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Le grand remplacement - Page 60

  • Nicolas Sarkozy se moque de la France.

    Il est en service commandé, aux ordres de l'empire américain décadent.

    Pour comprendre cela, il n'est pas nécessaire de se livrer à de vastes investigations; il suffit de lui demander ce qu'il pense du traité transatlantique sur :
    La déréglementation
    Les droits de douanes
    Les investissements 

    Et ce qu'il pense aussi de cela :
    Turquie: Prison requise pour avoir reproduit "Charlie Hebdo"
    Le procureur d’Istanbul a requis mercredi quatre ans et demi de prison contre deux journalistes turcs qui avaient illustré leur éditorial d'une caricature du prophète Mahomet extraite de Charlie Hebdo.

    Veut-il comme son ami Obama que la Turquie entre dans « leur Europe » ?

    Pour nous citoyens Français et Européens, il n’est finalement que deux questions qui conditionnent notre survie en temps que peuple et en temps qu’individus chérissant une certaine forme de « liberté » :

    Comment contrer l’offensive Américaine ?
    Comment stopper puis inverser les flux migratoires ?

    Quitte à adopter une juridiction supranationale pour la régulation, les litiges, les sanctions. 

    Pour cela, nous avons à nous débarrasser de Hollande et empêcher Nicolas Sarkozy de remettre çà !

    Francis NERI
    12 04 15

  • Insight et transfert

    Dans mes séminaires de formation à la communication, qu’elle soit managériale, pédagogique ou thérapeutique, j’ai toujours rencontré, outre la notion de transfert (relier pour mieux comprendre), celle d’insight (en psychologie, l’insight est la découverte soudaine de la solution à un problème sans passer par une série d'essais-erreurs progressifs).

    J’essayais de détecter parmi les « apprenants » ceux qui, avant toute prise de « connaissance » avait ce désir de « théorie intégratrice », qui avaient envie d’ordonner leurs idées pour en faire une représentation cohérente qui leur ferait plaisir en agençant des connaissances qui associeraient la raison et la passion au sein de leur cerveau pour commencer, puis passer au groupe et enfin à l’espèce.

    Mais comme dit Cyrulnick « celui qui aime l’éther des pensées abstraites a du mal à s’entendre avec celui qui préfère la boue du terrain » et, la notion de régulation, de contrôle et de remédiation est loin, bien loin, d’entrer en « vulgarisation ». 

    Au contraire, ceux qui en ont compris l’intérêt gardent jalousement leur « révélation » pour ne l’utiliser qu’à leur bénéfice personnel et celui de leur caste.

    Bref devenir un praticien – c'est-à-dire qui relie le concept et la pratique et fait sans cesse l’aller-retour, n’est pas donné à tout le monde, alors j’ai renoncé à l’enseignement, j’en avais assez d’attendre l’élève idéal qui s’intéresserait à l’approche systémique pour résoudre les problèmes rencontrés au cours de son existence et dans ses relations avec les autres.

    Je suis devenu adepte de l’idée : « quand l’élève est prêt, le maître arrive ».

    Et j’attends depuis un bon moment, tout en descendant de temps en temps de mon arbre pour voir si çà évolue un peu en dessous.
    Tient çà me fait penser à François Paganel ! 

    L’insight est donc la découverte soudaine d'une solution qui ne devient apparente que par une réorganisation des éléments du problème. 

    Qui signifie en psychologie moment privilégié de prise de conscience.

    Mais je suis un mauvais psychologue. Je suis toujours victime du transfert et je me réorganise au lieu de réorganiser l’autre ! La faculté semble intransmissible: je ne puis avoir d'insight que de moi-même.

    Alors je suis allé voir du coté du marketing pensant au moins y gagner ma croûte !         

    Dans ce domaine, le terme d'insight a une définition tout à fait différente qu'en psychologie et les transferts s’effectuent au pas de charge.

    L'insight est dans ce cas l'expression d'un besoin du consommateur donc, d'une "demande" dont l'entreprise ou le marché choisira ou non de se saisir.

    J’ai tenu un certain temps, je supportais l’idée de « répondre à un besoin » mais « ils » ont commencé à me demander de « créer » le besoin, n’importe quel besoin et d’y répondre par n’importe quel moyen.
    Vendre une maison par exemple à un couple endetté tout en sachant qu’il ne pourra jamais la payer et que la banque pourra la revendre aussitôt qu’elle l’aura saisie.
    La crise des « subprimes » vous connaissez non ?

    Mais moi, j’avais rompu depuis longtemps avec ces pratiques. Je n’étais plus Directeur Marketing ou Gérant d’une importante société, j’étais retraité et je militais avec force depuis les années 80 pour faire partager l’idée que le Système étant ce qu’il était il était vain de vouloir le changer, c'est-à-dire de faire simplement un peu plus de la même chose.

    Un peu plus d’Europe, un peu plus de mondialisation, un peu plus de multiculturalisme, un peu plus d’immigration, un peu plus de marchandisation du monde.

    J’ai compris que nous n’en sortirions que par le haut, c'est-à-dire par la régulation, le contrôle et la remédiation en permanence et sur les grands axes qui régissent notre devenir individuel, de groupe et de l’espèce :        

    • L’économie et la finance
    • L’exploitation et l’utilisation des matières premières
    • L’exploitation des terres agricoles et des océans
    • La démographie
    • L’instruction, l’éducation, la socialisation des peuples 

    Nous sommes un petit groupe à penser qu’en France, le Front National de Marine Le PEN peut porter ce projet.
    Il est le seul capable de remettre en cause la mondialisation libérale et consumériste, le seul à rapprocher écologie et remédiation du système d’exploitation de la planète, le seul à vouloir mettre fin à un multiculturalisme inconscient destructeur de notre mémoire, de notre identité, le seul à vouloir une Europe des peuples et non pas une Europe des marchands.

    Bien entendu Marine Le PEN n’exprime pas (pas encore) ces concepts sur le plan global, ce serait utopique que de vouloir inciter l’Allemagne, Angleterre ou les USA à mettre un bémol à leur hégémonie qui nous détruira à moyen terme. 

    Et ce n’est ni l’UMP, ni le PS, ni Europe Ecologie les Verts qui nous y aideront. Ils ont tous les trois, intérêt à maintenir leurs pratiques en bon état de marche.
    Et les autres souverainistes n’ont aucun moyen actuels d’accéder au pouvoir pour mettre en pratique leurs idées, aussi « bonnes » soient elles.

    Nous devons donc penser – fortement – et en terme d’influence sur le PROJET du F.N. et être aussi nombreux que possible pour exercer cette influence.
    Nous sommes quelques uns à vous y inviter et je me fais leur porte-parole. Vous pouvez nous rejoindre sur ma page face-de-bouc, sur le groupe « des systémiciens pour la liberté » ou sur mon blog : « Le systémicien ».

    Notre intention est de développer une communication sécurisée qui permette de développer le concept et de le mettre en pratique sur le terrain.

    A bientôt !

    Francis NERI

    01 04 15       

     

  • NOSTALGIE

    Nostalgie : définition dictionnaire français (1) ­ tristesse due à l'éloignement de son pays natal, regret pour le passé (2) ­ regret, mélancolie, tristesse, spleen, mal de vivre, mal du pays.
    Connaissez­ vous des FSE nés en Algérie française, tristes, mélancoliques ou ayant le mal du pays (surtout, tel qu’il est devenu aujourd’hui) ? Non.
    Connaissez-­vous des FSE nés en Algérie Française en colère contre les gouvernants français ? Oui. Partout. Même ceux qui ont refusé la France comme terre d’exil et qui ne vivent pas le quotidien qui nous est imposé par ces gouvernements de gauche. Valls s’est, encore ce week-end, illustré par des paroles dangereuses – il n’en finit pas, on a eu l’apartheid, le ghetto et, maintenant, la nostalgie de l’Algérie française ! ­

    À Valls, donc, nous répondrons que la nostalgie n’est plus ce qu’elle était. Il faudra en changer la définition ou alors reconnaître, une fois pour toutes, que les Français d’Algérie ne sont pas des nostalgiques. Mais qu’ils continuent, oui, d’être très en colère contre les dirigeants de ce pays depuis De Gaulle et, surtout, contre ce dernier président et son premier ministre. Parce qu’ils refusent de rétablir la vérité dans l’histoire de la guerre d’Algérie. Parce qu’ils veulent préserver, à tout prix, les immigrés musulmans et, en particulier, ceux venus d’Algérie.

    Ainsi donc, nous, FSE de l’Algérie française, nous ne devons pas dire la vérité pour qu’ils puissent, eux, continuer de la transformer de la manière la plus mensongère. Mais quelle mouche l’a piqué à Valls ?

    C’est Robert Ménard, le maire de Béziers. FSE, né à Oran, Ménard n’a pas froid aux yeux et il a défié le Valls et toute sa clique de socialo­communistes en débaptisant une rue à la gloire des communistes et des algériens contre une autre dédiée à un valeureux soldat français. Et tout ça, devant une assemblée de deux mille personnes venues spécialement pour l’occasion. Va y avoir une fatwa sur Robert Ménard, c’est sûr ! Mais ce ne seront pas les islamistes qui la lanceront, ils ont été devancés par nos gauchistes patentés, accrochés à leurs mensonges comme une arapède à son rocher.

    En effet, les voies dans nos villes et nos villages peuvent se parer de la fausse information qui tend à imposer la fin de la guerre d’Algérie au 19 mars 1962 quand nous savons, pour l’avoir vécu et les militaires du contingent aussi, que, jusqu’en 1963, la France étant toujours là­ bas, les assassinats et les enlèvements de Français par les algériens, ont redoublé pendant cette période. Ce que ces gouvernants ne disent pas, par contre, c’est qu’ils ont refusé de protéger les vivants et ont refusé de rechercher les disparus – certainement vivants encore à ce moment ­là et qu’ils refusent toujours de reconnaître qu’ils nous ont abandonnés aux terroristes algériens qui s’en sont donnés à cœur joie, massacrant tous ceux qui pouvaient avoir un quelconque rapport à la France, fut ­ce seulement le teint de leur peau.

    Donc, pour ces gens de gauche, que fleurissent, dans les villes et villages de France, des rues aux noms des terroristes FLN, ne les dérangent pas ; au contraire, ils encouragent les municipalités à le faire. Ce matin, encore, le ministre de Valls, Cazeneuve, ne vient­ il pas de dire avec le plus grand sérieux : « Il faut rester dans la mémoire de ceux qui sont tombés sous le feu des terroristes ».
    Mais pas nous ! Nous, on n’a pas le droit de rester dans la mémoire de ceux qui sont tombés en Algérie.

    Parce que nos morts n’ont pas de mémoire. Ils étaient vides, ils étaient creux. Ils sont morts, point final. Il est vrai que nos morts ne sont pas tous tombés sous le feu..., ils sont, plus souvent, tombés sous les couteaux des terroristes égorgeurs. Sous leurs bombes, aussi.
    Et ces terroristes ­là, sont devenus des héros pour Valls et compagnie. Au point qu’on baptise même des rues de France à leur nom. A l’inverse les combattants de l’armée française et les civils
    qui ont perdu la vie en Algérie française doivent tomber dans l’oubli. Ils dérangent ces messieurs, aujourd’hui, vous comprenez ! Et on ne devrait pas en ressentir de colère... Pfff ! Nous ne sommes que d’odieux nostalgiques, dangereux fouteurs de merde, qu’ils disent.

    De même, quand on entend le franco ­espagnol, Valls, né en août 1962 dans sa Barcelone catalane, nous donner des leçons de patriotisme français, ça nous fait grincer des dents. Il a dit, lors de son déplacement très médiatique à Saint­ Brieux, que : «la nostalgie de l'Algérie française n'apporte rien de bon». « Le FN n'aime pas la France, c'est rance, c'est triste ». Parce que, selon lui, nous aurions eu besoin du Front National pour nous dicter ce que nous devons penser ou faire, depuis 53 ans ? À moins qu’il n’ait voulu dire que ce sont les FSE, Français d’Algérie de Souche Européenne, qui sont rances et tristes ?

    Alors, on répond à ce catalan, qu’il était encore dans le ventre de sa mère quand nous étions en train de nous faire égorger et depuis huit ans, par les terroristes algériens du FLN et ses acolytes de gauche qui leur fournissaient armes, bombes et argent. On lui rappellera, aussi, que de l’Algérie et de la politique arabe de la France, il n’aura appris d’autre que ce que son mentor, Rocard, porteur de valises, lui aura enseigné. Et plus pro arabe que Rocard, tu meurs ! Quant à la nostalgie qu’il nous prête, on lui conseillera de se renseigner sur le nombre d’espagnols nostalgiques du régime du Caudillo, ils sont légion ; ou encore, la nostalgie de ses frères catalans entrés en rébellion et qui finiront par obtenir leur sortie de l’Espagne dont ils ne veulent plus.

    Comment voulez­-vous que les Français d’Algérie, fidèles à la France et patriotes au point de perdre la vie pour elle, puissent accepter les paroles de cet énergumène, devenu Français il y a, à peine, 30 ans, quand nous étions, depuis quatre à cinq générations, des Français vivant en Algérie ?
    Au nom de quoi, cet immigré espagnol, devrait avoir le droit de dénigrer un valeureux soldat français, décoré de la plus haute distinction par un président de la République française ?

    Parce que cette gauche arabisante et déjà soumise à l’islam, ne retiendrait, de Hélie Denoix de Saint Marc, qu’un partisan de l’OAS.
    OAS qui, d’ailleurs, combattit plus De Gaulle et ses barbouzes que les arabes du FLN. Pour les lecteurs qui ne connaissent pas l’histoire de la guerre d’Algérie, l’OAS a vu le jour en avril 1961 quand les terroristes du FLN frappaient la France et les européens français, depuis 1954, c’est tout dire. Hélie de Saint Marc, puisque c’est de lui dont il est question, fut un résistant de la première heure. C’était en 1941 dans la région bordelaise. Dénoncé à la frontière espagnole (tiens !) il est fait prisonnier et déporté au camp de Buchenwald où il fut retrouvé, mourant et amnésique, par les américains venus les délivrer. Dans la Légion Étrangère, il s’est honoré sur tous les fronts où la France a livré bataille et principalement en Indochine et en Algérie. Il s’est couvert de gloire et, pour cette raison, a été fait Grand ­Croix de la Légion d’honneur par Sarkozy à l’âge de 89 ans.

    Mais, ces bien pensants de gauche tous unis, ne veulent voir en cet Homme courageux, que son ralliement au putsch des généraux, refusant les ordres de De Gaulle qui avait ordonné l’abandon des Harkis. Et c’est pour sauver ses hommes, tous musulmans, pour ne pas les laisser aux mains des tortionnaires égorgeurs du FLN à qui De Gaulle les livrait, qu’il a été condamné à la réclusion par le grand général, pour désobéissance.

    Valls et consorts sont­-ils, à ce point, antifrançais qu’ils renient ceux dont les faits d’armes les ont honorés au combat portant haut la bannière bleu blanc rouge contre l’ennemi ?
    La gauche, communiste et socialiste, a toujours combattu la France. Ces gens ne cesseront que lorsqu’ils y auront mis les arabes au pouvoir.
    Et nous les FSE, des arabes, nous avons eu notre content. Mais voilà, ce qui gêne considérablement ces politiques de gauche, c’est que nos compatriotes métropolitains en ont assez, eux aussi. Ce sont les sondages qui le disent. Croyez-­le, ils nous ont largement dépassés dans le rejet de l’islamisme et de la dhimmitude de nos dirigeants. Que voilà une belle campagne électorale ! Pour une fois, on n’appelle pas les rapatriés à la rescousse pour gonfler les urnes. Ils nous disent, sans détour : « on ne vous aime pas ! ». Bien reçu, 5/5. À notre tour nous leur répondons : « vous n’aurez pas nos voix ».

    Pour finir, nous dirons :

    À Cazeneuve, que la mémoire de nos morts ne nous a jamais quittés. Et que nous continuerons de les honorer tant qu’il nous restera un souffle de vie.

    Au premier ministre, que sa politique ressemble plus à celle de Franco qu’à celle d’un bon citoyen français républicain ET démocrate.

    Au lieu de considérer tous les citoyens, comme des Français à part entière, il nous considère comme des Français entièrement à part.
    Qu’il retourne donc en Espagne. Il pourra s’y illustrer en Catalogne. Ils ont sûrement besoin de gens comme lui puisqu’il a réussi l’exploit de diriger, un temps, estos cornudos de franceses comme nous appellent les Espagnols.

    Nobeline

    15 03 15