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Le grand remplacement - Page 57

  • Espèces Invasives

    L'introduction, volontaire ou non, de nouvelles espèces dans un milieu peut entraîner des conséquences importantes. Cette nouvelle espèce peut s'adapter, au détriment des espèces indigènes (ou autochtones) et devenir une espèce invasive.

    Cette introduction peut amener d'importants risques écologiques, mais aussi économiques et sociaux.

    Il ne faut pas confondre une espèce invasive, qui vient d'ailleurs, avec une espèce envahissante dont le potentiel de reproduction est important mais qui peut être une espèce considérée avec le temps comme indigène.

    Une espèce invasive met en moyenne une quarantaine d’années à s’implanter dans un milieu, mais ensuite, son éradication devient pratiquement impossible.

    Mais si les espèces invasives apparaissent comme les secondes responsables des extinctions d’espèces dans le monde, c’est précisément parce que près de 80 % de ces extinctions se manifestent dans des milieux, où les prédateurs introduits ont un impact très élevé.

    Récemment, 40 ans environ, une espèce qu’il serait imprudent de nommer ici, particulièrement invasive, toxique même est entrée en France et on s’attend à des conséquences terribles pour la faune indigène.

    Les espèces invasives en effet disposent d’un très fort potentiel adaptatif. Ce sont elles qui se révèlent les plus aptes à vivre dans ce monde que nous avons transformé.

    Les espèces autochtones vont devoir évoluer et s’adapter, rapidement, si elles ne veulent pas disparaître.

    Car ce concept d’espèce indigène, qui s’oppose à celui d’espèce exotique, est une création de notre pensée qui n’a pas deux siècles. La nature, elle, ne discrimine rien.

    Marcel Camus disait que mal nommer les choses, c’était ajouter au malheur du monde.

    Une invasion est une invasion et à en ignorer les conséquences est une faute …mortelle pour l’espèce envahie.

    Francis NERI

    18 07 15

     

  • Persiflons…

    Lorsque quelqu'un vous traite "d'islamophobe" à la moindre critique contre ladite religion (par exemple les frères siamois Todd-Plenel), souriez (vous êtes filmé anyway) et demandez-lui, gentiment (ou c'est l'asile assuré) :
    Pour vous, l'islam, c'est la sharia ou pas ?
    S'il répond oui il est (sans le savoir) islam/iste, s'il répond non, ou s'il dit "pas que" c'est un adepte de l'islam imaginaire qui fait florès dans les pays occidentaux (il y a 40 ans c'était le bouddhisme) mais s'est détaché de l'islam réel (vécu dans les pays dominés juridiquement par lui); accentuez dans ce cas votre sondage (secret) par quelques questions subsidiaires :

    Êtes-vous pour le droit à l'apostasie ?
    Une femme de religion musulmane peut-elle épouser un non musulman  sans lui imposer la conversion (voir ici la réponse p. 135, alinéa 3) ?
    La femme est-elle en droit l'égale de l'homme ?
    L'homosexuel a-t-il droit de vivre sa sexualité ?
    Qui est premier en droit : le régime démocratique ou la loi islamique ?
    Les chrétiens les juifs et les bouddhistes (les agnostiques, animistes) ont-ils le droit d'avoir des lieux de culte, de méditation, à Alger, la Mecque ?
    Sinon, peuvent-ils prier dans la rue en attendant ?
    Êtes-vous prêts à signer des pétitions, manifester, en ce sens ?
    Avez-vous déjà protesté devant l'ambassade d'Arabie Saoudite contre la flagellation de ce bloggeur accusé de blasphème (contre les décapitations de criminels) ?
    Diriez-vous que l'État islamique en Syrie et en Irak c'est le wahhabisme en action ?
    Si oui comment expliquez-vous qu'un Obama, Hollande, Cameron, aient de bonnes relations avec l'Arabie Saoudite et le Qatar qui sont wahhabites?…

    Vous pouvez trouvez ces questions aussi inutiles (qu'un colloque sur l'islam organisé par Les Républicains) puisque l'islamisme (partisan de la sharia) concernerait une "infime minorité" selon nos bien-pensants du Pouvoir (politique, médiatique, scolaire…).
    Ce n'est pourtant pas l'avis d'un Naser Khader, musulman d'origine syrienne que cite Pierre-André Taguieff dans son tout dernier opus Une France anti-juive ? (Mai 2015, CNRS éditions, pp.223-224) :

    " (…) En 2006, au moment de la crise des caricatures de Mahomet, Khader a créé une association au Danemark, "Les Démocrates musulmans", pour lutter contre la domination médiatique des islamistes et convaincre les musulmans que "la démocratie doit venir avant la religion comme principe organisateur de la société". Il sait qu'il est aujourd'hui minoritaire, et que, selon un sondage réalisé il y a quelques années, seulement 20% des musulmans danois étaient d'accord avec ses positions.

    Une enquête d'opinion réalisée en 2008 par le Berlin Social Science Center, portant sur 9000 musulmans et chrétiens dans six pays de l'Union européenne (Belgique, Pays-Bas, Allemagne, France, Suède et Autriche), établit notamment qu'en France 73,2% des musulmans interrogés (d'origine turque et marocaine) considèrent que "les règles religieuses sont plus importantes que les lois" du pays (…) alors que seulement 13% des chrétiens interrogés sont d'accord avec cette proposition. (…)

    À propos de l'appel du président égyptien à une révolution dans l'islam, Kahder déclare : " il faut qu'il aille plus loin. Qu'il explique qu'on ne peut continuer de tolérer que les Juifs soient traités de singes et les chrétiens de cochons dans les mosquées égyptiennes (…)".

    Lucien Oulahbib

    Petit extrait d’une chronique de Lucien. Si certains veulent aller plus loin, voyez sa page ou achetez ses livres... C’était juste un aperçu !

    Francis Neri

    07 06 15

    (Petit tuyau pour notre ami Epicure) : s'il clique sur le lien bleu de Lucien Oulahbib ou le mien, il retrouvra Face de bouc  !  :-)

     

  • Immigration musulmane et Europe

    Il faut remonter au début de l’immigration musulmane, voulue par le patronat et par nos dirigeants, dans les années 70 (immigration contre main d’œuvre et pétrole),  pour comprendre l’étendue de la faute commise par ces derniers.
    Faute lourde dont les peuples n’ont pas fini de payer les conséquences. Les peuples, pas leurs dirigeants à l’exemple de Valérie Giscard D’Estaing et Jacques Chirac qui eux sont au delà de toute atteinte et ne rendront jamais de comptes.  

    Ils n’ont rien, mais alors rien fait pour réussir l’intégration, sinon l’assimilation, non seulement des individus, mais surtout du “culte islamique”. Et encore moins pour en limiter la venue des adeptes sur nos territoires, sous prétexte que nous « ne voulions pas vider les poubelles à Paris » comme le chantait « innocemment » Pierre Perret.

    Bien au contraire, ils ont tout fait pour que ces derniers conservent toutes leurs singularités, considérant probablement que la concurrence entre les peuples de cultures fondamentalement différentes nous rendrait plus dociles.

    L’absence manifeste « d’insertion », dont il fallut bien se contenter, est devenue un obstacle à l’intégration des nouvelles générations de musulmans nés ici, comme celle des primo-arrivants, en compromettant dangereusement la cohésion sociale.

    Ces dirigeants sont donc responsables et coupables, tout comme leurs successeurs, de tout ce qui est advenu et adviendra de nocif pour le peuple, et ce n’est pas tout.
    Ils sont également responsables de la catastrophe, car tout est relié et en interaction, que constitue le développement d’une Europe des marchands mise au service du complexe militaro-industriel américain. Une Europe envers laquelle depuis le référendum de 2005 sur le projet constitutionnel Européen, le peuple de France a manifesté clairement son hostilité.

    Alors comment sortir de l’impasse dans laquelle ces prédateurs nous ont mis et rebrousser chemin afin d’en ouvrir un autre moins fréquenté par les « racailles » de toutes natures ?

    D’abord commençons par nous en débarrasser au plus vite, et ce par tous les moyens.
    Élisons à la place des dirigeants qui s’engagent à nous sortir du rêve Européen devenu le cauchemar des peuples et qui ne produit que du chômage.

    Ensuite, nous pourrons régler le problème de l’immigration Musulmane et Africaine qui ne peut produire que des guerres civiles.

    Alors, si rien ne se passe d’ici là, en 2017 nous avons une nouvelle occasion de prendre conscience que ce monde dangereux EST de leur création comme le montre la situation Libyenne et que nous ne sommes plus à l’abri, car cette situation peut devenir très vite la notre.

    Pensons y constamment, sachons distinguer dans le « bruit » médiatique le « parler vrai » et dans les projets de gouvernance qui nous sont soumis ceux qui portent NOS intérêts et pas ceux des « marchands du temple ».

    Francis NERI
    27 05 15