant J.C. où la plèbe dont tu parles réclamait des réformes agraires pour réduire les grandes exploitations installées sur l’ager publicus,   nous allons devoir comme les frères Tibérius et Caius Gracchus agir avec intelligence et sans la moindre violence pour ne pas être écrasés, comme ils le furent, par l’énormité de « l’empire » qui nous fait face.

    Si nous voulons comme les frères Gracchus renverser la domination des élites qui se renouvellent et partagent les postes de génération en génération. Si nous voulons créer des conditions sociales plus équilibrées, nous devons commencer à comprendre qu’en 2013 aussi, l’éthique, comme la morale d’ailleurs n’est rien d’autre que du « droit fondé sur une communauté d’intérêts » habillés avec des mots comme : liberté, égalité, fraternité.       

    C’est cette « révolution culturelle », cette prise de conscience d’être manipulés par des mots, que nous devons faire en urgence si nous ne voulons pas sombrer en tant que peuple et périr en tant qu’individus « résistants » comme les frères Gracchus.

    Révolution culturelle dont César a bénéficié et mis en œuvre APRES avoir prit le pouvoir et décommandé la République.

    Personne, individu ou groupe, ne se développe sans subir les contraintes de l’environnement dues aux conditions sociales, environnementales et politiques du temps ; leur empreinte est décisive. C’est dans le jeu laissé entre adaptation et opposition que les capacités innées (individuelles voire collectives) croissent et manifestent leur force et leur efficacité.

    Dés que Jules César apparut au grand jour de la vie publique il fit montre de cette qualité et de cette volonté. Il compris que c’est par une concentration de puissance, de pouvoir, d’autorité mais aussi par un effort de régulation, de contrôle et de sanction appuyant ce pouvoir, qu’il mettrait au pas l’oligarchie romaine corrompue et impuissante, responsable des crises qui se succédaient en ébranlant les structures économiques, sociales et politiques.  

    En période de calme et avec notre « système » d’organisation sociale actuel, nous pouvions nous contenter de dirigeants tels que ceux qui sont à la tête du pays.

    Ce n’est plus le cas. Les parasites de la « Triplice » ont lentement pénétrés l’organisme et l’organisation du pays, de l’Europe et pour tout dire de l’Occident Gréco-romain, judéo-chrétien et révolutionnaire.

    TOUT est à reprendre à la base : l’éducation, la socialisation, la culture, la production et l’affectation des richesses.

    Ce n’est pas une mince affaire et la Triplice n’est pas un adversaire qui nous laissera agir sans réagir.

    Mais David contre Goliath a, paraît-il, trouvé la faille. Alors en cherchant bien, en pensant global et en agissant local « tous ensemble » les résistants arriveront bien à mettre Hollande et son équipe au rencart ? NON ?

    Et ce ne sera qu’un commencement !   

    Francis NERI

    http://semanticien.blogspirit.com

     

  • La mondialisation impossible

    Pour contrarier Edgard Morin !

    Et si la mondialisation est impossible, il faudra bien appliquer le principe de régulation et de contrôle pour mettre un peu d'ordre, d'efficacité des "pratiques" dans le "système". Bref un pouvoir capable d'organiser la production et la bonne utilisation des richesses.
    Pourquoi ne pas commencer par la France ?

    § 

    La pensée analyse les données (voir Descartes), elle sait faire des croisements, synthèses, des conclusions partielles.

    Quoi d'autre ? 

    Rapprocher les faits, les idées, les éléments,  c'est possible, les voir dans leur complexité et leurs rapports, c'est autre chose ? C’est ce à quoi prétend l’approche systémique !

    La pensée est isolée, avance par tâtonnements, par essais et erreurs, elle ne trouve jamais la bonne solution du premier coup.  La pensée humaine est individuelle, la foule est reptilienne (Laborit).

    La pensée holiste est le lot d'un cerveau collectif oméga de Teilhard. L'humanité fait le contraire et pousse à l'individualisme et à l'anarchie plus qu'à la hiérarchie aussi suspecte que l'autorité.  

    Mais l’holarchie[1] ne se décrète pas. Les essais d'autarcie dans le Larzac par les 68tards ont tous échoué.   

    La mondialisation s'arrêtera peut-être aux continents et leurs conflits seront pires qu'entre états.

    La seule structure humaine capable d'intégrer les individus et les familles est la tribu ou le village de moins de 400 têtes, hommes, femmes et enfants, capable d'intégrer même ses psychotiques.

    Au-delà, la bête féroce fait surface. La conscience mondiale est un mot si ce n'est pas le cerveau collectif, l'organisme collectif dont les cerveaux sont les neurones. On sait ce qu'est une société d'insectes. Le passage d'une société humaine à une société de cerveaux à pensée réfléchie serait un saut aussi important que celui de la conscience directe à la conscience réfléchie, de  l'unicellulaire au pluricellulaire.

    Une démocratie à l'échelle mondiale sera comme la démocratie forcée en Irak, que des votes communautaires. On n'a pas besoin de voter, les compter suffit.

    Teilhard croyait que le communisme était une marche vers  le cerveau collectif ! On fait la même erreur avec la mondialisation. Le choix est entre le Grand Frère ou la guerre de tous contre tous.  

    Ave.

    JCA 

    PS : Il est très possible que les Oumittes aient atteint le niveau d'organisation du superorganisme. Cela expliquerait qu'ils acceptent sans problème la main de fer des tétrarques et de l'Ordinateur Central. 


    [1]Une hiérarchie est composée de niveaux. Les éléments d'un niveau ont une valeur supérieure à ceux des niveaux situés en dessous et un rôle dominant par rapport à eux. Une holarchie est composée de holons organisés en niveaux. Un holon est quelque chose qui est un tout à un certain niveau et une partie au niveau situé au-dessus.

  • Loi du 3 janvier 1973

    Nous avons tous en mémoire les méfaits de la loi du 3 janvier 1973 d’aucuns semblent vouloir en atténuer la portée et en dédouaner certains.

    Finalement c’est peut être la faute à pas de chance et les vrais responsables ne sont pas nos gouvernements respectifs c’est NOUS ! Ben voyons !

    Christophe Servan

    Dette : Pompidou n’y est pour rien !

    Je voudrais réagir à l’article de Nicolas Gauthier sur la loi du 3 janvier 1973, dite loi Pompidou-Giscard.

     

    Lire sur Boulevard Voltaire

    Gilles Borg ·  Meilleur commentateur

    Merci pour cet essai d’explication M. Servan, mais tout ça n’éclaire pas vraiment le fond du problème. - Tout d’abord même si cette loi n’a pas eu tout le poids néfaste qui lui a été prêtée peut-être un peu vite, elle n’en reste pas moins inscrite dans une mouvance libérale, qui a peu à peu 

    « pavé la voie » pour la généralisation de l’emprunt auprès d’investisseurs institutionnels : vous l’avez dit vous-même, le recours aux ménages était une voie possible, qui a été, me semble-t-il, abandonnée depuis longtemps. Or on ne peut passer sous silence le fait que ce que la loi de 73 a commencé à installer dans les mœurs financières a été ensuite complété de façon massive et irréversible par le traité de Maastricht. La politique des petits pas….

    - Comme un autre participant l’a souligné, la France a sans doute souffert de maints gouvernements lâches et inconséquents, mais la dette est un phénomène quasi général : presque tous les états du monde, qui n’ont pas tous eu la gôôche aux commandes se sont endettés auprès d’investisseurs répartis dans le monde entier…. À tel point qu’on pourrait se demander (avec un soupçon d’ironie) s’il n’y aurait pas moyen d’annuler ces montagnes de dettes réciproques proprement et sans trop de casse, si bien sûr : • il était possible dans ce gâchis spéculatif de démêler les fils et de savoir quoi appartient à qui…. • les profiteurs du système financier acceptaient de voir leur magot illégitime fondre soudainement…. J’en doute puisque le glass steagel act est rejeté unanimement par tout ce joli monde…. - De plus, la dette a explosé de façon exponentielle, sans que l’on puisse constater chaque année des chocs pétroliers pouvant justifier ces besoins incessants de recours au crédit. En revanche, quel hasard, le tarissement des ressources nationales va de pair avec la montée de la dérégulation, de la mondialisation, de la désindustrialisation, tous ces phénomènes résultant de l’action malsaine de ceux-là mêmes qui aiment bien investir dans la dette et ont amené le législateur à mettre en place un système taillé sur mesure (libre circulation des capitaux, délocalisations, exonérations fiscales diverses, paradis fiscaux et off-shore dont maintenant tout le monde politique feint de s’étonner…. Et, arrêtez-moi si je me trompe, l’augmentation de cette dette a atteint des hauteurs stratosphériques, gonflant plus sur les 5 dernières années qu’elle ne l’a fait en tout depuis 40 ans, aussi bien aux USA qu’en Europe, depuis la crise des subprimes et le renflouement des banques…. La seule responsabilité des gouvernements en l’occurrence serait de ne pas avoir osé mettre les banques devant leurs responsabilités. - Pour l'anecdote, il y a enfin, à mon humble avis, une petite faille dans votre raisonnement visant à réfuter un quelconque complot (sur lequel je ne souhaite pas polémiquer) : le fait que le texte n'ait pas initialement contenu la disposition visée, et ait donc dû être amendé, ne peut à lui seul « détruire complètement » quoi que ce soit : à supposer des gens malins qui voudraient atteindre un but de façon indirecte et pas trop voyante, c’est précisément comme cela qu’il faut s’y prendre… Il suffit de trouver au bon moment un idiot utile à qui l’on insuffle le sentiment d’apporter lui-même sa pierre à l’édifice, et qui fait le travail pour vous sans même réaliser qu’on l’a manœuvré.…. Je n'en tire aucune conclusion définitive, mais... Bref, remettre les pendules à l’heure concernant la loi de 73, et relever les erreurs la concernant c’est bien, mais verser dans l’excès inverse en voulant la dédouaner totalement cela l’est moins : elle reste un signe des temps et s’inscrit à mon avis dans un processus réfléchi, de longue haleine, de cassage des Etats et de régression sociale par l'appauvrissement, dont elle ne peut s’exclure.

     

    §

     

    Rien à ajouter sinon appuyer ce qu'écrit Gilles BORG en insistant sur l’idée que le "complot" n'existe probablement pas.  Une collusion d’intérêts et un manque de régulation et de contrôle voilà, pour moi, la « cause des causes ».

    Bref la "crise" est bien systémique au sens qu'elle est effectivement hors régulation et hors contrôle, que l'on sait COMMENT résoudre les problèmes, mais que certains ne veulent pas et que d'autres ne peuvent pas.

    Les deux ayant fait partie du problème ne veulent faire partie de la solution, c'est contre leurs intérêts.

    Le notre consisterait à se débarrasser d’eux  pour commencer et le plus vite possible pour, enfin, s’en prendre aux deux autres problèmes avec lesquels ce libéralisme prédateur entre en conjonctions d’intérêts : la gauche et l’islam, deux idiots utiles en fait !

    01 07 13

    Francis NERI