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Le grand remplacement - Page 61

  • Vocabulaire UMPS

     

    Un texte bien pensé transmis par un ami Facebook  et que je diffuse avec plaisir. Il me semble correspondre à la réalité !

    §

    Les mots Apartheid et Ghetto sont venus s’ajouter, récemment, aux éternels : Discrimination – Victimisation.

    La liste employée est longue chez ces gens-là donneurs des leçons de morale. Ne viennent-ils pas de réinventer la mixité sociale ?

    Si nous leur rappelions la réalité ?

    Dans les programmes de construction de grands ensembles d’il y a quarante-cinquante ans, on compte un certain nombre de logements dits sociaux, gérés par les mairies ou les offices de HLM, les autres étant la propriété des promoteurs de ces monumentales et, parfois, hideuses cités.

    Qui achetait et qui louait ?

    -Il y avait ceux qui acquéraient pour en retirer un revenu locatif.

    -Beaucoup de Français de souche européenne (nous les nommerons, ici, FSE) se sont endettés, souvent, pour acquérir leur résidence principale. Ils devenaient propriétaires d’un appartement hypothéqué par les organismes bancaires. C’est à l’époque de Giscard que les premiers prêts conventionnés ont été créés pour inciter les citadins à migrer en milieu rural, souvenez-vous.

    -Et il y avait ceux qui n’avaient pas les moyens d’acheter mais pouvaient obtenir, par les municipalités, un logement en location à prix honnête, plus confortable que ceux dans lesquels ils vivaient, souvent à l’étroit et dans des cadres pas si odieux que cela, avec parc ou jardin d’enfants, desservi par des transports en communs, proches des écoles et des commerces, etc…

    Cela faisait le bonheur de tout le monde tout en permettant de désengorger les villes et les FSE, locataires et propriétaires, vivaient en bonne intelligence.

    Mais voilà que la politique du regroupement familial des mêmes Giscard et Chirac change la donne.

    Il faut loger les milliers de familles immigrées venues rejoindre le père ou le frère ou le grand père venues des pays d’Afrique subsaharienne ou du Nord. (Nous les nommerons FSA et FSNA, ici).

    Que s’est-il passé dès lors que les portes de ces cités radieuses leur ont été ouvertes ? Ils se sont regroupés en fonction de leur pays d’origine, de leur culture, voire même, de leurs villages ou de leurs clans familiaux, aidés en cela par nos services sociaux et associations de gauche qui voyaient, là, une manière d’apaiser l’éloignement du pays. Il est bien connu que lorsque une famille FSA ou FSNA arrive dans un quartier, un bâtiment ou un village, dix tentent de les rejoindre jusqu’à obtenir leurs places aux côtés des premiers arrivés.

    Sauf que… Réunis, ils ont continué à vivre comme dans les douars ou les villages africains, imposant aux FSE leurs us et coutumes, leurs familles nombreuses et tout ce qui va avec.

    Peu à peu, les FSE ont déserté ces cités et ont été, systématiquement, remplacés par les FSA et FSNA toujours demandeurs, qui y trouvaient leur compte. Et nos cités radieuses se sont vite transformées en cités de la joie… façon Calcutta, hideuses à souhait.

    Aujourd’hui, Valls parle d’apartheid. Il est fou. Nous ne les avons jamais regroupés ni maintenus à part.

    Ils se sont installés, mixés, volontairement et ils ont, eux-mêmes, créé leurs ghettos. Alors, quand nous l’entendons parler de la mixité sociale à recréer, ça peut faire rire certains ou faire froid dans le dos des FSE en demande de logement social.

    Quant à croire et faire accroire qu’ils sont défavorisés, discriminés parce que réunis dans ces cités, il y a une énorme mauvaise foi patentée de la part de ces politiques puisque ce sont ces immigrés, eux-mêmes, qui l’ont voulu ainsi.

    Les FSE ne font plus, depuis longtemps, des familles nombreuses. Dans leur culture, deux ou trois enfants sont le maximum qu’elles puissent élever décemment… et encore !

    A l’inverse, les familles FSA et FSNA ne connaissent que peu ou pas la contraception que ce soit par conviction religieuse ou non. Elles forment, en moyenne, des familles comptant six enfants voire plus.

    Il en est résulté une surpopulation dans ces cités où la jeunesse grouille d’ennui dès que la scolarisation n’est plus obligatoire. Et quand des jeunes s’ennuient, ils font n’importe quoi.

    On l’a pu constater, dans les cités périphériques des villes de France, cela va du trafic de drogue au commerce des armes en passant par les vols à l’arraché ou les vols par effraction jusques et y compris les assassinats et autres règlements de comptes que la France connait depuis quelques années.

    Il est évident que, aujourd’hui, dans ces cités, les gens vivent mal. Le sentiment de victimisation que les bienpensants leur ont inculqué en a fait des rebelles repliés dans des zones incontrôlables appelées, aussi, zones de non droit. La situation internationale ne faisant rien à l’affaire, les apprentis terroristes s’y sont multipliés là où les recruteurs rencontrent un terreau fertile.

    Ceci est la réalité. Alors, qu’espère donc obtenir notre gouvernement de gauche en prônant le retour à la mixité sociale, sauf à dépenser plus d’argent que la France n’en a les moyens ?

    Aucun FSE, fut-il le plus pauvre, n’acceptera d’élever ses enfants dans des cités - même neuves - qui deviendront, en très-très peu de temps, des poubelles, ce qu’elles sont aujourd’hui.

    Nombre de familles FSA et FSNA ne veulent rien entendre, non plus. Elles se sont assimilées et ne veulent, pour rien au monde, mélanger leur progéniture à ceux-là. Elles n’ont pas tort, on ne les protège jamais assez.

    Mais alors, exiger de construire de nouveaux logements sociaux, les imposer à d’autres villes, d’autres endroits, sous peine d’amendes comme ils le préconisent, ne pourra jamais être la solution. On voit bien, d’ici, ce que donnerait un tel programme. Refouler plus loin, encore, les FSE et les familles assimilées qui fuiront ces quartiers, ces villages et nombre de demandeurs de logements sociaux, FSE ou autres, qui refuseront de cohabiter avec les familles FSA et FSNA fortes de l’exemple qui leur est, tous les jours, démontré.

    Le résultat est que ce programme, souhaité par la gauche au pouvoir, ne fera qu’étendre les zones de non droits au lieu de les faire disparaitre.

    Nous ne sommes pas en face d’un problème social mais, bien, d’un problème crucial qui est d’ordre culturel et cultuel.

    Et il perdurera tant que la gauche continuera de refuser d’admettre qu’un FSA ou un FSNA n’est pas un occidental et qu’ils refusent, dans leur grande majorité, de s’intégrer ou de s’assimiler.

    La question à se poser est : Faudra-t-il un jour, séparer les villes d’immigrés des villes de FSE comme elles existaient, plus ou moins, dans les anciennes colonies françaises ?

    C’est, pourtant, ce qui existe depuis plus de trente ans mais les gens de gauche et les bienpensants ne veulent pas le voir. Dans toutes les villes françaises, nous avons les cités en majorité maghrébines et africaines ou ce qu’on appelle, les quartiers arabes. Des endroits où, seuls, de rares FSE cohabitent avec eux. Sauf que le grand banditisme et le terrorisme y sont en développement constant. Ajoutez à cela qu’ils y règnent en petits caïds et que, du simple commerçant FSE aux forces de l’ordre, interdiction leur est faite de s’installer ou s’approcher de « chez eux » sous peine de graves sévices.

    Aucun de nos présidents antérieurs et, encore bien moins, ce dernier en exercice, n’a cherché à faire comprendre à ces immigrés qu’ils n’étaient pas des citoyens exceptionnels. Au contraire, ils ont fait preuve d’un laxisme et d’une lâcheté (politique avec les pays arabes, oblige) envers leur incivisme et, même, leurs crimes qui les a confortés dans le sentiment qu’ils étaient intouchables.

    Face à cet état de fait, il faut chercher à résoudre le problème avant que nous ne soyons totalement submergés.

    La République, une et indivisible, est la seule solution au problème. Qu’ils vivent entre eux, si ça leur plait mais en respectant les Lois de la République Française. Tant qu’il y aura deux poids deux mesures qui séparent bien plus ces communautés des Français républicains que la mixité sociale, nous ne pourrons jamais vivre ensemble. Parce que La Loi doit s’appliquer à tous ceux qui vivent en France.

    Alors, que restait-il à ces politiques, de leur esprit du 11 janvier, guignolesque à souhait, pour se maintenir à flot ?

    On savait qu’il y avait une manipulation flagrante de leur part et que leur retournement de veste allait s’opérer rapidement. Mais le scrutin à venir les a obligés à se dévoiler plus vite, encore. Après ces crimes racistes que les Français ont vécus et la pantalonnade socialo du 11 janvier, il leur fallait récupérer les voix potentielles de ces communautés pour éviter la débâcle amorcée et celle de la droite, aussi.

    Que pouvaient-ils offrir, en échange, à ces électeurs-là ? Des paroles… oui, ils n’en manquent pas. Mais il fallait des (projets d’) actes pour essayer de convaincre les zonards et autres immigrés de leur faire confiance. Comme ils ne sont jamais à court de mensonges, Hollande et Valls, pour ne nommer qu’eux, ont pondu la mirifique mixité sociale à venir après avoir dénoncé un apartheid sorti de leur esprit mytho maniaque et les ghettos devenus, pour l’occasion, musulmans.

    Ce qui est infiniment plus grave et doit nous faire réagir rapidement c’est qu’ils sont bien capables de mettre leur projet à exécution ; ils ont encore deux ans pour le faire. Il en résulterait l’extension des zones de non droit dans nos villes et nos villages, surprotégées comme ils le sont aujourd’hui, par une ministre de la Justice, garde des Sceaux faisant preuve d’une affection particulière pour les rebelles et autres indépendantistes antifrançais.

    Français, FSE ! Il n’y a plus une minute à perdre. Si nous voulons sauver notre République, si nous voulons sauver la France, votons vite et bien, dès ce 22 mars.

    Nobeline

    Sud de la France .

     

  • Islamisation

    En France et en Europe au nom de la liberté, nous avons favorisé l'installation de l'Islam, une société totalitaire, c'est à dire qui prend en charge l'existence "totale" de chaque individu, privé et public mêlés. 

    Au nom du primat de l'individu, nous avons fait le lit d'une organisation holiste qui ne connait que la "soumission" de ses membres à la loi de Dieu ; au nom de la République, nous avons déconstruit la France ; au nom des droits de l'homme nous avons érigé un Etat dans l'Etat.
    Pour "intégrer" l'Islam, il faudrait que la France renonce à mille ans d'histoire, renie Philippe Le Bel, Richelieu, Louis XIV, Napoléon, De Gaulle ; nous passerions peu à peu d'une société multiethnique à une société multiculturelle qui deviendrait multiconfessionnelle à la manière libanaise ! Et nous savons ce qu’il est advenu du Liban ! 
    La marque du refus irréductible de l'Islam de se fondre dans le creuset français en fait un farouche ennemi allié à la gauche internationaliste et aux libéraux mondialistes pour contraindre la France à s’autodétruire.
    Il est temps de les combattre sans faiblesse !
    Faisons confiance à Marine Le Pen pour cela ; il n'y a de toute façon pas d'autre alternative !

    Francis NERI

    23 02 15

     

  • Algérie, colonisation pétrole et humiliation.

    Une chance pour la France ?
     
    Au moins en Algérie avions-nous apporté des bienfaits qu’elle n’avait jamais connus avant nous : les routes, les chemins de fer, l’électricité, le téléphone, les hôpitaux, l’amélioration sanitaire de la population, etc. Je crains que les Algériens qui sont chez nous ne soient fiers que d’avoir ramené leur fraise ! On dit d'ailleurs toujours, sur un ton approbateur, des Arabes que ce sont des gens fiers. Fiers de quoi ? Question à ne jamais leur poser.
    C’est à nous qu’on demanderait des justifications dans ce cas-là. Jamais à eux ! Eux sont fiers. Point final. Leur fierté se suffit à elle-même.

    Ils sont fiers d’être fiers. Si fiers d’ailleurs que, comme tu as pu le constater, tout leur est motif d’humiliation et de ressentiment. Chez nous on appelle cela vanité. Parce que la vraie fierté, la vraie dignité, est d’assumer ses choix et de se prendre en charge et non pas de se carapater de son pays, surtout quand on approuve que celui-ci ait commis tant d’atrocités et de crimes pour devenir indépendant.

    Tout, absolument, tout, leur est humiliation. Même les guerres gagnées, comme celle d’Algérie. Qui aurait dû se sentir humilié d’avoir dû capituler comme en rase campagne, sous la pression des Américains et des Russes qui voulaient se faire bien voir d’un pays riche en pétrole, alors que nous avions gagné la guerre au moins sur le terrain ? Nous, bien sûr : les Français, les vaincus. Eh bien pas du tout. Ce sont eux les Algériens vainqueurs qui ne cessent de nous bassiner avec leur « humiliation ».

    L’Occident a rendu les Arabes fabuleusement riches grâce au pétrole qu’il a « inventé » et qu’ils lui vendent chèrement quand ils ne s’en servent pas comme moyen de chantage contre lui. Or qui se sent humilié ? Les Arabes,encore et toujours. Ils couvent et cuvent leur humiliation sur leur tas d’or noir.

    Pourquoi "inventé" le pétrole ?

    Parce que toute la technologie sans laquelle le pétrole ne serait resté qu’un sédiment rocheux stérile a été inventée et fabriquée par les Occidentaux « de souche », que les gisements ont été découverts par eux et que, en somme, le pétrole n’existe que par eux. C'est un cadeau royal qu'on a fait aux Arabes, en particulier aux Algériens, puisque l'indépendance est intervenue à peine les installations pétrolières en état de fonctionner. Nous n'en n'avons même pas profité. Un double cadeau même. En effet, les régions pétrolifères du Sahara n’appartenaient pas à l’Algérie, vu que ce pays n’a jamais eu d’existence ni comme nation ni comme Etat avant 1962. Merde, à la fin!

    L'Algérie n'a en effet jamais eu d'existence avant l'indépendance. C'est une pure création de la colonisation

    Mais alors pourquoi nous reproche-t-on d'avoir ravi la liberté à un pays qui n'existait pas? Bonne question qui n'est ni ne sera jamais posée. Quant au Sahara, il appartenait au moins autant au Nigéria, au Mali et au Maroc. C’est la France qui l'a rattaché à l'Algérie, département français à l'époque, et c’est l’Algérie qui en a hérité. L'Algérie nous doit de ce fait ses richesses et jusqu'à son existence ! Eh oui, ce pays nous doit tout mais prétend nous interdire de le signaler émoticône grin

    Quoi qu'il en soit, l'humiliation, justifiée ou non, n'a jamais empêché de se retrousser les manches et de se mobiliser les neurones. Au contraire. Prends le Japon. Il n'a pas été humilié, le Japon ? Il avait perdu la guerre et reçu deux pruneaux nucléaires des Etatsuniens qui l'ont occupé pendant plusieurs années.

    Dans un état épouvantable après la guerre, il ne possédait, lui, NI pétrole NI aucune autre richesse minière importante sur son sol. Malgré ça, tu as vu ce qu'il est devenu en quelques dizaines d'années ? LA DEUXIEME PUISSANCE ECONOMIQUE MONDIALE ! Et il faudrait croire à l'égalité des peuples ?

    Au reste si la misère et l’humiliation étaient des excuses valables, alors il faudrait excuser les Allemands d’avoir été nazis car eux aussi les ont connues et, contrairement aux Arabes, en grande partie par notre faute à cause du traité de Versailles.

    Qu’il existe des Arabes et des "musulmans modérés" (il serait plus exact de dire des gens modérément musulmans, vu les prescriptions explicites des versets médinois), qui ne feraient pas de mal à une mouche, c’est l’évidence. Toutefois les as-tu souvent entendus ou vus manifester contre les crimes atroces de leurs coreligionnaires ?

    - Non, pas vraiment.
    - Ce sont surtout ces crimes qu'ils condamnent avec "modération", plutôt que de s'en indigner sans ambiguïté. Et puis qu'ils soient la majorité, après tout, on n’en sait strictement rien. Ce n'est qu'un préjugé favorable car on ne peut sonder le coeur ni l’esprit d’un milliard et demi de personnes. Pas même de six millions. *On ne peut que s’en tenir aux apparences et les apparences révèlent que la violence est plus grande dans les sociétés arabo-musulmanes que dans les autres*.
    D’ailleurs cette notion de minorité ne veut rien dire : ôte les femmes, les jeunes enfants, les vieux, les malades et les infirmes, il ne reste toujours qu’une minorité violente, même dans les sociétés qui le sont le plus.
    En réalité, le problème n’est pas de savoir si seule une minorité est ceci ou cela, mais si sa proportion est plus importante que dans la plupart des autres cultures. D’ailleurs on peut se demander si les identités culturelles ne sont pas imprimées, déterminées, par des minorités significatives. Par exemple, les savants et les chercheurs sont très minoritaires en Occident par rapport à la population, pourtant cette minorité est infiniment plus importante en proportion que dans tous les pays non occidentaux, musulmans en particulier. Elle est donc significative de la culture occidentale.

    Les féministes aussi ne sont qu’une minorité en Occident, mais cette minorité est plus importante en proportion que dans tous les autres pays. Elle est donc significative aussi de la culture occidentale.

    On dit par ailleurs que les immigrés d'Afrique du Nord ou subsaharienne sont une chance pour la France, une richesse. Que n’ont-ils choisi alors d’être d’abord une chance pour leur patrie d’origine qu’ils aiment tant et que n'y retournent-ils pour l'enrichir!
    Quelle chance pourraient-ils être pour une France qu’ils détestent alors qu'eux ou leurs pareils ont plongé les pays qu’ils vénèrent, pays très riches je le répète, dans la faillite ?

    Quels sont d'ailleurs les pays de jeunes qui ne sont pas dans le gouffre ? Ce sont les pays de vieux qui sont inventifs, créatifs et dynamiques et ce sont les pays de jeunes qui sont dans la misère économique, intellectuelle et morale ; une misère si grande que la jeunesse ne pense qu’à fuir vers les pays de vieux.

    Contrairement au cliché à la mode, une population jeune est davantage un handicap qu’un atout. Du reste, leurs récriminations permanentes s’accommodent mal de cette idée qu’ils seraient une richesse. Au contraire, ils apparaissent bien plus incapables que les étrangers venus avant eux et qui ont su s’en sortir sans jamais rien demander, là où eux en veulent toujours plus, n’en n’ont jamais assez pour un résultat globalement affligeant. Pour le moment, la richesse, c’est nous qui la dépensons pour eux. L’argent que la France met dans ces banlieues des deux Afriques est pharamineux. Ces quartiers et les établissements scolaires qui en font partie regorgent d’aménagements de tous ordres pour occuper les "jeunes". Mais au lieu de s’en réjouir, ils les démolissent ou les brûlent, et après, comme pour les HLM, se plaignent que rien n’est fait pour eux.ation

    Désolé. C’est plutôt la France qui était une chance pour eux. Une chance qu’ils ont lamentablement ratée. Au fait, comment se fait-il que ceux qui en France vantent avec le plus d’enthousiasme cette « richesse » issue de l’Afrique, sont les premiers à s’en tenir soigneusement à l’écart ?
    Pour en laisser généreusement le voisinage au populo ?

    François Paganel