Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

Identité mémoire culture - Page 11

  • Guerre civile ?

    A moyen terme, la victoire du Rassemblement National et des Nupes au dernier scrutin devrait déclencher deux "évènements" majeurs non maîtrisables dans la société française : la lutte des classes et la lutte raciale
     
    Bref la lutte "électoraliste" ayant échouée, devons nous préparer à la guerre civile ?
     
    Notons également que partout où les islamistes atteignent une masse critique minimale avec des effectifs équivalent à 4 ou 5 % de militants, ils exercent une influence qui dépasse de beaucoup le poids de leur représentation et peut aller jusqu'à conditionner la vie d'un pays.
    Il existe donc une "dynamique" islamiste
    C'est à dire que la vigueur de l'action leur confère une productivité politique et combattante supérieure à leur importance numérique

    Il faudrait en tenir compte.
    FCN

  • Entrer en résistance

    Ma survie personnelle passe par la prise de conscience qu’il me faut m’organiser pour résister à un processus individuel de désintégration. Processus en particulier affectif. Bref il me faut combiner le cœur et la raison, le cortex et le thalamus.

    Un processus qui rejoint celui du collectif ! Le triple échec d’Éric Zemmour a profondément affecté ses soutiens, et la confiance dans un avenir possible avec lui à leur tête est largement remise en question.

    Devant le danger actuel de l’adaptation rapide et passive des « citoyens » au nouveau totalitarisme « social » et « sociétal » développé par le pouvoir actuel, il faut apprendre à lutter contre un enchaînement de faits dans le temps aboutissant à un mouvement collectif de désintégration sociale, culturelle, économique etc.
    Il nous faut, entre autres, dire comment s’en défendre, se protéger, comment passer à l’action, avec qui et quels moyens.

    Face aux empiètements croissants de l’Etat, et des pouvoirs qui lui sont inféodés, sur notre autonomie, à la mise en « fiches » de plus en plus générale et à la considérable diminution de la liberté d’action et de pensée, il y a possibilité et urgence à réagir.

    D’abord comprendre. Il ne s’agit pas de se faire tuer en descendant dans la rue au nom de la liberté – çà c’est l’élan du cœur – il faut que chacun de nous analyse, réfléchisse à la façon dont le mécanisme fonctionne et décide de partager ses convictions pour les inscrire ensuite dans l’action conjointe.

    Dans une société de masse à intégration poussée, dont le principal danger est l’adaptation des individus aux demandes d’un pouvoir central de plus en plus fort, et de mieux en mieux armé pour nous gérer, nous surveiller, nous contrôler et nous les imposer, il nous faut en retour, individuellement et collectivement, nous organiser pour résister. Ne pas laisser l’Etat cloisonner les individus et affaiblir la solidarité collective.
    Pour cela, il nous faut renforcer nos liens de solidarité, d’amitié entre les individus, retrouver et redonner sens aux valeurs, aux codes sociaux qui sont nôtres et qui renforcent la mémoire de ce que nous sommes, de nos identités.
    Il nous faut prendre collectivement conscience de la réalité des dangers et employer les mesures encore possibles pour organiser la défense et la survie dispersée de chacun.
    Nous devons nous méfier de « l’autisme de groupe », rester ouverts, ne plus jamais dissocier le cœur et la raison.

    Ne pas oublier de maintenir en soi ce que Bruno Bettelheim considérait comme la plus grande liberté de l’homme : « choisir son attitude et son comportement face aux circonstances ».

    Je vous invite à y réfléchir et si vous le voulez bien y adhérer !

    « Plus est en nous »

    Francis-Claude Néri
    Président de l’IESE   

           

  • Texte de Rafki Pochtli

    Merci Aïcha Maïza
     
    "Les musulmans et les islamophiles qui tâchent de faire croire à l'apport de l'islam aux sciences se réfèrent en général à un « âge d'or de l'islam », expression qui désigne les quelques siècles pendant lesquels les populations autochtones conquises par les arabo-musulmans n'avaient pas encore perdu leur culture sous la pression de ces derniers. Au début de cette période de l'histoire, ces autochtones, qui constituaient la très grosse majorité de la population des régions concernées, opprimés par un pouvoir colonisateur musulman ultra-minoritaire, étaient non musulmans et soumis à la dhimma. Petit à petit, ces dhimmis se sont convertis pour échapper aux lourdes contraintes liées à ce statut, de sorte qu'il y a eu des mathématiciens, astronomes, etc. musulmans. Mais ils ont poursuivi ce qu'ils faisaient avant d'être colonisés par les Arabes puis, plus tard, par les Ottomans.
    Si vraiment l'islam avait été pour quelque chose dans leurs travaux et découvertes, il aurait fallu que le berceau de l'islam, le Hejaz, ait été le théâtre d'une activité scientifique foisonnante, et qu'il ait donné naissance à de nombreux scientifiques arabes. Or, quasi aucun de ces savants « musulmans » n'était arabe. Les chiffres dit « arabes » et le zéro en tant qu'outil mathématique sont, on le sait, des inventions indiennes ; Al-Khawarizmi, généralement présenté comme le plus grand mathématicien arabo-musulman était en réalité ouzbek, et ses travaux ne devaient absolument rien à une tradition arabo musulmane ; l'autre grand nom des mathématiques « arabo-musulmanes », Abu Kamil, était égyptien ; l'alchimiste Jabir Ibn Hayyan, considéré comme un des pères de la chimie, était perse, de même que les astronomes Al-Marwazi, Al-Farghani, Al-Khujandi et Ibrahim ibn Sinan, l'opticien Ibn-al-Haïtham, les scientifiques polyvalents Al-Kindi et Rhazès ; le chirurgien Abu Al-Qasim était andalou, probablement d'origine berbère comme la majorité des colons musulmans de l'Espagne ; l'astronome et mathématicien Al-Battani était anatolien, etc.
    Il a pu s'agir d'un « âge d'or » simplement parce qu'il n'était pas encore réellement musulman. Son islamisation n'était pas encore profonde, et ce qui a produit cet « âge d'or » est le substrat autochtone pré-islamique qui subsistait encore. Certains des hommes illustres, à cette époque, étaient musulmans, pour les raisons expliquées ci dessus, mais absolument rien de leur savoir n'était issu de la « culture » musulmane, et leur origine ethno-culturelle n'était que très rarement arabo-musulmane. Les conquérants arabes étaient tous des bédouins incultes, et n'ont jamais apporté quoi que ce soit des points de vue scientifique, technique, artistique, intellectuel, philosophique, etc. aux peuples colonisés. C'est au contraire les brillantes civilisations conquises (byzantine, perse, indienne, kabyle, égyptienne...), qui on apporté la culture qui leur manquait aux colonisateurs musulmans.
    Avec le temps et sous la contrainte, les populations locales se sont de plus en plus islamisées, et par conséquent sont tombés dans la déchéance intellectuelle, morale et scientifique que l'islam provoque immanquablement tôt ou tard. L'« âge d'or » de l'islam, c'est une période où nombre de civilisations non-musulmanes développées ont été progressivement toutes ramenées au niveau barbare du Hejaz du VIIème siècle. Il ne s'est agi d'un « âge d'or » que tant que ces civilisations ont pu survivre malgré le joug du pouvoir musulman. Quand l'islam a pris le dessus, c'en a été fini d'elles.
    Faites l'expérience d'aller visiter le musée le plus proche de chez vous qui comporte une section d' « art islamique ». Vous trouverez des objets et oeuvres d'art perses, égyptiennes, syriennes, turques, indiennes, etc. Des objets provenant du Hejaz : zéro. Comme pour les sciences, si l'islam avait apporté quelque chose aux civilisations conquises des points de vue artistique et culturel, on trouverait des traces de ce qui a été apporté là où il est né. Or, il n'y a absolument rien. La « culture » qui a été la racine et le départ de l'extension de l'islam était un désert culturel aussi bien que scientifique.
     
    L'expression « âge d'or de l'islam » est donc grotesque et usurpée.
     
    Merci à mon ami Robert Sweijd