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Liberté d'expression - Page 51

  • Agonie de la culture

    Depuis des années, je me consacre - plusieurs vont dire "de manière exagérée" - à l'histoire de l’islam, ses véritables débuts. Dans le cadre de ces recherches, mon intérêt principal, voire unique , se trouvait concentré et continue à être accaparé par une seule question : Comment se fait-il que cette doctrine, se concevant au début que rien d'autre qu'un mouvement "réformateur" , a réussi à conquérir tant de pays qui, avant, faisaient partie des empires romain/byzantin ou perse avec la rapidité de la foudre ?

    Manfred Krause à Stéphane Le Couëdic

    Stéphane Le Couëdic Un beau parcours... mes lectures m'ont conduit à penser que la religion n'a pas eu un écho aussi important, qu'elle semblait plus un prétexte... puis que, la conquête aidant, les chefs militaires et politiques y virent un excellent outil pour assurer ses conquêtes de plus en plus étendues... c'est ce qu'il me semble avoir compris... après, on travailla avec les moyens du bord à fabriquer un texte qui tienne la route, l'actuel Coran, que même les analystes musulmans semblent avoir du mal à bien comprendre... l'araméen semblerait être une clé de décryptage du texte... mais alors bien des choses ne pourraient plus être dites comme avant... et cela pose un énorme problème... comment réformer sans toucher à rien... sans l'aspect linguistique, qui est peu ma partie, je crois que nous en sommes au même point concernant ces débuts de l'Islam...

    Francis-claude Neri « ...la conquête aidant, les chefs militaires et politiques y virent un excellent outil pour assurer ses conquêtes de plus en plus étendues... c'est ce qu'il me semble avoir compris... après, on travailla avec les moyens du bord à fabriquer un texte qui tienne la route, l'actuel Coran... »

    C'est un peu MON sentiment pour ce qui concerne les religions en général.
    La question est de savoir si les citoyens sont actuellement en mesure de faire face à TOUTES les incertitudes et particulièrement celles de la "modernité".
    Les principaux blocages sont indiscutablement culturels dans une société traumatisée par le "rythme" de l'innovation technologique en particulier.
    Si les citoyens ont supporté, au cours des années précédentes, l'effondrement des valeurs traditionnelles, et l'ont célébré, souvent, comme une libération, c'est parce que en même temps, les anciennes valeurs étaient remplacées par des croyances essentielles sur le progrès social, la science fondées sur la puissance de la raison.
    Les "lumières" n'ont pas apporté que du "BON" hélas !

    L'enjeu est bien de rapprocher les deux axes...la démocratie est paraît-il faite pour çà

    La démocratie : une idée simple et... un problème

    https://www.scienceshumaines.com/la-democratie-une-idee-simple-et-un-probleme_fr_9...

    1 mars 1998 - Un problème, ensuite, parce que cette idée simple est, en fait, difficilement ... Pour lui, déléguer son pouvoir à des représentants revient pour le ...

    Francis-claude Neri

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  • Le crédo Européen

    Emma Prudhomme trouver pour défendre ces idées des hommes jeunes et décidés comme ce jeune politique qui vient d'être élu en Autriche !
    Parce que ces jeunes s'ils ont résisté à près d'un demi siècle d'éducation du politiquement correct et aux programmes médiatiques et culturels, en conservant les valeurs traditionnelles dites de droite, alors oui c'est qu'ils seront sans doute capable de résister à cette « bien pensance » qui a formaté les cerveaux de tous ces soixante-huitards attardés qui nous gouvernent et à ceux qui ont tellement peur d'être traités de tous les adjectifs en iste et en phobe qu'ils n'osent même plus faire front aux journalistes pour les renvoyer dans leur corde.......

    Marie-Christine Bertrand Elles sont toutes les deux sur de mauvaises bases ; il vaut mieux abattre les deux pour n'en faire qu’une, plus forte et plus grande !

    ............

    Francis-claude Neri : Bien entendu vous avez raison toutes les deux. Le piège depuis 40 ans, c’est le multiculturalisme et dans une démocratie, la question de l’identité est centrale, car elle conditionne les attitudes et les comportements.
    La déconstruction de la France a effectivement commencée en 1968 en disant : si un dilemme vous importune, vous n’avez qu’à le nier et le faire disparaître en l’EXPLIQUANT …la race, la peau, la religion, le sexe, les origines, la complexité, la subsidiarité, l’organisation fractale, les systèmes et leurs rétroactions etc.
    Nous avons dit qu’il fallait assimiler…intégrer…mais dans QUOI ? Quelle(s) culture(s) quelles valeurs ?
    Nous avons en même temps, oublié NOTRE « sécurité sociétale » c’est à dire la volonté de perdurer dans nos « caractéristiques essentielles » et surtout d’acculturer, c’est à dire d’exiger un degré minimum d’adaptation aux modèles de la société d’accueil.
    Il y a intégration lorsqu’il y a suppression des préjugés, des discriminations, des conflits de valeur.
    La France est de culture Judéo-chrétienne, avec des racines gréco-romaine, le tout « mâtiné » des Lumières.
    Aux migrants, nous aurions du imposer l’adaptation aux valeurs du « crédo Français.
    Avec le « regroupement familial » nous avons construit notre cheval de Troyes, des enclaves ethniques et cultuelles, un futur « Etat islamiste ".
    Nous le devons aux doctrines du « multiculturalisme » et nous avons fait de l’islam militant le premier ennemi de l’Occident au XXI siècle.
    Le mouvement multi-culturaliste ne veut pas une France du melting-pot, il veut une France de la « mosaïque », c’est tout autre chose.
    Le mouvement multiculturaliste né dans les années 70 est CONTRE la civilisation occidentale, il cherche à remplacer sa culture, éradiquer sa mémoire et donc son identité et la remplacer par d’autres cultures, essentiellement liées à des groupes raciaux, ethniques et religieux antagonistes.
    Cette idéologie anti occidentale née en France en 1968 repose sur les postulats suivants :

    1. La France est composée de nombreux groupes ethniques, raciaux, religieux différents.
    2. Chacun de ces groupes possède une culture qui lui est spécifique.
    3. La culture Occidentale dominante a opprimé ces cultures et contraints ceux qui appartiennent à des groupes ethniques, raciaux ou religieux différents à s’adapter et s’assimiler à la culture majoritairement Chrétienne, esclavagiste et colonialiste.
    4. La justice, l’égalité et les droits des minorités exigent que ces cultures opprimées soient libérées et que les administrations publiques comme les institutions privées soutiennent leurs légitimes revendications.

    Le résultat c’est que la France réelle est une mosaïque au chaudron bouillonnant. Les Musulmans, les Noirs comme les Juifs ou les Chrétiens, doivent brandir leurs spécificités ethniques, raciales, cultuelles et les défendre.
    Ils se doivent de dénoncer la civilisation occidentale et son impérialisme comme la source de tous les maux.
    Les conceptions européennes de liberté individuelle, de démocratie, d’Etat de droit, des droits de l’Homme, ont façonné la République Française ; les partisans du mouvement multiculturaliste les considèrent comme des outils à utiliser pour briser la domination de la civilisation européenne.
    Les tenants du multiculturalisme appellent de leurs vœux à une révolution qui mette fin à une France culturellement unie dans ses croyances et ses pratiques.
    C’est pourquoi le champ de bataille principal des multiculturalistes fut l’Ecole de la République qu’il fallait transformer en « lieux démocratiques » par le biais d’une valorisation des cultures, des cultes et des groupes, infra-nationaux.
    L’éducation multiculturelle fut imposée par référence à « l’égalité dans l’éducation ». C’est là un objectif auquel bien peu de français pouvaient s’opposer.
    Ils ne comprenaient pas, bien entendu, que cette « égalité » désignait un traitement égal pour toutes les cultures, tous les cultes, toutes les races et toutes les ethnies.
    Cet objectif s’est réalisé au détriment des valeurs et de la culture que les Français ont en commun.
    Pour les multiculturalistes une telle culture n’existe pas et ne doit pas exister. C’est d’ailleurs ce que le Président Macron a soutenu à maintes reprises.
    Aujourd’hui avec ce Président, la victoire du multiculturalisme est totale. L’objectif multiculturaliste des années 70 était de débarrasser la France d’un héritage européen « esclavagiste et colonialiste ».
    Il est atteint, les Français peuvent à présent subir sans grande résistance les influences « rédemptrices » des cultures non occidentales et en premier lieu, la culture islamiste.

    Mémoire et identité c’est un peu la même chose. En faisant perdre aux Français leur mémoire et leur identité, en dépréciant leur histoire nationale, ils ont détruit la nation France qui peut à présent se fondre au sein d’une nation Européenne multiculturaliste.
    Le problème est que cette nation n’existe pas et que le multiculturalisme est devenu le cheval de Troyes de l’islam.
    Juste retour des choses, puisque les multiculturalistes- de gauche en particulier- voulaient utiliser l’Islam comme une « singularité » capable de vaincre "l’impérialisme américain" et ses « valets » européens.

    Oui le mythe de la diversité et de l’égalité a gagné la bataille idéologique des 40 dernières années. Sartre et ses affidés ont gagné contre Camus et Aron.
    La désagrégation de la France est effective. Le multiculturalisme et l’intolérance politique se sont renforcés au sein de l’école, de l’université, au sein des familles et de la société civile, associative.
    Les combats autour des problèmes que posent les races, les langues, les religions divisent plus que jamais les Français et si rien n’est fait ils pourraient bien demeurer divisés.
    L’échec de nos « infogroupes » venant après celui de Béziers en est la tragique illustration.

    Il me semble à présent évident que le sursaut et la reconstruction ne viendront pas de la France, mais probablement d’une coalition d’européens : Allemagne, Autriche, Hongrie, Pologne etc.

    C’est ce que nous avons commencé à faire au rendez vous de Munich !

    Francis-claude Neri
    17 10 17

  • Info des groupes

    Nous savons maintenant comment bien porter le projet infogroupes. Nous avons à présent à le mettre « en marche » et n’y voyez aucune analogie avec un « en marche » précédent qui avec bien entendu d’autres moyens que ceux dont nous disposons au départ a parfaitement démontré que c’était possible.
    L’histoire fourmille de tels exemples.

    Nous n’allons pas attendre, comme beaucoup, que Mr Wauquiez prenne le pouvoir aux Républicains et nous caler sur sa démarche. Bien au contraire ce sera à NOUS de lui dire ce que NOUS voulons qu’il fasse…s’il espère nous intéresser à titre individuel …bien entendu !

    Nous commencerons par un séminaire fondateur dans les Vosges au cours duquel nous dirons quelles attitudes et quels comportements nous devons et allons avoir envers la sphère politico-médiatique et ce, individu par individu. Ceux, bien entendu, qui détiennent un pouvoir dans ce domaine ou qui prétendent à un pouvoir.

    Nous dirons aussi qu’il y a dans notre pays beaucoup trop de gens pour analyser et expliquer les problèmes et pas assez pour aider à les résoudre.
    Je suis persuadé que ce séminaire contribuera à changer la donne et que beaucoup s’engageront à faire …plutôt qu’à expliquer encore et encore !

    Je rappellerai succinctement, ici et là, les éléments constitutifs du projet …mais ceux qui nous suivent depuis un bon moment savent ce dont il s’agit : dire ce que NOUS voulons faire pour la France et les Français, pour quelles raisons nous voulons le faire, comment, avec qui et par quels moyens y parvenir.

    Au cours de ce  séminaire fondateur, nous aurons à, débattre des grands « thèmes » qui vont orienter notre avenir et sur la manière dont nous entendons régler les « problèmes » que leur « occurrence » provoque. Nous évoquerons les moyens que nous entendons utiliser pour cela. Ce que bien entendu nous ne pouvons pas toujours faire sur nos réseaux sociaux.   Par exemple sur : l’islamisation, l’UE et l’Euro, la mondialisation, nos valeurs sociétales, notre identité, notre démographie, le culturel et le cultuel, l’école, l’économie, la finance etc.
    Nous échangerons aussi sur NOTRE communication et sur les moyens de débattre en toute sécurité et toute liberté d’expression, en particulier sur les réseaux sociaux.
    Nous dirons comment nous structurerons le projet, l’organiserons nationalement, régionalement et localement de façon à être prêts pour les prochaines échéances électorales, si elles se déroulent, ou pour faire face à toute autre éventualité, y compris un état d’effondrement, voire de guerre civile ou ethnique, auquel notre pays peut être exposé.

    Manon Heitz et moi même sommes les principaux organisateurs de ce premier séminaire. J'en serai l'animateur.
    Vous pouvez vous adressez à nous en MP ou pas mail si vous comptez y participer.
    Ceux qui voudrons intervenir pour exposer leur vision et leur proposition de résolution d’une problématique, voire de plusieurs, voudront bien préparer leur intervention en deux parties d’une heure chacune. La première pour exposer les causes et les conséquences ainsi que des propositions de résolution, la seconde pour les questions réponses.
    Une synthèse sera faite en sous groupe et s’inscrira dans NOS propositions.

    Ensuite, il sera formalisé la structure associative donnée au « mouvement ». Un comité directeur élu, ainsi qu’un Président et le bureau (trésorier, secrétaire général). Une levée de cotisations sera effectuée ; le montant en sera déterminé par l’assemblée.

    La date exacte de ce séminaire, le lieu précis sera donné individuellement mais ce sera prés de Contrexéville (Vosges) et ceux qui voudront avancer ou prolonger leur séjour ne le regretteront pas.
    Ce sera le dernier ou l’avant dernier WE d’octobre, du vendredi 18 h au dimanche 17 h.

    Voilà pour l’essentiel. Nous sommes bien entendu tous les deux prêts à répondre à votre demande complémentaire « d’explication ».

    Francis-claude Neri
    Infogroupe 67
    01 10 17