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Islamisation - Page 38

  • Le peuple palestinien n'existe pas.

    « La création d'un État palestinien n'est qu'un moyen de poursuivre notre lutte contre l'Etat d'Israël pour notre unité arabe.


    En réalité, il n'y a pas de différence entre Jordaniens, Palestiniens, Syriens et Libanais.


    Nous ne parlons aujourd'hui de l'existence d'un peuple palestinien que pour des raisons politiques et tactiques, parce que les intérêts nationaux arabes exigent que nous affirmions l'existence d'un peuple palestinien distinct pour combattre le sionisme ».

    - Zuheir Mohsen, dirigeant de l'OLP, interview à Trouw, mars 1977.

     

  • La France de Marianne

    Pour moi il y a 3 gauches:
    Une gauche internationaliste comme La France Insoumise ou le PC, pro indigéniste, anti israélienne, pro palestinienne, anti américaine.
    Elle voit les musulmans comme un prolétariat et joue la théologie de la libération avec l’islam.
    La gauche social démocrate, européiste, mondialiste, qui refuse de combattre l’islamisme et use de termes alambiqués pour maintenir les musulmans dans l’asservissement.
    En ce moment c’est le mot « soft power » qui tient la corde.
    Ils accompagnent l’islamisme pensant le maîtriser.
    Enfin une minorité peu efficace qui la joue laïque mais refuse de défendre notre civilisation.
    Le point commun de ces trois gauches, c’est le refus de reconnaître un roman national mais la volonté d’imposer un mythe républicain, l’histoire commence en 1789 voire en 1905 pour ces gauches.
    Refus de la culture judéo-chrétienne.
    Ce qui fait que la gauche laïque minoritaire, n’a aucune chance d’être écoutée et refuse de combattre l’islamisme avec la droite attachée au roman national et à la culture judéo-chrétienne.
    Pas toute la droite, car une partie a abandonné la nation, et s’est convertie au mondialisme.
    Macron prospère sur ces deux entités centrales qui refusent le droit des peuples européens à disposer d’eux même, et nient les nations.
    David Duquesne

    C’est très bien analysé …une fois de plus …un condensé en quelque sorte …la question, une fois avoir bien et longuement analysé, et que nous avons bien compris la nature de l’enjeu c’est : On fait quoi ? Avec qui ? Comment ? Et avec quels moyens ?
    Moi, çà me travaille un peu ! Voilà 40 ans et plus qu’ils nous disent çà va aller mieux …mieux que les 30 glorieuses ? Je n’y crois pas ! A la démocratie, l’économie, la cohésion nationale, le vivre ensemble etc… ? J’y crois plus …On est dans le pétrin et « ils » nous y ont mis et volontairement encore. Alors ce n’est pas eux qui vont nous en sortir.
    Bref je me dis qu’au Bataclan nous devrons  apporter une réponse et qu’ils devront REPONDRE à la réponse …non mais !
    Ou alors bon çà va chauffer de chauffer comme ils disent à Marseille ...les explications c'est dépassé on veut de l'action et pas n'importe laquelle

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/
    13 09 18

  • Faut-il détruire Carthage ?

    Volontairement je n’ai pas répondu "correctement"  aux interrogations de notre ami Daniel Schall qui nous disait  : « Faut-il détruire Carthage ». Je n’ai pas voulu, une nouvelle fois, me lancer dans des explications sur les « interactions », les "rétroactions" et autres " fead-back positifs ou négatifs".

    Ces mots Caton les répétait inlassablement au Sénat Romain sur les dangers de laisser la puissance punique se développer.
    Tant est si bien qu’il terminait toutes ses interventions, (peu importe le sujet !) par cette célèbre formule: « Il faut détruire Carthage » (Carthago delenda est dans la langue de Tite-Live).

    A l’inverse, Scipion Nasica, sénateur n’ayant pas vraiment l’esprit guerrier, concluait ses propres discours en prônant l’exact opposé (« nihil temere faciendum )
    Caton parvient à convaincre le Sénat d’agir grâce à… une figue. En effet, il présente une figue fraîche aux Sénateurs: « Sachez qu’elle a été cueillie il y a trois jours à Carthage: voilà à quelle proximité nous sommes de l’ennemi! » Cette petite mise en scène suffit, suivant la légende, à décider de la troisième guerre punique.

    En 2002, « Il faut détruire Bagdad » était une phrase qui revenait régulièrement dans la bouche des dirigeants américains. Le 5 février 2003, juste avant la déclaration de guerre à l’Irak, le secrétaire d’État américain Colin Powell ne brandit pas de figues devant les caméras, lors de l’Assemblée générale de l’ONU.
    Non, il leur préféra une version plus moderne: une fiole!
    Et cette fiole, affirma-t-il au monde entier, contient de l’anthrax, produit massivement en Irak. Il confessera plus tard que son contenu était en fait inoffensif.

    Ce fut le cas ensuite avec la Lybie, la Syrie ! Il se trouve toujours un Caton qui appelle à détruire …ceux qui ne nous veulent directement aucun mal …principe de précaution parait il.

    Rappelons-nous qu’il ne fallut pas beaucoup de temps pour que Rome fût détruite à son tour par les barbares et que les barbares sont à présent au Bataclan et dans nos rues !
    Le cheval de Troyes est en place depuis un bon moment et n’attend que le moment propice pour agir !

    Alors peut être faut il suivre l’avis de Poutine, plutôt que celui de BHL, et rechercher activement quels sont les vrais ennemis de l’Occident. Commencer par regarder du coté de l’Arabie Saoudite, du Qatar, du Koweit, des Emirats, de la Turquie etc.

    Mais surtout ne faut il pas se préparer à défendre activement et sur TOUS les plans NOS territoires ? Et bien entendu régler au plus vite la question de leurs soutiens et complices objectifs au sein même de l’Occident !

    Francis-claude Neri
    http://semanticien.blogspirit.com/
    04 09 18