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Identité mémoire culture - Page 46

  • Les dieux des religions

    Les dieux des religions n'existent que dans l'imaginaire collectif des croyants et en théorie dans les travaux des théologiens, en pratique c'est le fil de l'épée qui les fait exister, généralement au profit des maîtres.

    L'islam ne s'écarte pas de ce paradigme, au contraire son histoire en ferait plutôt le parangon du genre.

    Ce n'est pas un cas unique d'une religion devenue accessoire et alibi de la force, de la brutalité, de la violence, de la cruauté, instruments de soumission, d'autres sont dans le même cas malgré de bien meilleures intentions de départ.

    Ce que l'islam a permis aux califes et aux sultans, aucune religion, aucune idéologie contemporaine de l'islam, ne l'a permis en cruauté, en barbarie, en abomination aussi longtemps, aussi impunément.

    Historiquement cette religion est la pire de toutes..., un peu de pseudo théologie, une histoire falsifiée, une propagande officielle universelle, n'y changeront jamais rien, de près ou de loin, dans le texte ou dans les faits, au présent ou au passé, à la lettre ou dans l'esprit, à faible ou forte dose, pour l'humanité comme pour l'humaniste, cette religion est la pire de toutes.

    Ne pas l'affirmer, ne pas en parler, a fortiori prétendre le contraire ou seulement nuancer la dure réalité factuelle, atténuer le bilan de l'histoire, c'est s'en faire objectivement le complice.

    Cette complicité n'est généralement assumée en tant que telle, les blancs déclarant l'islam compatible avec la civilisation et la culture occidentale le produit pas si paradoxal d'un deux poids deux mesures qui n'est lui-même que l'expression polie du racisme, une manière de dire, "... je vois bien que l'islam est une horreur, voire une abomination, en théorie comme en pratique, mais comme je suis blanc et pas l'immense majorité des adeptes du Prophète, je préfère m'abstenir de l'exprimer..., car ce serait arrogant, alors je suis tolérant avec les intolérants, quitte à tout perdre et préserver ma suprématie morale dans l'Apocalypse programmée par les croyances et le comportement de ces gens..."!

     

    François Amsallem

    02 05 19

    http://semanticien.blogspirit.com/
    Francis-claude Neri

     

  • Avenir de l’Union européenne.

    L’avenir de l’Union européenne.

    Poursuite d’un dessein mondialiste ultralibéral faisant la part belle aux nantis de ce monde ou instauration d’une Europe des nations porteuse de grands projets auxquels les peuples, consultés, auront souscrit ?

    Ce choix risque fort de n’être pas permis.

    https://www.bvoltaire.fr/le-piege-tendu-des-prochaines-elections-europeennes/

    Réunion publique à Beaucaire (30) : discours de Jordan Bardella – 20 avril 2019 (VIDEO)

    https://rassemblementnational.fr/videos/reunion-publique-a-beaucaire-30-discours-de-jordan-bardella/

    Le sens commun à disparu.

    Nous sommes sortis du terrain balisé entre gens d’une même civilisation qui s’affrontent comme autrefois pour savoir s’il fallait un peu plus ou un peu moins de taxes ou un peu plus de services publics. Le sens commun à disparu.

    Les enjeux sont désormais ailleurs, ils touchent à notre survie, on n’est plus entre adversaires mais entre ennemis.

    La gauche a introduit le poison des référentiels qui n’appartiennent pas à nos valeurs, nos mœurs et nos repères: communautarisme, trahison du féminisme, racialisme, antisémitisme, ségrégation, individualisme exacerbé.

    Elle est en sécession, au-delà du limes[1], entrée en guerre ouverte.

    Fleur de Lys

     

     

    [1]« Le Limes était durant l'Antiquité romaine une ligne de fortification traversant le Rhin, pour séparer l'Empire Romain, qui représentait la "civilisation", et les peuples qu'il y avait à l'Est de ces remparts, à savoir les Germains, les Slaves, les Huns... brefs, les "barbares". »

     

  • Steve Banon

    J’aime bien ce monsieur qui est celui qui dirigea la campagne de Trump et qui fit en Europe des interventions rassembleuses des énergies souverainistes.
    Malheureusement contrairement aux autres souverainistes Européens, Marine Le Pen l'a prié d’aller voir ailleurs et qu’en France nous n’avions pas besoin de lui … Il faut noter par contre qu’entre Marion Maréchal et lui le courant passe très bien, car son analyse est une composante indispensable pour comprendre le grand changement de la politique mondiale.

    Lorsqu’on lui demande  de se définir, voici ce qu’il nous dit :
    «Je dirais que je suis à la fois populiste, nationaliste, et souverainiste, avec une tendance traditionaliste dans la mesure où je défends la structure familiale et les valeurs traditionnelles.

    C’est le principe même du mouvement dont je fais partie que de réunir tous ces courants idéologiques. Je tiens à les expliquer un à un.

    Etre populiste, c’est être à la fois opposé aux élites et favorable au principe de subsidiarité : la décision doit se prendre à l’échelle la plus basse possible. (J’observe que çà va à l’encontre du Jacobisme centralisateur de MLP ceci explique peut être « l’animosité » de cette dernière envers lui).

    Être nationaliste, c’est considérer qu’il faut renforcer le système westphalien[1] : la nation est la seule entité qui soit soutenue par les citoyens tout en leur garantissant la liberté.
    Être souverainiste, c’est défendre un réseau de nations libres dans lequel chacune peut signer un traité ou une alliance (comme l’Union Européenne ou l’OTAN), mais uniquement sur la base de son choix souverain.

    Il suffit de prendre un peu de hauteur pour constater que nos idées s’imposent tout autour du monde, de Shinzo Abe au Japon à Rodrigo Duterte aux Philippines.
    Observez ce qui se passe en Australie, en Inde avec Modi, où plus près de vous  en Europe, au Brésil avec Bolsonaro, en Colombie ou dans beaucoup d’autres nations dont les Etats Unis bien sur … »

    Il pense que les nationaux-populistes d’Europe et des Etats Unis ont une chose en commun : ils s’opposent aux élites et à la concentration du pouvoir, que ce pouvoir soit à Bruxelles ou à Washington.

    Aux Etats-Unis, le mouvement populiste veut rendre le pouvoir au peuple, aux Etats, au bas de l’échelle, tout en se révoltant contre la lame de fond de la globalisation.

    Je suis bien d’accord avec lui ! Pourquoi pas en Europe ! En commençant par sortir de l’UE ?

    Francis-claude Neri

    NERI Francis @Iese67NERI
    http://semanticien.blogspirit.com/
    14 04 19

     

    [1] La paix de Westphalie et le système « westphalien » qui en découla introduisirent les concepts directeurs des relations internationales modernes : l'équilibre des puissances, l'inviolabilité de la souveraineté nationale et le principe de non-ingérence dans les affaires d'autrui.