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Education et socialisation - Page 33

  • Le grand remplacement de Renaud Camus.

    L'essentiel de la problématique à laquelle s’attaque Renaud Camus est d'ordre culturel. Elle interfère avec d’autres  qui en sont à la fois les causes, les effets et les conséquences …tout est relié et en interaction dynamique, orienté vers un but !

    Cà intéresse l'éducation, la socialisation, la formation non seulement professionnelle, mais au savoir être et en "communication" (Managériale Pédagogique Thérapeutique)

    Depuis que Sartre à gagné sur Raymond ARON, et en particulier mai 68, nous sommes dans la nasse.

    Pour effacer 40 à 50 ans de culture en  décadence visant à une uniformité « gaucho-mondialo-islamo » nous avons du pain sur la planche. Tout n’est que conséquence de cet état premier car c’est en MODIFIANT profondément et dans le temps, les attitudes (donc les représentations) et les comportements (qui découlent des représentations) des individus que le pouvoir a pu, ensuite, faire de nous ce qu’il voulait pour son profit, son clan ou sa caste. Et il n’a pas fini si nous le laissons faire.

    C’est la raison pour laquelle nous, en France et en Europe, nous ne pouvons résoudre le problème de fond qu’en revenant sur NOS fondamentaux éducatifs ET socialisants.

    D’où l’intérêt du collectif « racines » de Marine Le Pen.

    Notre engagement,  celui du groupe des Systémiciens,  dans ce sens sera d’une grande utilité.  Car avec l’IESE  (Institut Européen de Socialisation et d’Education) nous pourrons intervenir DIRECTEMENT dans le milieu scolaire, familial et dans les associations du temps libre afin de refaire le travail inverse c’est à dire  re-former, re-socialiser,  re- assimiler, re-définir ce qu’est NOTRE culture, notre identité, re-inculquer nos codes, nos valeurs, les éléments de vie qui font que nous ne sommes pas les habitants du dessert ou de l’Afrique équatoriale, mais des EUROPEENS.

    Nous sommes adaptés physiologiquement et psychiquement à notre environnement et nos contextes que nous avons adaptés par rétroaction en « interagissant »  avec eux.

    Nous avons, nous autres, éducateurs et formateurs Systémiciens ou pas, du pain sur la planche.

    Mais nous devons attendre encore un peu car il faut d’abord que Marine reprenne le pouvoir (les pouvoirs) à ceux qui les détiennent et dans tous les systèmes : politique, économique, financiers, culturels etc.

    Pour ce qui nous concerne en temps qu’individus conscients et agissants,  je ne crois pas que nous soyons destinés à combattre une arme à la main pour mettre au pas ceux qui feraient obstacle à ce projet de changement global. Projet qui fasse échec au « grand remplacement », à la mondialisation libérale, à la finance prédatrice ou à notre destruction identitaire.

    Nous pouvons l’éviter si nous arrivons NOUS aussi à modifier les attitudes et les comportements de nos concitoyens. Le problème c’est que nous n’avons pas le temps pour nous et que c’est un travail de longue haleine que nos adversaires ont entrepris depuis en gros Mai 68. Ils ont de l’avance et n’ont pas l’intention de s’arrêter en si bon chemin.

    Il faudra donc aller vite, massivement et énergiquement. Voilà ce que je vois pour nous ici,  maintenant et pour l’avenir… j’ai encore quelques bonnes années devant moi, mais je ne verrai probablement pas la fin de  l’aventure qui se poursuivra sans interruption très longtemps et selon des formes très diverses.

    Alors pensons à l’action au jour le jour, mais aussi à transmettre, à informer et former ceux qui prendront la suite c’est vital ! 

    Francis NERI

    Président de l’IESE

    Membre du Collectif Racines

  • Le genre, grille de lecture

    "Les temps ont changé. Le passionnant ouvrage de Susan Pinker, The Sexual Paradox (2008), permet de comprendre dans quelle mesure.

    Pinker s’attache à démontrer qu’hommes et femmes n’ont pas les mêmes intérêts. Alors que la majorité des enfants rencontrant des problèmes scolaires sont des garçons, ceux-ci finissent souvent par dépasser ces obstacles à l’âge adulte. Les hommes se tournent ensuite en majorité vers des domaines quantitatifs, où les interactions sociales sont plus faibles. Parallèlement, les jeunes filles, qui obtiennent en moyenne de meilleurs résultats que les garçons durant leurs études, finissent par choisir des emplois moins rémunérateurs, la naissance de leurs enfants accentuant cette tendance. Pinker cite aussi de nombreux exemples de femmes cadres dirigeants, parfaitement reconnues par leurs supérieurs, quittant des métiers trop contraignants pour leur préférer une activité leur laissant davantage de temps pour leur famille. 

    Comment expliquer ce paradoxe ? Pour Pinker, les deux sexes ne sont pas biologiquement équivalents et les différences sexuelles fondamentales — génétiques, cérébrales, hormonales — influent sur les choix professionnels. Par exemple, la concentration supérieure de testostérone chez les garçons explique largement les difficultés premières de ces derniers, et ensuite leur capacité à se concentrer de façon parfois obsessionnelle sur certaines tâches. L’ocytocine féminine, elle, explique la plus forte empathie ressentie par les femmes 

    Les parcours que nous regardons comme le fait de discrimination homme/femme sont en grande partie le fruit de choix, donc que l’égalité entre les hommes et les femmes, tout à fait louable, ne peut signifier leur identité. La liberté existe, mais elle est ancrée dans un temps et un corps.

    Par conséquent, l’idée que les femmes devraient poursuivre exactement les mêmes objectifs professionnels que les hommes est justement, selon Pinker, une vision paternaliste, qui repose sur la représentation de l’homme comme le standard de l’être humain.

    La situation des femmes dans les pays développés n’a jamais été aussi favorable."

  • L’Islam

    Je voudrai dire à mes amis Systémiciens qui s’interrogent sur l’Islam, et qui se disent contre avec énergie, que NOUS ne pouvons être CONTRE quoi que ce soit car NOTRE « jugement est toujours « négatif » c'està-dire POUR l’ouverture des « boucles de rétroaction ».

    Je m’explique : Hier j’ai rendu visite à mes amies du Restaurant  Mosaïque  (voir ma chronique précédente) à l’occasion de la journée de la femme.

    Je voulais y déjeuner tranquillement avec mon épouse. Hélas c’était sans compter sur la campagne des municipales et nous avons vu arriver une très sympathique cohorte avec drapeau et prospectus dont l’intention était claire et sans nuance : « votez pour moi » !   

    Je ne suis pas contre la campagne des municipales, mais je suis pour déjeuner en paix avec mes ami(e)s et comme je sais que beaucoup d’eux  sont : musulman(e)s, chrétien(e)s ou autres…une mosaïque…eh bien je m’adapte, je regarde et j’écoute et je puis vous assurer que l’effet « rétroagissant » sur la cause, je ne suis pas sur que cette sympathique invasion produise l’effet escompté par les « politiques » qui ont bien occupé le terrain mais certainement pas les esprits.
    Pour ceux qui ne connaissent pas le Neuhof, il faut savoir que ce quartier est classé « zone sensible » et que le Restaurant d’insertion « Mosaïque » a bien des difficultés à résister au jour le jour dans un environnement disons « négligé ». Certains clients hésitent à s’y aventurer et les habitants ne sont pas tous des exemples de vertu ni de propreté.
    Personnellement, je pense qu’il serait bon de nettoyer plus souvent les abords du restaurant et rouvrir le bureau de police qui n’ose même plus s’afficher comme tel !
    Je pense aussi qu’il devrait y avoir plus de présence éducative et socialisante en faisant travailler ensemble la famille, l’école, et les associations du temps libre comme par exemple SOS aide aux habitants.
    Les sympathiques envahisseurs « politiciens » ont-ils conscience de cela ? J’en doute !

    Ils  ne comprennent pas les besoins de ces « gens là » et en particulier de ceux qui sont proches de l’Islam, cette « singularité »

    En les regardant manœuvrer avec amusement (la plupart sont des amis qui savent que je suis proche du FN/RBM) je me disais que décidemment ils ne comprendraient jamais rien à cette religion et que cette religion ne les comprendraient jamais et les combattrait toujours …hélas !

    Je me dis que finalement la « médiation sociale » enjeu de SOS aux habitants n’est pas bien engagée. Les « adultes relais » relayent un peu en vain ! Il y a rupture sociétale !

    Pour moi la question est devenue d’une grande simplicité : Je constate que l’Islam n’est pas adapté à la mentalité Occidentale. En conséquence faut il adapter l’Islam ou faut il adapter les Occidentaux ?
    Notre avenir dépend absolument et totalement de la qualité de la réponse que nous allons donner à cette question vitale. Le « reste » n’est que conséquences éducatives, socialisantes, assimilatrices et bien évidemment économiques, financières etc…

    Je conseille à mes amis « politiciens » de développer leur attention, de relier les évènements, suivre les préceptes de la Systémique : observer le cadavre sociétal agonisant,  observer le cadavre bouillonnant, observer le cadavre explosant, observer le cadavre démembré, observer le cadavre de la paix sociale et dites vous que vous êtes responsables de son état et ne vous demandez plus POURQUOI, çà ne sert à rien, mais demandez vous plutôt COMMENT et avec QUI !      
         

    Francis NERI
    Président de l’IESE
    Institut Européen de Socialisation et d’Education

     

    09 03 14