Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

- Page 2

  • Se sauver du désastre

    Avons-nous la recette pour nous humbles mortels de se sauver si tant est qu'on le puisse du désastre, pour le temps qui nous reste ici bas ?

    La qualité de vie sans concession ni compromis pourrait bien constituer la bonne réponse.
    Solution certes individualiste, mais si l'addition des bonheurs individuels des personnes lucides faisait le bonheur collectif, histoire d'éviter du moins pour un temps la guerre civile ?

    Il est piquant de constater qu'après le géographe de gauche Christophe Guilluy, le sociologue libéral Jérôme Fourquet n'est pas loin de le penser dans son livre choc " L'archipel français " . Le sous-titre de ce gros bouquin instructif, preuves formelles à l'appui constitue tout un programme : " Naissance d'une nation complexe et divisée ", c'est exactement cela. Quand on le sait, la marche à suivre semble plus évidente.

    Il faudrait, ne pas être esclave des divisions mais passer au-dessus. Pour ma part, je considère depuis bien longtemps que quand on a la santé, qu'on dispose d'une voiture, que le travail ne nous occupe plus, on peut encore trouver le bonheur en France.

    Le passé ne reviendra pas, il appartiendra peut-être aux futures générations de résistants de restaurer les valeurs d'antan.

    Ce combat aussi noble soit-il ne sera pas notre œuvre pratique à nous qui avons la soixantaine, la terre promise sera pour d'autres. Il nous reste, ce qui n'est pas rien selon moi, à bien finir notre vie ici-bas, quitte à changer de lieu de vie, à remettre des certitudes trop ancrées en cause.

    Dans la vie, bien souvent ne se laissent briser que ceux qui veulent bien l'être, ou qui bien que lucides n'ont pas le courage de changer de cap. Concernant ces perdants volontaires qui - comme c'est facile ! - crient à l'injustice ou au destin contraire, je serai économe de mes larmes...

    Francis Ponsonnaille

    06 07 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

     

  • Une de mes réponses à un musulmaniaque

    Une de mes réponses à un musulmaniaque :

    "Regardez autour de vous et dite-nous ce qui est issu de la technologie de pays musulmans

    En effet, il vous suffit d'accomplir le travail tout simple de regarder autour de vous objectivement, qu'est-ce qui a été inventé récemment par des musulmans : votre ordinateur ? Votre smartphone ? Le programme qui le fait fonctionner ? L'électricité qui l'alimente ? Le plastic du fil électrique ? Le béton qui construit votre maison ? Son système de chauffage ? La centrale qui produit l'électricité ? Le moteur thermique ou électrique de votre véhicule ? L'essence qui l'alimente ? Etc...

    Il suffit de constater que les 57 pays musulmans sont simplement derniers en tout : des sociétés dont l'objectif principal tourne TOUJOURS autour des questions adolescentes du sexe et de la sexualité, questions traitées avec autant d'objectivité que le ferait une assemblée de bonobos MÂLES à la fois en rut et terrorisés par les femelles.

    Du coup, les sociétés musulmanes sont toutes en apparence et superficiellement très policées sur les passionnantes questions de coup de langue sur le clito et du sifflet dans la tirelire ainsi que sur de profonds dilemmes spirituels genre si on a le droit de péter durant la prière ou pas.

    Mais toutes ces sociétés infectées par l'islam, toutes, sans exception, sont immatures, ultra violentes, phallocrates, misogynes, autoritaristes voire dictatoriales, incroyablement inégalitaires, pauvrissimes sauf pour une élite qui se maintient au pouvoir par la force, suprématistes, improductives scientifiquement, technologiquement, philosophiquement, moralement et artistiquement.

    En observant les sociétés intellectuellement castrées que cette doctrine engendre, on prend conscience que l'islam est une idéologie de destruction de masse propageant le chaos et abolissant ce qui différencie l'homme de l'animal : la liberté d'aimer, de penser, de s'exprimer, de créer, de vivre et de mourir..

    Lumière au bout du tunnel : des musulmans et plus encore des musulmanes prennent conscience qu'ils sont les premières victimes de l'islam et quittent -parfois en secret même de leur famille- cette funeste idéologie ; hostile à tout progrès, l'islam ne résistera pas plus à l'invention d'internet que le christianisme n'a résisté à l'invention de l'imprimerie et dans 1 à 3 siècles, le coran sera rangé sur le rayon "MYTHOLOGIES - MONOLÂTRIES" des bibliothèques et ne sera plus parcouru que par le seul lectorat qu'il mérite : la vermine qui le réduira en poussière..

    "Tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet."
    (Chateaubriand)

    P.S: : Pour le train de vie dans les pays musulmans : "C'est à cause de l'URSS ! C'est à cause des USA ! À cause ses Juifs ! À cause des Chinois ! Méchants racistes, vous avez de la haine pour tous les pôôôvres musulmans !" !
    Ça fait un moment qu'on ne prend plus ça au sérieux ! "Haineux " ; "Raciste" ; "Islamophobe" ne prennent plus avec nous."

    Xavier Catherine Penon-Campagna .

    05 07 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/

  • Effondrement

    Je ne fais pas le moins du monde confiance à mon intuition, au contraire je me méfie de mes biais cognitifs.

    La thèse et l'antithèse de l'effondrement relèvent de domaines techniques variés incluant la finance, le fonctionnement du système capitaliste dans son ensemble dépendant de la croissance, la climatologie, la pollution, la biocapacité, l'agronomie, la question des ressources, en particulier celle des pics de sources d'énergies fossiles.

    Trancher cette question est pour un individu lambda, un travail de nature épistémologique, généralement très au-delà de ses capacités cognitives, de son bagage scientifique de ses connaissances techniques, des dogmes qui régissent sa pensée, de sa pertinence analytique, de sa plasticité cérébrale, plus précisément il s'agit de se faire une idée en mesurant la validité des éléments de la thèse et celle de ceux de l'antithèse.

    Ce n'est pas à la portée de tout le monde mais quand bien même l'obstacle principal reste la dissonance cognitive, liée à l'incapacité d'imaginer la fin de quoi que ce soit, en particulier la sienne propre, a fortiori celle de son environnement, du système de la société à partir de données abstraites en contradiction avec ce que ses sens perçoivent et son quotidien, c'est-à-dire l'abondance, la consommation, "le Progrès"...

    Les personnes qui ont contracté un crédit, celles qui se projettent dans une carrière professionnelle celles qui ont des enfants a fortiori en bas âge, ne peuvent-être blâmées si elles sont dans l'incapacité d'imaginer l'effondrement.

    Il va de soi que cette incapacité à se projeter dans un avenir incertain, difficile, voire apocalyptique, en chevauche une autre, souvent appelée le grand remplacement.

     

    François Amsallem ·

    04 07 19

    Francis-claude Neri
    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/