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Islamisation - Page 37

  • La guerre civile

    Le journaliste Yves Mamou accuse les élites françaises de s'être coupablement désintéressées de l'immigration, et d'avoir fermé les yeux sur l'islamisation du pays

    La guerre civile se définit comme le déchirement d'une nation. Je ne sais pas si cette guerre aura lieu, mais il m'a semblé utile de m'interroger sur la présence de deux nations sur le même territoire national. Parfois, ce sont des frontières mal tracées qui créent les conditions d'un affrontement entre deux nations. Mais en France, la nation islamique a été fabriquée de toutes pièces. Elle est le résultat d'une politique.

    Les élites françaises, c'est-à-dire les grands corps de l'État, les partis politiques, les experts, les magistrats, les médias, les élites culturelles… ont, pour de multiples raisons, plusieurs décennies durant - et encore aujourd'hui - encouragé et légitimé l'immigration musulmane.

    Cette préférence des élites pour l'islam a produit un fossé abyssal entre la France d'en haut et la France d'en bas.

    La majorité de la population française témoigne à l'égard de sa classe politique d'une gamme de sentiments qui va de l'écœurement au dégoût.

    Et sur quoi se cristallise cette rupture entre le haut et le bas de la société? Sur l'islam jugé trop invasif et l'immigration jugée excessive.

    L’islamisme et l'immigrationnisme ont été voulus, théorisés, écrits et préparés à l'avance !

    La constance avec laquelle le Conseil d'État a aidé à la constitution d'une nation islamique en France est sidérante.

    Tous les arrêts du Conseil d'État sont favorables à l'immigration musulmane, favorables au voile, favorables au burkini, favorables à la burqa, favorables aux familles polygames et j'en passe.

    Idem pour le Conseil constitutionnel qui trouve conforme à l'intérêt général de laisser les écoles salafistes proliférer ou de supprimer, au nom de la «solidarité», les peines qui frappaient autrefois les délinquants qui facilitaient l'immigration clandestine.

    L’antiracisme politique et le discours diversitaire n'ont pas pour but de combattre le racisme. Ce sont des outils au service d'une réinitialisation des consciences. Ils servent à marteler que les immigrés de couleur sont par essence des victimes.

    En trente ans, la société française a quitté un modèle laïque républicain pour être projetée dans un modèle multiculturaliste, communautariste et anti-laïque. Il s'agit d'une authentique révolution qui se poursuit encore aujourd'hui sous nos yeux.

    Les élites politiques, économiques et institutionnelles ont balayé le vieux modèle laïque et républicain sans demander l'avis du reste de la population. Les élites françaises ont été à l'origine du plus grand casse du siècle, lequel s'avère être aussi un casse de la démocratie et de la laïcité.

     
    Pour quel profit ? Je crains que seul l'islamisme soit à même de tirer les marrons du feu.

    Les musulmans deviennent une composante à part entière de la population et celle ci est majoritairement hostile à la composante autochtone : faut il que des politiques, à gauche en particulier, leur parlent et les accompagnent dans leurs revendications ?

    La gauche clientéliste flatte le communautarisme islamique: baux emphytéotiques pour la construction de mosquées, heures de piscine réservées aux femmes, etc., cela dans le but de recueillir les voix des musulmans.
    L'islamo-gauchisme accompagne la violence islamiste pour conquérir le pouvoir. Ce sont deux démarches différentes, mais les deux instrumentalisent les musulmans comme outil de conquête du pouvoir.

    En trente ans, la société française a quitté un modèle laïque républicain pour être projetée dans un modèle multiculturaliste, communautariste et anti-laïque.

    En réintroduisant la religion - et surtout la religion musulmane - dans l'espace de la politique, la gauche (mais aussi la droite) a disséminé les germes de la guerre civile.

    Penser comme le font nos élus de droite et de gauche que la République doit des mosquées aux musulmans est une erreur et une trahison.

    Quand à « l’église », elle dit avoir de la compassion pour les migrants musulmans, il est bon de rappeler que cette compassion est sélective. L'Église ne défend pas les Coptes quand ils sont massacrés en Égypte, elle proteste à peine contre l'authentique épuration ethnique qui frappe les chrétiens d'Orient, et elle n'a guère eu de mot charitable pour les Yazidis massacrés par l'État islamique.

    C'est cette sélectivité compassionnelle qui interroge. La charité affichée de l'Église envers les musulmans est aussi une politique.

    Sélections par :

    Francis-claude Neri

    http://semanticien.blogspirit.com/

    06 10 18

  • Le peuple palestinien n'existe pas.

    « La création d'un État palestinien n'est qu'un moyen de poursuivre notre lutte contre l'Etat d'Israël pour notre unité arabe.


    En réalité, il n'y a pas de différence entre Jordaniens, Palestiniens, Syriens et Libanais.


    Nous ne parlons aujourd'hui de l'existence d'un peuple palestinien que pour des raisons politiques et tactiques, parce que les intérêts nationaux arabes exigent que nous affirmions l'existence d'un peuple palestinien distinct pour combattre le sionisme ».

    - Zuheir Mohsen, dirigeant de l'OLP, interview à Trouw, mars 1977.

     

  • La France de Marianne

    Pour moi il y a 3 gauches:
    Une gauche internationaliste comme La France Insoumise ou le PC, pro indigéniste, anti israélienne, pro palestinienne, anti américaine.
    Elle voit les musulmans comme un prolétariat et joue la théologie de la libération avec l’islam.
    La gauche social démocrate, européiste, mondialiste, qui refuse de combattre l’islamisme et use de termes alambiqués pour maintenir les musulmans dans l’asservissement.
    En ce moment c’est le mot « soft power » qui tient la corde.
    Ils accompagnent l’islamisme pensant le maîtriser.
    Enfin une minorité peu efficace qui la joue laïque mais refuse de défendre notre civilisation.
    Le point commun de ces trois gauches, c’est le refus de reconnaître un roman national mais la volonté d’imposer un mythe républicain, l’histoire commence en 1789 voire en 1905 pour ces gauches.
    Refus de la culture judéo-chrétienne.
    Ce qui fait que la gauche laïque minoritaire, n’a aucune chance d’être écoutée et refuse de combattre l’islamisme avec la droite attachée au roman national et à la culture judéo-chrétienne.
    Pas toute la droite, car une partie a abandonné la nation, et s’est convertie au mondialisme.
    Macron prospère sur ces deux entités centrales qui refusent le droit des peuples européens à disposer d’eux même, et nient les nations.
    David Duquesne

    C’est très bien analysé …une fois de plus …un condensé en quelque sorte …la question, une fois avoir bien et longuement analysé, et que nous avons bien compris la nature de l’enjeu c’est : On fait quoi ? Avec qui ? Comment ? Et avec quels moyens ?
    Moi, çà me travaille un peu ! Voilà 40 ans et plus qu’ils nous disent çà va aller mieux …mieux que les 30 glorieuses ? Je n’y crois pas ! A la démocratie, l’économie, la cohésion nationale, le vivre ensemble etc… ? J’y crois plus …On est dans le pétrin et « ils » nous y ont mis et volontairement encore. Alors ce n’est pas eux qui vont nous en sortir.
    Bref je me dis qu’au Bataclan nous devrons  apporter une réponse et qu’ils devront REPONDRE à la réponse …non mais !
    Ou alors bon çà va chauffer de chauffer comme ils disent à Marseille ...les explications c'est dépassé on veut de l'action et pas n'importe laquelle

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/
    13 09 18